Traumatisé

Publié par SLEEPWALKER75018 le 17.07.2010
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Je me souviendrai de cette nuit du 15 au 16 juillet, enfin si je peux appeler nuit car je me suis couche vers 06h00 un truc comme ça car j'ai passé la plus grande partie de la nuit sur le chat de Séronet. Je sais ça arrive à tout le monde de faire des cauchemars, mais c'est particulier chez moi. J'ai longtemps fait de terreurs nocturnes que mes parents n'ont pas remarqué, de plus mes cauchemars sont très violents en général, je vois des choses que je n'ai jamais vu (et pourtant j'en ai vu des films d'horreurs mais j'ai jamais fait des cauchemars incluant les personnages de ces films, au contraire quand je rêvais d'eux je m'amusais), et souvent je me reveillais en hurlant, je tombais de mon lit superposé, je me cognais partout, je courais... bref c'était un calvaire, je redoutais le soir quand il fallait dormir, parfois je refusais de dormir... Avec le temps ça été mieux, à partir de 2003 ou 2004, ça allait mieux, j'en faisais moins mais quand j'en faisais c'était horrible.... Je me souviens de beaucoup de cauchemars que je n'ai pas oubliés, même ceux que je faisais étant gamin. Sans compter évidemment sur ceux que j'ai fait plusieurs fois. Franchement une fois ça va mais plus je m'en passerai, et c'est ce qui s'est passé cette fameuse nuit du 15 au 16 juillet un cauchemar que j'ai déjà fait deux fois, là c'est la troisième fois (les deux premières fois j'étais adolescent), ça m'a traumatisé, je me suis reveillé en hurlant, j'étais en sueur, le cour qui battait fort et vite, je me suis senti mal, et je pleurai, j'ai mis du temps pour me calmer. Je vous parle de ce cauchemar :

Un jour ensoleillé, je suis en famille mon père, ma mère, mes deux soeurs, et moi nous nous promenions dans une ville, ensuite sans savoir pourquoi cette ville est devenue un village. Au bout de la rue il y avait une église, mon père souhaitait la visité, et ma mère lui a dit : non c'est pas le moment, et elle a montré du doigt l'église qui s'est alors transformé en une sorte de demi cathédrale et demi monastère. Les vitraux étaient bien noirs. Nous poursuivions notre chemins, puis une fois que nous avions fait le tour du village nous sommes revenus à l'église. Nous sommes rentrés, puis mes parents et mes soeurs sont sorties de l'église car ma soeur voulait aller aux toilettes, l'autre s'amusait dehors, mon père est sortie dehors avec ma mère pour surveiller mes soeurs. Moi, je regardais les vitraux. Il y avait pas de bancs, pas de tableaux, rien, je marchais tranquillement, jusqu'à ce que je vois une statue qui représentait un homme debout (il avait les cheveux marrons, les yeux noirs, et habillait avec des habits noirs) il me semblait être un être humain et non une statue, mais je lui disais bonjour mais ne me répondait pas. Alors je me suis approché, plus j'avançais, je ressentais un truc de bisard, quand je suis arrivais en face de lui il a ouvert a sourit, j'ai hurlé, j'ai entendu mes parents crier mon nom, et ma mère qui disait à mon père : je te l'avais dit que c'était pas le moment. Et la le sol s'est écroulé, je me suis retrouvé dans l'eau, au fond d'une grotte. La, j'essayais de nager pour remonter sur le bord et je revois cette "chose" qui se marrait avec un rire horrible, il m'a dit que je ne ressortirai plus jamais et a crié, j'ai alors coulé dans l'eau, je pouvais plus remonter à la surface, je me noyais, c'était horrible, puis je me suis retrouvé dans ma chambre chez mon père, toutes les lumière étaient éteintes, je voulais allumer mais l'interupteur ne fonctionnais pas, alors j'ai ouvert la porte de ma chambre puis la des yeux sont apparus, des yeux jaunes, puis une bouche et cet "chose" s'est mis a huler et à m'étrangler. Je me suis retrouvé attacher et j'ai vu cette "chose" m'enterrer vivant, tout en criant. Je me suis reveillé en sursaut... 

Ce cauchemar ça fait la troisième fois que je le fait, et j'espère que c'est le dernier

Commentaires

Portrait de nathan

Ces cauchemards-là qui mêlent la famille sont les plus difficiles à supporter. Et l'écrit ne restitue pas toutes les sensations associées parce que c'est inexprimable. C'est l'épanchement de la vie réelle dans le rêve. C'est effroyable.

Moi je prends un peu de stilnox un jour sur deux quand ces poussées arrivent : ça permet de réguler.