Descendre toujours plus bas

Publié par eris le 06.10.2010
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Je profite de ma réponse au billet de blog de Ferdy pour la placer ici sur mon blog, car, comme "par hasard", c'était ce que je comptais aussi poster approximativement, mais avec mes mots bien-sûr, mais aussi pour ne pas "polluer" le blog de Ferdy

Alors je remets ici le lien du blog de ferdy aussi  pour que nos commentaires se complètent.

"On doit descendre toujours plus bas, voilà mon constat,

 Pour s'apercevoir de ce que l'on avait avant, et au final c'est valable pour tout.

L'être humain est complètement déboussolé car on lui a fait croire à un miracle économique permanent, ce qui n'est évidemment pas le cas ( du moins dans nos pays dits "développés").

A trop vouloir toujours et encore, on finit par chuter ( le mythe de l'Atlandide n'est pas loin, et de Rome et encore d'autres civilisations qui ont tout perdu après avoir tout eu ...)

On nous a promis le meilleur, et c'est le pire qui arrive !

"Normal" ensuite que les gens deviennent aigris, égocentrés à l'extrême car ils sont perdus et paniqués.

D'où cette résurgence des nationalismes entre autres.

Effectivement on veut nous faire croire que c'est de notre faute ( trier ses déchets, manger mieux, stopper le nucléaire, ne pas fumer, ne pas ci, ne pas ça...)

Mais tout ça, l'a t on réellement choisi?

Bien sûr que non.

L'homme s'est fait berné par ses gouvernements et quels que soient les pays.

La sagesse arrivera sûrement des pays les plus pauvres, il faut le souhaiter du moins, qui se sont passés de tout ce modernisme car ils n'en ont jamais eu les moyens ( on ne leur a surtout pas donné...)

L'Afrique, l'Amerique du Sud font de la résistance, dans une certaine mesure, par obligation aussi !

Alors chutons bien pour que le système horriblement étriqué dans lequel nous sommes finisse aussi son cycle, et qu'enfin de nouvelles idées se mettent à jour, pour que l'humanité aille enfin vers un vrai progrès!"

Merci donc à Ferdy qui m'a fait poster plus tôt que prévu ce que j'avais dans la tête mais que je ne parvenais pas à mettre en mots