sans l'apport d'antispasmodiques (Débridat en l'occurrence). Avec, c'est parfait. Il y a une molécule ou plus parmi Isentress, celsentri, viread, que mes intestins (ou estomac ?) refusent, allant jusqu'à me provoquer des malaises. Je vais certes en discuter avec mon médecin mais cela me saoule franchement. Situation normale, 16 ans de traitement non-stop, cela devient fatiguant physiquement et mentalement. "Jamais sans mon débridat" ? De ce que l'on a pu me dire et de ce que j'ai lu, il ne serait pas conseillé de le prendre en permanence. Mais, 48h après son arrêt, mon corps a dit niet.
Romain, usine chimique, futur AZF ? lol.
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Commentaires
Pourvu que...
tu n'exploses pas sans prévenir !
Entre écouter son corps et écouter sa raison, le choix est cornélien.
Bon courage !
Usine à gaz ?
Salut Romain, non, c'est pas drôle, la maléate de trimébutine est réservée à des traitements de courte durée,
mais ton médecin doit bien avoir un plan B, avec toutes les possibilités offertes aujourd'hui,
ce que je trouve invraisemblable, c'est de tenter de se prémunir d'une menace, certes redoutable mais assez vague dans le temps, par des traitements qui eux condamnent en direct,
comment concilier notre légitime désir de protéger notre organisme à long terme (tout relatif) par des molécules qui rendent à ce point la vie présente insupportable ?
il faudrait être doté d'un sacré pouvoir pour s'absenter provisoirement au moins de ce corps devenu douloureux, dans l'espoir de le protéger d'un futur risque potentiel;
les pages et les pages d'effets secondaires indésirables qui accompagnent nos traitements semblent parfois dire que c'est le prix à payer, comme s'il ne pouvait en être autrement...
il faut morfler !
courage