Dans l'arène

Publié par wanax94 le 23.11.2009
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J'ai 45 ans, plus toutes mes dents, certes mais le temps passe inexorablement sur tout nos petit soucis. Et pourtant...

J'ai un travail stable, un bon salaire et une famille que j'aime. Et pourtant ...

J'ai des amis, je ne suis pas trop mal de ma personne, je suis aimé de certain, respesté d'autre et je ne me connais pas d'enemis Et pourtant ...

Je supporte bien mon traitement et pourtant le soir ou je prépare mes pillule de la semaine est sombre et  lugubre. Et toujours la même question : d'où vient ce vague à l'âme qui m'habite en permanence et qui ce jour funeste ma fait céder à celui qui m'a donné ma mort future ?

 Je ne sais.

C'est une force lancinante qui ronge mes entrailles en permance. Un tatou sournois, de l'intérieur, me dévore sans fin me sénrénité. A la place, il laisse un vide emplit d'anguoisse.

Permancence ....