TIC TAC TIC
TAC !
Esprit es-tu là ? Appareillé du geste nécessaire, de la prière et du sein ?
Cheval blessé, d'une main claudicante involontaire, obéit se maintient ?
De cette bourrasque qui s'affaire comme un lit trop petit, un bel écrin ?
La route est de marbre, l'herbe se ressert, devant la droiture se tient !
TIC TAC TIC
TAC !
Une ou deux pilules pour nourrir la mauvaise libellule et le ventre de tulles.
La figurine est au sommet, elle brûle aux espoirs démembrés de son consul
A l'horloge point de formule n'invite un Diable trop pressé que le monde ovule
La mèche me congratule, viendrait-elle de mettre le feu à sa mauvaise pendule ?
TIC TAC TIC
TAC !
Dois-je demander pardon pour ma lucidité, mon venin, ma corvée, mon cloche-pied ?
Comme un traitement à la différence et sur mes mains défaire mon tracé ?
Dire que j'aime sans aimer et courbé l'échine pour une caresse plus que méritée ?
J'ai la flamme entre mes mains calcinées, j'endure la douleur pour ma liberté !
BOUUUUM !
Plus vous me limiterez, plus je me violerais, comme à déchirer mes entrailles !
A enfumer ma gestuelle pour pleurer sous vos aisselles entre mes tenailles !
Sodomie de l'inutile, parjure et volontarisme de l'immobile, vous ne trouverez de faille !
Car devant votre déconvenue, votre main sera la mienne à presser sur mon chandail !
TAC !
Esprit es-tu là ? Appareillé du geste nécessaire, de la prière et du sein ?
Cheval blessé, d'une main claudicante involontaire, obéit se maintient ?
De cette bourrasque qui s'affaire comme un lit trop petit, un bel écrin ?
La route est de marbre, l'herbe se ressert, devant la droiture se tient !
TIC TAC TIC
TAC !
Une ou deux pilules pour nourrir la mauvaise libellule et le ventre de tulles.
La figurine est au sommet, elle brûle aux espoirs démembrés de son consul
A l'horloge point de formule n'invite un Diable trop pressé que le monde ovule
La mèche me congratule, viendrait-elle de mettre le feu à sa mauvaise pendule ?
TIC TAC TIC
TAC !
Dois-je demander pardon pour ma lucidité, mon venin, ma corvée, mon cloche-pied ?
Comme un traitement à la différence et sur mes mains défaire mon tracé ?
Dire que j'aime sans aimer et courbé l'échine pour une caresse plus que méritée ?
J'ai la flamme entre mes mains calcinées, j'endure la douleur pour ma liberté !
BOUUUUM !
Plus vous me limiterez, plus je me violerais, comme à déchirer mes entrailles !
A enfumer ma gestuelle pour pleurer sous vos aisselles entre mes tenailles !
Sodomie de l'inutile, parjure et volontarisme de l'immobile, vous ne trouverez de faille !
Car devant votre déconvenue, votre main sera la mienne à presser sur mon chandail !
Kalisha KA !
- Blog de kalishaka
- Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour publier un commentaire
- 593 lectures
- Envoyer par mail