L'abus de croquette nuit au grattage d'oreille ! -:)

Publié par romainparis le 01.06.2010
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L'abus de croquette nuit au grattage d'oreille ! -:)

Commentaires

Portrait de romainparis

la vidéo ne marche pas....
Portrait de Valala

C'est ce que je m'apprêtais à t'écrire Rom !

Encore que, je me demandais si cela ne provenait pas du fait de mon navigateur...

Dans la série "abrutis finis" et là, rien de drôle... Ce matin, je lis : "Une femme, par dépit amoureux, par pure vengeance, a tué le chien de son ex, un Jack Russel qu'elle a noyé dans sa machine à laver !"

Et là, franchement, entre autres ignominies lues ou entendues depuis x années, je ne me sens vraiment pas en phase... Y'a des "genres humains" pas humains du tout...

bises

Portrait de romainparis


Val, l'autre sal*pe, je la mettrais à son tour dans la machine à laver. Je ne supporte pas les personnes qui se vengent sur les animaux.
Portrait de ar.sule

il y a des cons sur terre 

Portrait de Valala

Dur pour le grattage d'oreille en effet... le pôv... C'est : "Je voudrais bien, mais je peux point..." ;-)

Portrait de Valala

Pour se venger de son ancien petit ami, une femme n’a pas hésité à tuer le jack russel de celui-ci, en le noyant dans la machine à laver. La Fondation 30 Millions d’Amis se porte partie civile. A Troyes, le 17 avril dernier, Myriam* profite de l’absence de son ex, maître-chien de profession, pour s’introduire chez lui. Décidée à faire payer à son ancien amoureux une rupture qu’elle n’a pas souhaitée, elle se dirige vers son petit jack russel, l’enferme dans la machine à laver et lance un programme. Après quelques minutes de calvaire, le malheureux animal meurt noyé, sans avoir eu une seule chance de s’échapper. Pour les enquêteurs, aucun doute possible : l’acte est bien intentionnel.

Un procès en septembre

Selon le quotidien L'Est Eclair, la jeune femme n’en serait pas à son premier coup d’essai. Il y a quelques années, c’est un chiot qu’elle aurait étouffé à l’aide d’une couverture. Des pulsions meurtrières qui lui vaudront une convocation au tribunal correctionnel de Troyes en septembre prochain. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui se constitue partie civile dans ce dossier, condamne cet acte cruel, passible de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. En 2005, une femme avait été condamnée en Angleterre, à six semaines de prison pour un acte similaire sur un chaton.

*Le prénom a été changé

Article publié le : 12-05-10