Il est des cris qui n'ont pas l'écho de l'âme qui explose,
Ni de l'émotion infinie de ce saut qui entame et arrose.
Il est des joies effrayantes qu'on ne peut partager
Et des voix impuissantes qu'on ne pourra jamais préparer.
Seul devant ce lit de regain où l'abandon se lit à la fin,
Il y a tout un jury de gamins qui diront : "Je me lie à ma faim".
Seul devant l'explosion qui fait naître un nouvel univers,
Il y a toute mon attention à la fenêtre d'un âmi ou d'un père.
Limonest, le 6 août 2010
Trimrûdra.
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