MON EXPERIENCE DU VIH : TEXTE 11

Publié par pascal1969 le 24.08.2008
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Avant d'aborder cette dernière étape qui ne vient que de commencer, j'aimerais ouvrir une parenthèse, faire un premier bilan de ce que tout ce que m'a appris, montré, révélé le VIH...

 

 

1) Sans le VIH, je n'aurais probablement pas fais ce chemin intérieur. Quand on sait la prendre, l'épreuve nous fait grandir !

 

 

2) Il n'y a pas de hasard, les événements n'arrivent pas sans raisons. Le VIH, pas plus que les autres. Je ne crois pas aux causes matérielles. Derrière les causes matérielles, il y a TOUJOURS une cause plus profonde. Je m'aperçois que sur cette question, personne ne donne une réponse satisfaisante ! Et le plus navrant ne m'apparaît pas de ne pas apporter de réponses, mais que la plupart des savants et des médias ne se préoccupent même pas de cette qui est pourtant la question essentiel car elle interroge sur le sens. Pourquoi ?

 

 

3) Les sages ont coutume de dire : la solution est en vous. Affirmer le contraire serait la totale négation de tout ce que je en quoi je crois. En l’homme existe non seulement une multitude de forces, une force mentale, une force émotionnelle, une force vitale, une force physique mais aussi des forces plus subtiles, la force de l’âme, la force spirituelle, la force de la conscience. Et la découverte de ces forces intérieures est fichtrement utile à tout processus de guérison. Le bon sens devrait donc d’inciter chaque homme à découvrir les forces qu’il a en lui. « Connais-toi toi-même et tu connaîtras les hommes les mondes et les dieux » devrait être le proverbe central de notre vie. Même pour le VIH, la solution est dedans !

 

 

4) L’homme est un tout ! Un tout indissociable non seulement en lui-même, mais de son entourage. Le battement d’aile d’un papillon provoque un ouragan dans les mers du sud dit la sagesse orientale. Même si l’on ne comprend pas, il ne faut pas mépriser la sagesse Par conséquent, la seule thérapeutique qui tienne la route doit être une thérapeutique globale. Avec chaque personne aidée, il faudrait en quelque sorte faire le tour de la situation. Comment cela se passe au niveau physique ? Au niveau affectif ? Au niveau énergétique ? An niveau alimentaire ? Au niveau du sommeil ? Au niveau de la respiration ? Au niveau exercices physiques ? Au niveau pratiques spirituelles ? Au niveau travail ? Au niveau logement ? Au niveau famille ? Etc. Et quand un problème est repéré quelque part, dans quelque domaine que ce soit, il faut réfléchir à comment résoudre le problème en question. Et tant que le problème n’est pas résolu, on n’abandonne pas la personne à elle même. Et ainsi de suite, avec chaque problème.

 

A suivre...