Posi[+] or Not Posi ?

Publié par Ferdy le 19.09.2009
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Je sais, le titre est assez potache.

Quoiqu'il en soit, j'entends soumettre à votre appréciation une réflexion qu'il m'est arrivé de saisir cet après-midi quand je me trouvais dans le bus. Ce matin, nous avions eu droit à de splendides orages, mais en fin de journée, ce n'était déjà plus qu'une pluie saisonnière, modestement saisonnière, un peu comme notre deuxième grippe.

Pour une fois que je crois pouvoir aborder un sujet ayant un lien direct, évident avec la raison d'être de ce site, j'hésite (provisoirement) à le présenter aux forums. Pour cela, enfin, pour en juger, il faudrait peut-être avoir un peu débroussaillé le sujet et en avoir rédigé au moins l'introduction.

J'en suis loin.

Ma fréquentation on Seronet est suffisamment régulière (pour ne pas dire addictive) qu'elle influe aussi une part de mes pensées quand je suis ailleurs, en dehors du site et loin de toute connexion Internet. Je veux dire par là qu'il y a un prolongement aux lectures des blogs, des forums, des commentaires, etc. D'une certaine manière, on n'en sort pas tout à fait indemne, mais souvent grandi. On peut, comme ça, parcourir un post, puis un autre, sans avoir à prendre position. Mais, de par cette faculté qu'il nous est encore possible d'exercer sans contrainte, la pensée enregistre, perçoit, range, compare, éprouve, bref, réagit.

Et, dans la distraction qui est la mienne, la somme de ces lectures m'enrichit d'expériences et d'opinions auxquelles je n'aurais pas songé, et que je suis heureux de découvrir, sans a priori ni acrimonie.

Que nous ne soyons en moyenne qu'une petite centaine à venir nous dégourdir les neurones ici, ne retire rien à l'intérêt, ni à la pertinence de ce qui s'y produit. On pourrait peut-être regretter le caractère encore relativement confidentiel de cette initiative, mais, il s'agirait là d'une observation qui se bornerait à l'aspect purement quantitatif.

Donc, on me retrouve dans le bus, et il pleut mollement. Ca sera la pensée d'un trajet de bus :

le vih m'a permis d'être pleinement conscient d'être en vie, et finalement de m'y plaire.

Je poursuis dans le billet suivant (sans titre).

 L'être et le nez en l'air... ?

(Blogorumf, flog, blogrum, flogrum, grom flub... ?)