pour nous pondre de la paperasse ils sont champions à Paris !

Publié par jl06 le 25.03.2020
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La nouvelle attestation de circulation à avoir si vous sortez de chez vous pendant le confinement

De nouvelles mesures destinées à lutter contre la propagation du coronavirus sont entrées en vigueur mardi en France, impliquant la mise à jour de l’attestation de sortie.

Le Monde avec Reuters Publié hier à 22h16, mis à jour à 08h41

« Le temps du confinement est encore le nôtre », a déclaré, lundi 23 mars, le premier ministre, Edouard Philippe, annonçant dans le même temps le durcissement des règles de confinement. En vertu d’un décret publié mardi, tout déplacement hors de son domicile est interdit. Des exceptions sont prévues, à condition d’être muni d’une attestation (téléchargeable ci-dessous et sur ce lien), pour les cas suivants :

  • trajets domicile-travail et déplacements professionnels ne pouvant être différés ;
  • déplacements pour effectuer les achats de première nécessité ou nécessaires à l’activité professionnelle ;
  • déplacements pour motifs de santé qui ne peuvent être différés ;
  • déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables et pour la garde d’enfants ;
  • l’exercice d’une activité physique individuelle, dans la limite d’une heure par jour et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile ;
  • promenades entre personnes vivant au même domicile ou pour les besoins des animaux de compagnie, également limitées à une heure par jour et dans un rayon d’un kilomètre ;
  • déplacements pour répondre à une convocation de la police, de la gendarmerie, de la justice, ou pour participer à des « missions d’intérêt général » à la demande de l’administration.

Le document doit par ailleurs être daté de l’heure de la sortie.

 

PENDANT QUE L'ONT ASSISTE A LA GUERRE DES CHEF ......

 

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LE MONDE D'APRES. "Nous avons le choix d'accepter 10 000, 100 000 ou 1 000 000 de morts. Nous avons le choix entre grimper l'Everest, le Mont Blanc ou le massif central. C'est notre choix". C'est l'heure du choix crucial, vital, définitif, insiste le criminologue Alain Bauer. Le choix entre ignorer l'épidémie Covid-19 - "l'option Néron, qui s'en lavait les mains" - et la combattre - "en lavant les nôtres". "Ce choix, c'est notre responsabilité".

Le Général Mac Arthur expliquait que "Les Batailles perdues se résument en deux mots : trop tard". L'humilité devant une crise exceptionnelle ne doit pas empêcher la lucidité. Si nous étions tous touchés de la même manière, il faudrait croire à la fatalité. Mais un pays a utilisé des méthodes préventives et proactives (Taiwan), et deux autres des techniques plus ou moins décisives (la Corée du Sud et la Chine), visiblement efficaces et dans des configurations sociales et politiques très différentes.

Pour autant, nous n'avons pas pris le temps de nous préparer. Or, depuis la Grippe Russe de 1889, la grippe espagnole de 1918, la grippe asiatique de 1956, celle de Hong Kong de 1968 ou la H1N1 de 2009, nous n'avons pas manqué d'alertes ni d'études scientifiques de grande qualité pour nous alarmer. Sans succès.

" Agnès Buzyn s'est rêvée de devenir une autre Simone Veil, et a pris le risque de se transformer en nouveau docteur Garretta "

"Il faut plus miser sur la connerie que sur le complot"

Très souvent, ce qui semble nouveau apparaît surtout comme ce que nous avons oublié. Les amnésies administratives pèsent durablement sur la gestion des crises. Michel Rocard expliquait souvent "qu'en matière de grande catastrophe bureaucratique il fallait beaucoup plus miser sur la connerie que sur le complot. La première était à la portée de tous, donc largement répandue, le second nécessitait beaucoup d'intelligence et d'organisation et se révélait bien plus rare qu'on ne le pensait".

Depuis 2001, un réseau international informel de gestion des crises s'est mis en place pour dialoguer et diffuser ce qu'on appelle les meilleures pratiques. Chacun de ses membres est un scientifique ou un opérationnel (actif ou retraité) qui s'est bien sûr trouvé confronté à des obstacles face à une hiérarchie souvent imprévoyante et taraudée par le souci de faire des économies. Contrairement à ce qu'on pense souvent, la rigueur n'est pas l'austérité, et l'investissement est souvent une dépense utile.

Des louanges pour Roselyne Bachelot et Xavier Bertrand

En matière de police, de défense, de justice, de santé, les choix politiques des dernières années ont été dictés par des comptables. Il faut évidemment bien gérer l'argent public. Est-il mal géré en Allemagne qui semble aligner bien plus de lits d'urgence équipés en quantité et en proportion que nous ? Ou à Taiwan, pays isolé et "encerclé" au dynamisme reconnu ?

Seuls, au ministère de la santé, Roselyne Bachelot, dont on s'est beaucoup moqué et qui mérite une réhabilitation publique ou Xavier Bertrand, ministres de la santé avant et durant la grande pandémie du début du millénaire, méritent ici des louanges pour avoir anticipé et créé des stocks indispensables. Qu'on a laissé péricliter depuis.

"L'Occident avait fait la même erreur en ne croyant pas à la nuisance d'Al Qaida ni à la possibilité des attentats du 11 septembre 2001"

Agnès Buzyn et la "mascarade"

Maintenant il faut affronter la crise. La communauté scientifique est divisée. Comme chacun d'entre nous, et comme s'est souvent le cas face à une pandémie "incroyable", elle a pensé qu'elle était "impossible". L'Occident avait fait la même erreur en ne croyant pas à la nuisance d'Al Qaida ni à la possibilité des attentats du 11 septembre 2001.

Le triptyque "Négation, Minoration, Éjection (en français courant : "ce n'est pas vrai", puis "ce n'est pas grave", et enfin "ce n'est pas de ma faute") a servi d'excuse. Inutile ici de revenir longuement sur la "mascarade" commentée par l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn qui, se rêvant de devenir une autre Simone Veil a pris le risque de se transformer en nouveau docteur Garretta ....

Se concentrer sur la bataille

Mais le passage du mode sceptique au mode panique de nombreux dirigeants dans le monde risque désormais de tout emporter alors que l'essentiel réside dans la bataille qu'il faut gagner.

Ce que nous savons, grâce à celles et ceux qui ont affronté cette crise depuis début Janvier 2020 semble simple :

  • Il faut dépister tout le monde, pour identifier les porteurs et réduire et contingenter la pandémie
  • Il faut isoler tout le monde, pour permettre les dépistages et pour rapidement rouvrir des espaces de circulation et de vie. Deux cycles semblent indispensables, soit quatre semaines
  • Il faut donner des masques à tout le monde. Pour rassurer. Pour permettre d'éviter la contagion par porteur asymptomatique. Pour garantir le bon fonctionnement des activités essentielles.
  • Il faut utiliser les nouvelles technologies pour permettre un redémarrage rapide des activités essentielles puis de toutes les autres. En suivant les foyers de contagion et en identifiant les voies de propagation.

" Boris Johnson a tenté l'option Néron ou une nouvelle version britannique de la roulette russe "

Ecouter les Professeurs Didier Raoult (enfin !)...

La gestion de crise est une activité synthétique. Elle allie les compétences en vue d'une solution pratique, rapide et la plus efficace possible. Après un mois de tâtonnement, tout début février, le gouvernement chinois a mis en œuvre la politique de quarantaine centralisée et de traitement de tous les cas confirmés et suspects, ceux qui présentent de la fièvre ou des symptômes respiratoires, ainsi que les contacts étroits des cas confirmés dans les hôpitaux ou les établissements désignés. Parallèlement, la surveillance de la température et les politiques de maintien à domicile ont été mises en place pour tous les résidents.

Tout ce qui n'a pas été fait, le confinement partiel notamment, n'a pas arrêté la propagation, juste a servir à la retarder et peut être un peu l'étaler. En évitant les mesures strictes et coordonnées (confinement ciblé et test) la phase de "propagation communautaire" se transforme en "propagation familiale" où les membres d'une famille s'abritent et s'infectent souvent les uns les autres dans des espaces restreints, ce qui augmente le nombre de cas.

Cette phase de propagation génère de nombreux porteurs asymptomatiques qui circulent ensuite en grand nombre pour faire les courses, respectent imparfaitement la distance sociale permettant au virus de continuer de se propager.

Les modèles nouveaux, qui peuvent aussi préserver le fonctionnement et le lien social visent donc, à l'issue du processus de ralentissement pandémique indispensable (du fait de notre impréparation et de notre arrogance face à ce qui se passait en Asie) à modifier et moduler le dispositif.

Il s'agit enfin d'écouter ce que dit le Professeur Didier Raoult à Marseille. Ainsi le processus du "test de fièvre" - prise généralisée de la température partout où ils se trouvent en ville, envoi immédiat de celles et ceux ayant un niveau plus élevé vers des "tentes de fièvre", où ils subissent un test de globules blancs et un test grippal classique. En cas d'inquiétude, passage par un scanner portable et en cas de résultat alarmant, isolation dans un espace dédié (dont des réquisitions d'hôtel).

... et Jean-François Delfraissy

Mais il faut aussi se donner les moyens d'y arriver, comme l'indique le professeur Jean-François Delfraissy : "Parmi les stratégies envisageables, il y a celle qu'a appliquée la Corée du Sud. Elle associe une très large quantité de tests et un suivi des personnes testées positives en ayant recours à une application numérique permettant de tracer les individus, ce qui représente une atteinte aux libertés. Si nous disposons de médicaments à l'efficacité démontrée, il serait possible d'appliquer en France une politique testant et traitant immédiatement toutes les personnes chez lesquelles l'infection est découverte. Mais il reste beaucoup d'inconnues scientifiques et de questions sociétales poséesPourquoi ne pas avoir mis en œuvre sans attendre cette stratégie ? Parce que nous en sommes incapables et que ce n'est pas l'enjeu dans la phase de montée de l'épidémie. Nous ne possédons pas les capacités de tester à la même échelle que la Corée du Sud. En France, environ 8 000 tests sont réalisés chaque jour. Les laboratoires privés vont s'y ajouter mais nous avons un énorme problème avec les réactifs utilisés dans les tests. Ces réactifs de base proviennent de Chine et des Etats-Unis. La machine de production s'est arrêtée en Chine et les Etats-Unis les gardent pour eux".

Choisir entre grimper l'Everest, le Mont Blanc ou le massif central

Il y a 150 ans, à Vienne, le jeune docteur Semmelweis expliquait aux sommités médicales de l'époque qu'il fallait se laver les mains. Il se moquèrent de lui, l'expulsèrent, l'ignorèrent. Il fallut attendre Pasteur pour enfin que les choses changent. Un peu.

On peut se demander sérieusement si le Professeur Raoult n'a pas repris le flambeau face à une communauté scientifique tétanisée par le risque des poursuites. Mais en droit pénal, ne pas faire se poursuit aussi bien que mal faire. Et le temps n'est pas notre allié.

Boris Johnson a lui tenté l'option Néron ou une nouvelle version britannique de la roulette russe (avec beaucoup plus de cartouches dans le barillet). Avant de se rendre compte que le problème n'était pas le pourcentage de personnes qui seraient gravement malade ou mourraient (les fameux 2%), mais la quantité. Il vient d'en changer. Très tardivement. Les Etats avancent en ordre dispersé et avec un rythme très rapide.

Si le rythme de l'infection n'est pas cassé (et il nous reste quelques jours seulement pour y arriver), le nombre de personnes touchées atteindra les trois quarts de la population française, européenne, occidentale, mondiale. Soit pour la France seule environ 50 millions de personnes. Moitié de plus de 60 ans, moitié moins. Nous avons le choix d'accepter 10 000, 100 000 ou un million de morts. Il faut choisir entre grimper l'Everest, le Mont Blanc ou le massif central. C'est notre choix.

Le virus ne se propage pas. Ce sont les individus qui le diffusent. Nous avons donc une responsabilité : ignorer l'épidémie en choisissant l'option Néron, qui s'en lavait les mains. Ou la combattre, en lavant les nôtres et en nous organisant pour passer au confinement ciblé, au test généralisé et à la protection pour tous.

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Alain Bauer est Professeur de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM), New York et Shanghai, EESD

 

Portrait de jl06

Coronavirus : Gérard Larcher favorable à une commission d'enquête pour "tirer les leçons de cette crise"

Le président du Sénat souhaite lancer cette enquête avec la "volonté de se projeter" sur l'organisation de l'économie française.

Gérard Larcher, dans les studios de France Inter, le 10 mai 2019.

 

Gérard Larcher, dans les studios de France Inter, le 10 mai 2019. (FRANCE INTER / RADIO FRANCE)

franceinfoRadio France

Mis à jour le 25/03/2020 | 09:29
publié le 25/03/2020 | 09:29

"Il faut tirer les leçons de cette crise et ça passe par une commission d'enquête", a estimé Gérard Larcher, président du Sénat, mercredi 25 mars sur France Inter. L'idée a été lancée par un représentant de son parti, Damien Abad, chef de file Les Républicains à l'Assemblée nationale, alors que le confinement se poursuit et que l'épidémie de coronavirus Covid-19 se propage dans toute la France.

Gérard Larcher a précisé qu'il fallait le faire avec la "volonté de se projeter" sur l'organisation de notre économie, notre indépendance et celle de l'Europe. Mais "aujourd'hui, ce qui compte, c'est que les masques arrivent partout et je pense particulièrement aux Ehpad, qui sont un vrai sujet de préoccupation, selon le président du Sénat. Qu'ils arrivent aussi auprès de ceux, salariés et chefs d'entreprises, qui travaillent pour assurer la continuité de notre activité".

En matière de masques ou de molécules pharmaceutiques, on était par exemple dépendant d'un seul pays, la Chine.Gérard Larcherà France Inter

Concernant les tests, Gérard Larcher a confié avoir "eu un échange avec le professeur Delfraissy. Aujourd'hui, nous ne sommes pas en capacité de tester aussi largement que cela a été fait dans d'autres pays. Tout le monde a en tête l'exemple de la Corée du Sud, mais en sortie de crise, il nous faudra faire des tests, a affirmé le président du Sénat. On est aujourd'hui à une capacité de 9 000 tests par jour. Le professeur me disait 'il faut qu'on soit à une capacité de près de 30 000 tests pour la sortie de crise'."

AUCUNE PUDEUR LE MEC !!!!!         suréaliste  ........

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Coronavirus: des assesseurs et militants paient le prix des municipales

25/03/2020 à 13h02

 des assesseurs et militants paient le prix des municipales Les urnes ce dimanche - JEFF PACHOUD / AFP De nombreuses critiques pleuvent, de partout en France, après que plusieurs personnes ont contracté le virus ce jour-là. Certains se trouvent dans un état grave. 

Le premier tour des élections municipales aura laissé des traces. Entre assesseurs et présidents de bureau de vote testés positifs et militants et candidats contaminés, les bénévoles et les élus qui y ont participé, ainsi qu'à la campagne électorale, ont été sérieusement touchés par la propagation du coronavirus.

Des mesures de protection ont été prises -du gel hydroalcoolique, des gants, pas de file d'attente...- mais ça n'a pas suffi. Dix jours après le premier tour, des volontaires sont positifs au virus et leur colère ne faiblit pas contre la décision de maintenir le scrutin.

A Billom dans le Puy-de-Dôme, une femme de 62 ans qui tenait un bureau de vote a été hospitalisée et testée positive, selon le maire réélu, Jean-Michel Charlat. L'élu est passé ce jour-là "dans tous les bureaux de vote" et a lui-même de la fièvre. Le CHU de Clermont-Ferrand, où l'assesseure a été admise, lui a toutefois dit qu'elle avait pu être contaminée bien avant, précise-t-il.

A Mitry-Mory en Seine-et-Marne, l’un des assesseurs est à l’hôpital dans un état inquiétant, atteint par le Covid-19, a indiqué à l'AFP un candidat dans cette commune de Seine-et-Marne.

Les distances pas respectées

Des suspicions de contamination le jour du scrutin ont également été signalées par les élus et candidats en Seine-Saint-Denis, à Versailles, dans le Val d'Oise, à Franconville, ou le XVIIe arrondissement de Paris.

"Dans le bureau, il n'y avait pas un mètre entre chaque assesseur, on était les uns contre les autres", confie Ronan Arveuf, candidat et assesseur du bureau N°7 à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis où une quinzaine de personnes se sont relayées toute la journée, et la ville comptait une trentaine de bureaux de vote.

Le premier tour a mobilisé plusieurs centaines de milliers de personnes dans le pays pour organiser le scrutin. Si le lien n'est pas clairement établi entre ces contaminations et les opérations de vote, la pandémie a également fait des dégâts parmi ceux qui ont fait campagne pendant parfois plusieurs mois.

"Une hécatombe parmi les militants"

En Seine-Saint Denis, c'est "une hécatombe parmi les militants" qui ont fait campagne et "il n'y a pas de raison que ce ne soit pas le cas ailleurs", résume le député LFI Eric Coquerel. "Comme il n'y a pas de tests, c'est compliqué" de recenser précisément les cas, mais "beaucoup de gens sont testés positifs" et certains ont des symptômes, a-t-il assuré à l'AFP. Sur la liste qu'il soutenait, "une dizaine de personnes" sont, selon lui, concernées.

Selon Ronan Arveuf, au moins une quinzaine de personnes qui ont fait campagne à Saint-Ouen ont eu des symptômes ou sont tombées malades.

La plupart des candidats n'ont suspendu leur campagne que quelques jours avant le premier tour pour respecter les mesures de précaution.

A Marseille, plusieurs membres de l'équipe de Martine Vassal, dont la candidate LR elle-même, mais aussi le candidat LaREM Yvon Berland ont été testés positifs, comme le maire sortant de Nice, Christian Estrosi.

"Ils nous ont mis en danger"

Les critiques flambent contre la décision de l'exécutif de maintenir le premier tour le 15 mars. "Ca a vraiment été une folie", dit Eric Coquerel qui a eu lui-même des symptômes.

Même réaction du maire de Billom : "L'idéal aurait été d'annuler ce premier tour. Mais nous étions en fin de campagne et nous avions hâte que cela se termine, y compris moi".

Sur les réseaux sociaux, les réactions alternent entre colère et inquiétude.

"Moi aussi j'ai été secrétaire d'un bureau de vote... et je compte les jours pour être sûre de ne pas avoir été contaminée. Je ne comprends pas pourquoi les élections ont été maintenues... Ils nous ont mis en danger", s'inquiète la Niçoise Anne-Christel Cook sur Twitter.

Une autre personne s'insurge : "Et si on parlait des employés de mairie qui ont bossé AVANT PENDANT APRES ces élections. Et qui ont halluciné de constater que les Présidents et assesseurs ne prenaient aucune précaution!...".

HS avec AFP