Et si on parlait de sexe.....

Publié par reiddi le 27.06.2008
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                               Avant les années 1968, parler de sexe, de sexualité, de plaisir, de désir, était tabous et celles et ceux qui osaient en parler étaient considérés comme des pervers.

Aujourd'hui encore parler de ce sujet semble de l'ordre du tabous. Pourtant la sexualité est de l'ordre du naturel, le sexe est de l'ordre de la nature depuis le début de l'humanité. Il y a encore des personnes qui ont cette conviction profonde que la sexualité n'est utilisée que pour la procréation et qu'en dehors il vaut mieux oublier son corps, ses désirs, ses plaisirs et qu'il est bon d'avoir des relations à la papa-maman. Oublier son corps, c'est nier son humanité. Le corps et l'esprit ne sont pas séparés, ils ne font qu'un!!!

                 

                         Or, aujourd'hui parler de sexe, sexualité est quasi dans les moeurs mais verbaliser ses pratiques demeure problématique. Si la première phase est de faire sauter les verrous: éducation,.....la deuxième phase est d'exprimer ses phantasmes, ses désirs et de pouvoir les extérioriser et de les verbaliser dabs des groupes de parole ou à un entourage réceptif à ce sujet. Verbaliser entraîne un mieux-être et peut débloquer bien des choses en soi. La troisième phase est d'apprendre ces pratiques qui peuvent être soft ou hard. Je n'ai npas de honte à dire que j'aime certaines pratiques hard et que j'y trouve du plaisir comme j'ai autant de plaisir à vivre une relation sensuelle et très soft. Le hard n'est pas tabous et nous avons parfois dans la tête des images d'Epinal....

                     Toutes et tous, nous avons des phantasmes, des attraits, des désirs. Toutes et tous nous vivons de ces phantasmes parce que nous avons verbalisés des choses, nous nous sommes unis de nouveau à nous-même! Le sexe, la sexualité, les pratiques, la sensualité sont un. Parler de fist-fucking, de bondage, de fétichisme, d'érotisme, de sodo,...est normal. Nier ces pratiques, c'est se nier soi-même. Chacun est libre de vivre comme il l'entend ses rapports du moment que l'on dépasse pas les limites et que l'on respecte l'être humain.

 

Alors à vos plumes          reiddi 

Commentaires

Portrait de Merlin

Toutes et tous, nous avons des phantasmes, des attraits, des désirs. Toutes et tous nous vivons de ces phantasmes parce que nous avons verbalisés des choses, nous nous sommes unis de nouveau à nous-même! Le sexe, la sexualité, les pratiques, la sensualité sont un. Parler de fist-fucking, de bondage, de fétichisme, d'érotisme, de sodo,...est normal. Nier ces pratiques, c'est se nier soi-même. Chacun est libre de vivre comme il l'entend ses rapports du moment que l'on dépasse pas les limites et que l'on respecte l'être humain.

Bien vue je suis d'accord avec toi