Coïncidences...

Aujourd'hui, je suis allé à un rendez-vous pour un entretien d'embauche pour un poste d'agent d'accueil.

Pour me préparer à cet événement pour moi très important, j'ai demandé à un ami de coeur de prier pour moi, pour que cela se passe bien.

Et curieusement, pour me rendre à ce rendez-vous, je suis passé par la rue Pierre Sémard et l'avenue Georges Clémenceau.

En quoi est-ce curieux ?

Mon ami habite actuellement dans une avecnue Clémenceau et son adresse précédente était dans dans une rue Pierre Semard.

Comme disait Desproges : étonnant non ?

C'est je crois ce qu'il s'appelle être connecté.

Dans le même ordre d'idée, il y a un mois, en débarquant de nouveau sur Paris, je me suis pendant un temps retrouvé à la rue. 

Or, il se trouve que je suis passionné par la culture chinoise.

Un soir, sur un lieu de rencontre extérieur, le premier et le seul garçon avec qui j'ose parler se trouve être allé en Chine précisément dans la ville où j'ai habité pendant plus d'un mois. Cela n'a rien donné.

Un autre soir, je parle avec un autre garçon. Il est beau comme un coeur, je craque, je fond, j'aurais fait n'importe pour lui, je me serais donné, donné comme jamais. Or, il se trouve qu'il étudiait depuis 4 ans le yi Jing avec Paul Faure, co-traducteur avec Cyrille Javary, un grand sinologue que j'ai rencontré personnellement. Et puis, alors que nous étions dans une conversation passionnée, mon portable a sonné, j'ai répondu, il est parti sans me donner ses coordonnées et il ne m'a pas rappelé. J'en ai souffert et j'en suis encore triste. Quel dommage !  

Un autre jour, un garçon me donne rendez-vous chez lui : il habite rue de Chine. Arrivé devant sa porte, il change d'avis et refuse de me donner son code : les gens sont bizarres. 

L'enseignement de tout cela : la vie me met en contact avec les personne et les situations qui sont en résonnance avec mon intériorité...

A suivre