le décodage biologique de la "mal à dit" texte 4

Publié par pascal1969 le 25.09.2008
418 lectures

Joseph me donna d’abord un exemple abstrait en prenant le cas d’un homme et d’une femme avec un enfant, une fille. Ce couple a l’intention d’avoir un deuxième enfant, mais seulement si c’est un garçon. L’enfant est bien dans ce cas dans un conditionnel de vie.

 

Si l’enfant arrive au monde et que c’est un garçon, il remplit bien la condition et ne prendra pas ce programme ; en revanche, si c’est une fille, elle n’est pas désirée. Elle répercutera alors un programme de mort. Une partie d’elle sera considérée comme du Non-soi et elle sera bien sous le projet inconscient de : « si c’est une fille, on n’en veut pas ». Elle est donc née dans un projet de mort, avec un conditionnel de vie. Elle exprimera comme maladie le Sida.

 

Joseph avait essayé de comprendre pourquoi cette maladie était apparue dans les années 80, sur le plan de l’inconscient collectif.

 

Raisonnant toujours avec sa pensée biologique, dans la mesure où il y avait virus, cela parlait bien d’une phase de réparation.

 

Mais qu’est-ce que pouvait donc réparer cette maladie dans l’inconscient collectif ?

 

C’était la fin de la guerre froide, la planète entière était dans le programme du conditionnel de vie. Il suffisait d’un moment de folie d’un de ses dirigeants pour que la Terre entière soit anéantie. Si des individus étaient programmés dans leur mémoire personnelle et familiale, ils exprimeraient ce programme complexe (un enfant non désiré au conditionnel de vie).

 

Une fois malade, l’individu continue à exprimer le conflit et vit constamment avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, sans pouvoir faire de réel projet. Tout espoir de vie est suspendu au conditionnel des résultats d’analyse : « si ça va bien, je pourrai continuer à vivre ».

 

Joseph parla aussi de la problématique dans l’inconscient collectif de tolérance (directement lié au système immunitaire) et d’intolérance vis-à-vis de certains groupes de population. Voilà pourquoi ces « milieux à risque » réagissaient au projet d’un inconscient collectif.

 

 

Commentaires

Portrait de orkidée

c est dans cet exemple que je me suis reconnue ou dans une famille le second enfant est une fille alors que la mere voulait un garcon mais la suite est compliquee a comprendre tu ne croit pas ?

Orkidée

Portrait de yac44.49

Reconnaître aussi , d'un autre point de vue ,son propre choix d'incarnation, l'environnement, les conditions, les expériences...pour être à sa place afin d'éveiller sa Conscience d'Être Humain en devenir sur Terre.

Je suis responsable, individuellement de ce que je vis, c'est pas toujours facile à accepter, c'est mon ressenti et encore bien des interrogations, de voiles à intégrer pour le vivre avec un sens de Qui Je Suis, au service de Mon Être. C'est une vision bien personnelle, une marche pour essayer de comprendre mon appartenance à ce groupe d'individus, vivant cette faiblesse immunitaire, avec différents niveaux de Sensibilité à cette faiblesse.

L'inconscient colllectif au service de l'Humanité ?

Que de tâtonnements pour tenter d'éclaicir la réponse.

Peut être lâcher prise, vivre le quotidien avec le plus possible de réalisation convennant au moment présent, sans rien attendre en retour .

C'est livresque ce que je viens de formuler, mais bon, cela illustre ma perception du moment, ce qui compte c'est de tendre vers une ouverture de la conscience, personnelle et collective. 

Et après ? c'est l'inconnu, alors à quoi bon vouloir le formuler, mes actes sont là pour mon expression, une de mes manifestations sur Terre.  

Portrait de manuseb

Je ne suis pas responsable des désirs ou non désirs de mes parents mais quoi qu'il en soit ils ont une influence ne serait ce que dans l'éducation qu'on reçoit. C'est ainsi, à mon avis, que des comportements de vie inconscients sont transmis de génération en génération et se cristallisent en une maladie à un moment donné.

Je suis responsable de ce qui m'arrive dans la mesure où j'ai pris des risques qui m'ont mené à être contaminé, pourquoi moi alors que d'autres y échappent: la structure interne de l'être? C'est là que la conscience de soi intervient, chercher pourquoi j'en suis là, prendre conscience de toutes ces choses qui m'ont conduit dans cette impasse et m'en libérer petit à petit en approfondissant la découverte de celui qui est en nous, en devenant celui qui n'aurait jamais été contaminé.