J'en ai tout le corps qui tremble,
Passer la nuit à t'attendre dans le rockin chair
Rien de tel pour se détendre
Que de laisser ma main pendre le long
Du canon de mon revolver
Dans le rock in rockin rock in rock in chair
Rock in chair
Dans le rock in rockin rock in rock in chair
Rock in chair
Je sais bien que t'as pas de comptes à me rendre
Mais je me suis fait un sang d'encre
Elle "J'étais chez mon grand-père"
Ouh la la, j'aime pas tellement qu'on plaisante
Quand j'ai le doigt sur la détente
Et que je me sens presque à bout de nerfs
Dans le rockin rock in...
Je vois ton regard qui flanche
Et tes petits seins qui se tendent
Sous ton pull-over
C'est ça, débloque-toi, roule des hanches
C'est fou ce que ça me démange
De t'envoyer six pieds en l'air
Dans le rockin...
Je m'en balance et je bande
Pour une fille qui s'en branle
Dans le rockin chair
Ton cul contre mon ventre
Rien de meilleur pour s'entendre
Que de me laisser te le faire
Dans le rockin...
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Irradié..Héé...
Irradié, irradié,
je suis le sage, le fou, le débile
je suis du village l'idiot
et j'entends les rumeurs de la ville
J'entends les passages cloutés
berçants les piétons sages
au rythme des feux verts
dans le désert des embouteillages
Irradié, voyageur immobile,
irradié, je suis le sage, le fou le débile et
je suis du village l'idiot
et j'entends les rumeurs de la ville
Compagnon des lézards obscènes
je déjeune à minuit
des girafes rôties
qui battent encore de l'aile
sous le menton crochu des sorcières malsaines
Irradié, voyageur immobile,
irradié, je suis le sage, le fou le débile
je suis du village l'idiot
et j'entends les rumeurs de la ville
Je suis celui qu'on veut,
celui qu'on croit,
celui qu'on voit danser sur les nuages bleus
Tirant des cordes de ma lyre
des sons hallucinants
qui font bondir
les petits du tapir au fond des entonnoirs,
les soirs où sur eux s'abattent
fièvres et cauchemars
Je suis la dame en noir,
l'elfe tout blanc,
je suis, je suis le placide éléphant
qui, balançant sa trompe à travers la futaie,
bouffe en rêvant les enfants
du chardonneret
Connaissez-vous la druidesse, la fée
qui d'un coup de baguette
d'un A-bra-ca-da-bra fera de moi,
éternelle âme en peine,
un In-car-né
Sinon, moi
conquérant du vide
je lance mes escouades
d'éclairs de brume et de mirages
à l'assaut des galaxies.