Un compagnon de longue date

Mots clés  : long actingARV injectables

Salut tout le monde,

J'ai vu une affiche qu'il existe déjà des ARV injectable, pris mensuellement au lieu des comprimés quotidiens...

Je voudrais savoir si cela est vrai. Il y a t il quelqu'un qui le prend déjà ?  Quels effets secondaires ?

Je vous embrasse...

Commentaires

Portrait de Rdh59

Salut ! Lors de mon rdv cette semaine avec mon infectio pr ma seroconversion il m'a confirmer qu'il y a des nouveaux traitements injectables qui seront disponible a la fin de l'année. 
Personellement je sais pas si j'accepterais de les prendres etant donner que c'est tout nouveau

Portrait de topmen7

Merci pour ta contribution...

Bisous

Portrait de serobarbus

oui il me tarde que les ARVarivent apres 34ans de VIH marre des cachets

Portrait de Big Bad Badaboum

Tout comme Rdh59, mon infectio m'a fait part de la possibilité d'un traitement ARV par injection disponible très prochainement et m'a demandé si cela m'intéresserait.

Je suis sous traitement depuis 98 et je dois avouer que la prise d'un seul comprimé de Genvoya, comparé à mes premières trithérapies, est devenu quelque chose de banal, tout comme peut l'être la prise quotidienne de mon cachet pour le cholestérol.

Bien que la nouveauté d'un traitement par injection ne me fasse absolument pas peur, puisque la base moléculaire de celui-ci n'est pas une nouveauté, je ne pense pas y trouver plus de confort personnellement.

Je conçois cependant que ce doit être, pour certaines personnes, une bonne solution, tant pour éviter les oublis de prise de cachets que pour pouvoir bénéficier d'un traitement discret, puisqu'il n'y a plus de traitement visible chez soi (je connais quelques séropositifs qui doivent prendre leur triT en cachette de leur entourage).

Toutefois, je m'interroge sur la concentration du dosage moléculaire de ce type de traitement par injection, même si il est à diffusion lente.

Pas plus d'info à apporter ici, n'ayant pas de connaissances qui bénéficient déjà des ARV par injection.

Cy.

 

Portrait de Tony54100

sortiraparis: Sida : un traitement par piqûre tous les deux mois bientôt disponible contre le VIH.
https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/263070-sida-un-...

Portrait de Big Bad Badaboum

En cherchant un peu, je suis arrivé sur le site 

https://www.guidetherapeutiquevih.com

(Je n'arrive pas, de mon iphone, à copier le lien direct..sur Google, en tapant Cabotegravir, ce site apparaît en première page de recherche)

 

On y mentionne quelques effets indésirables comme des maux de tête, des nausées, des diarrhées et des douleurs au lieu des injections, mais pour un très faible pourcentage des participants aux études menées sur deux groupes, dont un n'ayant jamais reçu d'ARV.

Cabotegravir + Rilpivirine, en injections.

Attention, pour celles et ceux qui auraient déjà fait des résistances à d'autres traitements, bien se renseigner.

Portrait de Gropius

Dans l'Union Européenne dont la France, le produit s'appelle Vocabria et démarre tout juste sa commercialisation. C'est deux injections réalisées au même moment, tous les deux mois.

Voir le site de la Haute Autorité de Santé :

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3263063/fr/vocabria-cabotegravir

Portrait de bob02

Ce n'est que mon avis , je vois mon virologue tout les six mois pour mon ordonnance  ,pour une prise de trie une fois tout les trois jours maintenant ,donc deux rendez-vous à l'hôpital par ans.

Avec ce vaccin, il faudra 6 rendez-vous par ans à l'hopital pour ce faire vacciner (plus les deux avec mon virologue )  peut être 6 infirmiers différents ou infirmières qui me vaccineront pas toujours discret secret professionnel  (qui connaitront ma séropo, ) une doses dans chaque fesse car la dose est trop importante pour être bien toléré .

Avec un gros risque de faire de beau bleu 

JEAN

Portrait de Sophie-seronet

Hello,

Attention, il ne s'agit absolument pas d'un vaccin mais de "long acting" c'est-à-dire d'ARV sous forme injectable à libération prolongée pouvant aujourd'hui aller jusqu'à deux mois.

Bonne journée. Sophie

Portrait de Nicolas13008

Je suppose que vous parler de 

rilpivirine et cabotégravir)

qui est un traitement injectable par une dose tout les mois vous tout les deux mois   Il est préconisé de prendre des comprimés avant durant au moins 28 jours et d'avoir au moins 400 cd4 suivit d'une charge viral basse pour prétendre avoir ce médicament 

helas se traitement n'est disponible quand pharmacie hospitalière et le laboratoire n'a aucune idée de sa sortie en pharmacie de ville 

les essais clinique ont démontres l'efficacité de ces deux molécules 

Portrait de Nicolas13008

Oui cela existe et donne de bon résultat si on ce lié à l'essai clinique 

hélas le traitement n'est disponible que en pha hospitalière et en fait pas encore disponible en France en fait 

le labo ne precise pas la disponibilité mais juste que le centre européen a validé la vente dans l'unio depuis ce début d'année 

en gros personne ne peut dire quand il sera véritablement disponible en pharmacie que ce soit hospitaliere et où en pharmacie de ville 

Portrait de Nicolas13008

on parle d'une injection de deux ml de chaque produit soit quatre ml qui peut se faire dans une fesse
toujours d'après l'étude qui en ressort
je pense que cela est à prendre en considération plus que la prise quotidienne d´un cachet
le seul soucis et que on ne le reçois que en milieu hospitalier et même en France c'est dur dur d'en trouver car le laboratoire a du mal à le sortir
donc ce nouveau traitement ne sera pas disponible avant l'année prochaine
à suivre

Portrait de Nicolas13008

Soit 3 ml et l'autre produit c'est deux ml à savoir que on peu injecter jusqu'à dix ml dans une fesse et le medecin traitant ou une infirmière sont capable de le réaliser donc inutile d'aller dans un centre hospitalier sauf pour aller le prendre en pharmacie hospitalière car non disponible en pharmacie de ville

FORMES ET PRÉSENTATIONSSuspension injectable à libération prolongée (IM) à 400 mg* ou à 600 mg** (blanche à rose pâle) :  Flacon (verre brun) de 2 mL de solution (400 mg*) ou de 3 mL de solution (600 mg**) + 1 seringue graduée (stérile, à usage unique, avec graduations de volume tous les 0,2 mL), 1 adaptateur pour flacon et 1 aiguille pour injection (0,65 mm, 38 mm [gauge 23, 1,5 pouce]), boîte unitaire.
*  Vocabria 400 mg non commercialisé en France.
**  Vocabria 600 mg non disponible à la date du 13.09.2021.

COMPOSITION par flacon de 2 mLde 3 mLCabotégravir 400 mg*600 mg**Excipients : mannitol (E421), polysorbate 20 (E432), macrogol (E1521), eau pour préparations injectables.
*  Vocabria 400 mg non commercialisé en France.
**  Vocabria 600 mg non disponible à la date du 13.09.2021.

Oui cela existe et donne de bon résultat si on ce lié à l'essai clinique 

hélas le traitement n'est disponible que en pha hospitalière et en fait pas encore disponible en France en fait 

le labo ne precise pas la disponibilité mais juste que le centre européen a validé la vente dans l'unio depuis ce début d'année 

en gros personne ne peut dire quand il sera véritablement disponible en pharmacie que ce soit hospitaliere et où en pharmacie de ville.

Portrait de fil

Quel devenir pour les patients qui interrompent leur traitement injectable par cabotégravir/rilpivirine ?

D’après Teichner P et al., abstr. OS1/3, actualisé

Les injections de cabotégravir/rilpivirine (CAB/RPV) devraient arriver en France très prochainement ! Dans les nombreuses questions que les cliniciens auront à se poser, celle du devenir virologique des patients qui auront interrompu cette stratégie (quelle qu’en soit la raison) sera particulièrement importante. Dans les essais d’enregistrement de cette bithérapie injectable (FLAIR, ATLAS et ATLAS-2M), environ 9 % des participants (150/1 651 au total) avaient interrompu le traitement et avaient été inclus dans une cohorte observationnelle prospective pour une durée de 52 semaines après cette interruption. Parmi ces 150 participants, 114 avaient reçu du CAB/RPV toutes les 4 semaines, et 36 toutes les 8 semaines, et ils avaient été exposé en médiane au traitement pendant 37 semaines avant l’interruption. 92 participants avaient atteint l’année de suivi au moment de l’analyse. 

Les participants avaient 38 ans en médiane, 29 % étaient des femmes, 70 % étaient caucasiens et leur IMC moyen était de 24,9 kg/m2 . Les principales raisons de l’interruption de CAB/RPV étaient les effets indésirables (40 %), le retrait de consentement (23 %, le plus souvent motivé par l’intolérance aux injections) et le manque d’efficacité virologique (18 %). Après l’interruption de CAB/RPV, la médiane de réintroduction d’un traitement ARV oral était de 4 semaines (IQR : 4-6) et 82 % des participants avaient repris ce traitement avant 8 semaines . Le régime choisi préférentiellement comportait un INI (60 %, la molécule la plus choisie étant le dolutégravir), suivi par les régimes à base d’IP (21 %) et d’INNTI (19 %). Après une année de suivi, 91 % des 92 participants ayant terminé ce suivi avaient un ARN-VIH < 50 copies/mL, et ce taux de succès virologique était de 88 % (14/16) parmi les participants ayant présenté sous CAB/RPV un échec virologique tel que défini par le protocole . Les patients considérés comme étant en situation de non-succès virologique étaient des patients pour lesquels les données virologiques manquaient, du fait d’un retrait de consentement au cours de la période de suivi. 13 participants avaient présenté un effet indésirable sous traitement ARV oral, sans interruption du traitement pour ce motif, et aucun effet indésirable imputable à CAB/RPV n’a été rapporté durant la période de suivi (compte tenu de la longue durée d’élimination du produit dans l’organisme). En conclusion, en cas d’interruption du traitement CAB/RPV injectable, la reprise d’un traitement ARV dans les 2 mois permettait une reprise du contrôle virologique dans la très grande majorité des cas. Ces données sont rassurantes à un moment où l’implémentation de cette stratégie est imminente, et devrait permettre de rassurer les patients (et les médecins) sur la conduite à adopter en cas d’arrêt des injections.

 

 

Portrait de Nicolas13008

j'aimerais savoir d'ou vient tes sources car les articles definis par les essais clinique ne sont pas du tout ces chiffres que tu indiques

il faut rappeler que actuellement ce traitement n'est pas disponible en France 

c'est le laboratoire en personne qui me l'a confirmer par téléphone car actuellement la France négocie le prix de ce traitement et il sera peu être disponible en avril mai de l'année prochaine 

de plus il est indiqué dans le Vidal que ce traitement ne sera pas en France d'ici huit à dix mois et uniquement en pharmacie hospitalière et aucune date pour les avoir en pharmacie de ville 

alors j'aimerai bien savoir d'où vient ces chiffres qui n'ont rien avoir avec la publication de l'essai clinique émise par le laboratoire et qui ne coïncide pas du tout avec tes chiffres que tu donnes

Portrait de fil

sur le congrès qui se déroule en ce moment à  Londres , 

D'après le congrès de l'European AIDS Conference

Édition hybride, Londres, 27-30 octobre 2021

https://www.edimark.fr/eacs/2021/ej/quel-devenir-patients-qui-interrompe...

Portrait de Nicolas13008

Je vous informe que actuellement ce traitement n'est pas disponible en France 

la cause et que actuellement l'état négocie le prix du traitement pour l'utilisation en France 

d'après le laboratoire que j'ai contacté il était prévu que xe traitement soit disp d'ici la fin de l´annee 

hors le laboratoire sait ravise il sera peut être disponible environ en juin prochain et uniquement en pharmacie hospitalière et non en officine. Ce dernier sera peut-être dispo en officine d'ici la fin de l'année prochaine 

toujours d'après le laboratoire une infirmière pourra effectuer l'injection 

donc à suivre 

Portrait de leliondejudah

Portrait de fil

VIH : le premier traitement injectable à longue durée d’action obtient une AMM européenne (Medscape 18/11/21)

France ― La Commission européenne a accordé une autorisation de mise sur le marché à Vocabria® (injection à longue durée d’action et comprimés de cabotégravir) de ViiV Healthcare à utiliser avec Rekambys® (injection à longue durée d’action de rilpivirine) ou Edurant® (comprimés de rilpivirine) de Janssen. Ce nouveau traitement permet aux personnes vivant avec le VIH de réduire le nombre de jours de traitement en passant de 365 à 12 ou 6 jours par an.

Le cabotegravir injectable est indiqué, en combinaison avec la rilpivirine, pour le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH1) chez les adultes virologiquement contrôlés (ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) sous traitement antirétroviral stable, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) et aux inhibiteurs de l'intégrase (INI).

C’est la première fois que les personnes vivant avec le VIH en Europe pourront recevoir un traitement à longue durée d’action injectable qui permet de ne plus prendre des comprimés oraux une fois par jour, après la phase initiale d’instauration orale.

« Les injections de cabotégravir et de rilpivirine à longue durée d’action peuvent permettre de réduire le nombre de jours de traitement, passant de 365 à 12 ou 6 jours par an avec un schéma thérapeutique mensuel ou bimestriel, ce qui représente un changement de paradigme dans la façon dont nous pouvons traiter et gérer la maladie, a déclaré le Dr Antonio Antela, hôpital universitaire de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne. Le traitement à longue durée d’action cabotégravir et rilpivirine était aussi efficace pour maintenir le contrôle virologique que le traitement antiviral oral quotidien dans les essais cliniques. Ce traitement est généralement bien toléré et peut changer l'expérience du traitement de certaines personnes vivant avec le VIH qui ont connu des difficultés avec des traitements oraux quotidiens contre le VIH. »

Les injections de cabotégravir et de rilpivirine à longue durée d’action peuvent permettre de réduire le nombre de jours de traitement, passant de 365 à 12 ou 6 jours par an. Dr Antonio Antela  

Ce traitement devrait en tout cas concourir à une amélioration de la qualité de vie des patients à en croire une grande enquête mondiale menée par ViiV Healthcare auprès des personnes vivant avec le VIH. Positive Perspectives Vague 2 révèle, en effet, que 55 % (n=1 306/2 389) préféreraient ne pas avoir à prendre de médicament tous les jours, tant que leur VIH reste indétectable. Pour 58 % (n=1 394/2 389) des personnes interrogées, prendre des traitements quotidiennement contre le VIH leur rappelle la maladie, tandis que 38 % (n=906/2 389) ont exprimé une anxiété avec ce traitement quotidien, augmentant les risques de divulgation de leur statut VIH.

« Dans nos essais cliniques pivots, les résultats montrent qu’environ 90% des patients sous traitement à longue durée d’action préféraient ce schéma thérapeutique par rapport à leurs traitements quotidiens par voie orale » a déclaré Deborah Waterhouse, PDG de ViiV Healthcare

Environ 90% des patients sous traitement à longue durée d’action préféraient ce schéma thérapeutique par rapport à leurs traitements quotidiens par voie orale. Deborah Waterhouse

L’autorisation de mise sur le marché repose sur les études pivots de phase III ATLAS (Antiretroviral Therapy as Long-Acting Suppression), FLAIR (First Long-Acting Injectable Regimen) et ATLAS-2M, qui ont inclus plus de 1 200 participants provenant de 16 pays. Le cabotégravir et la rilpivirine sont administrés lors de la même visite par un professionnel de santé, en deux injections intramusculaires (IM) dans les muscles fessiers. Le cabotégravir de ViiV Healthcare en association avec la rilpivirine de Janssen ont été codéveloppés dans le cadre d’une collaboration avec Janssen.

Portrait de Nicolas13008

Ce traitement ne sera disponible que en juin juillet prochain car la cpam négocie le prix de ce traitement 

de plus il ne sera disponible qu´en pharmacie hospitalière et non en officine 

je tiens à préciser toujours d'après le laboratoire que les deux produits pourrons être mélangés et donc une seul injection qu'une infirmière hospitalière pourra Faire 

Portrait de serobarbus

je viens de  le commencer et on est en decembre 

Portrait de Nicolas13008

moi c'est ce que ma dit le labaratoir 

ils ont du trouvé une entente avec la cpam

Portrait de leliondejudah

BONJOUR SEROBARBU

COMMENT AS TU PU COMMENCE LE TRAITEMENT ?

serobarbus wrote:

je viens de  le commencer et on est en decembre 

Portrait de bob02

Erreur de ma part , j'avais dit un vaccin , <<ARV injectable>> , une petite erreur de piquouze 

J'attend les résultats , les effets secondaire si il y a ou pas , en attendant , je prend ma trie  avec plaisir tout les trois jours , Je suis en pleine forme , pourquoi changer si il me laisse le choix

Portrait de Idaho

Je sort de chez mon infectiologue, le traitement sera disponible dans quelques jours dans son service...

Il me l'a proposé pour dans 6 mois au prochain rdv...

serobarbus wrote:

je viens de  le commencer et on est en decembre 

Tu peux nous faire un retour ? Des effets secondaires ?

 

Portrait de Nicolas13008

Je viens d'avoir le laboratoire qui dit que ce traitement commence juste à être distribue au hôpitaux 

il n'on pas encore le retour de l'autorisation de la haute autorité pour qu'il soit disponible en officine 

toujours selon le laboratoire il est possible de faire une seul injection en IM en mélangeant les deux produits

Portrait de leliondejudah

BONNE NOUVELLE !!!! INSCRITS AUX JOURNAL OFFICIEL CE MATIN.

Avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques

NOR : SSAS2133739V
JORF n°0293 du 17 décembre 2021
Texte n° 158

Article

 

En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société VIIV HEALTHCARE SAS, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont ceux figurant dans le tableau ci-après. Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la République française.

N° CIP
Présentation
PFHT
PPTTC
34009 302 198 7 4
REKAMBYS 900 mg (rilpivirine), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (300 mg/ml) en flacon (verre) + 1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
331,80 €
380,36 €
34009 302 198 9 8
VOCABRIA 30 mg (cabotégravir), comprimés pelliculés en flacon (PEHD) (B/30) (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
404,10 €
462,98 €
34009 302 199 0 4
VOCABRIA 600 mg (cabotégravir), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (200 mg/ml) en flacon (verre) + 1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
808,20 €
900,79 €

 

Portrait de Nicolas13008

on ta fait une seul injection avec les deux produits ou deux injections à moins que tu ne sois pas encore au stade des injections vu que le protocole indique 28 jours de traitement par voix orale 

peut tu nous dire dès retour de ce traitement ?

Portrait de fil

Dès ce mardi, les patients VIH éligibles et ceux qui le souhaitent pourront bénéficier d’une injection intramusculaire tous les deux mois. Une nouvelle avancée thérapeutique synonyme d’amélioration du quotidien.

 

Bientôt terminé le comprimé quotidien ? Quarante ans après la découverte du virus responsable du sida, les personnes séropositives vont pouvoir gagner en confort. Dès ce mardi, il est désormais possible aux personnes séropositives de remplacer leur médicament quotidien par une injection, à renouveler tous les deux mois. Fred Bladou, 53 ans, militant à l’association AIDES et infecté en 1986, salue cette alternative. «Cela faisait très longtemps qu’il n’y avait pas eu d’innovation et de progrès dans la lutte contre le Sida, souligne-t-il. Passer d’un traitement quotidien à une injection tous les deux mois, c’est un vrai confort.»

Le Journal officiel a annoncé le remboursement de ce nouveau traitement le 17 décembre. Il avait obtenu une autorisation de mise sur le marché l’année dernière. En France, au cours d’essais cliniques, quelques centaines de patients avaient déjà pu expérimenter ce qui ressemble à une révolution thérapeutique. Des essais multiples qui ont montré l’efficacité de cette bithérapie injectable et démontrent, avec un recul d’environ deux ans, que le passage à cette solution injectable est tout aussi efficace que la prise de comprimés.

Une combinaison de deux antirétroviraux

Ce nouveau traitement résulte de la combinaison de deux antirétroviraux, le cabotégravir et le rilpivirine. Au lieu de prendre des cachets quotidiens, ce sera une injection intramusculaire des deux molécules tous les deux mois. L’injection se fera dans chaque fesse et les trois premières séances devront avoir lieu à l’hôpital. A l’issue de cette période de rodage, le patient pourra aller chercher son traitement en officine ou bien recevoir la piqûre à domicile de la part d’une infirmière agréée.

Il existe toutefois des conditions pour en bénéficier. La prise de certains antibiotiques empêche par exemple sa délivrance et il ne peut être administré qu’aux patients ayant une charge virale maîtrisée depuis six mois. Les six injections annuelles des deux molécules représentent un coût de 7 600 euros, entièrement pris en charge par la sécurité sociale.

Pour les personnes soucieuses de discrétion ou en quête d’un confort de vie, recevoir l’injection tous les deux mois est moins contraignant que la prise quotidienne d’une pilule. Elle permet notamment de limiter le risque d’oublis ou encore de voyager sans se soucier de manquer de comprimés. «Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes cachent leurs cachets et sont victimes de stigmatisation. Pour les personnes précaires, celles qui n’ont pas un bon cadre de vie, ce traitement extrêmement facile à prendre va aussi leur permettre d’avoir un paquet de médicaments en moins à trimballer, explique Fred Bladou. Lui ne bénéficiera pas de ce nouveau traitement : «Les vieux séropositifs sont exclus car on a la chance d’avoir des traitements stabilisés.»

«Une amélioration en fonction des besoins et des modes de vie»

Dans sa revue trimestrielle baptisée Remaides, l’association AIDES a interrogé 500 personnes vivant avec le VIH quant à leur intérêt face à ce nouveau traitement. Le questionnaire qui leur a été adressé montre des résultats qui diffèrent en fonction des conditions de vie. «Notre enquête montre que ce sont les plus jeunes et plus les femmes que les hommes qui se disent intéressés, explique Franck Barbier, responsable parcours et programme au sein de l’association. Ça met en évidence le fait que le développement des médicaments ne peut pas être généralisé. Pendant des années, les traitements contre le VIH ont été faits sur des hommes blancs de quarante ans. Ensuite, on extrapolait ledit traitement au monde entier. Or, il faut raisonner en termes de population. Les injectables ne sont pas supérieurs aux comprimés mais peuvent mieux correspondre à certaines personnes.» Franck Barbier refuse toutefois tout excès face à cette innovation : «Les laboratoires ne manquent pas de parler de révolution mais c’est aux personnes de le dire. Ce qui est sûr, ce que ce traitement constitue une amélioration en fonction des besoins et des modes de vie.»

Professionnels de santé et militants associatifs rappellent l’importance du dépistage, après une année 2020 notamment marquée par les baisses de délivrance de la Prep (prophylaxie pré-exposition), un mode de protection ouvert en France depuis près de dix ans. Il s’agit, en effet, de prendre un traitement anti-VIH avant, pendant et après un rapport à risque, ou de le prendre en continu. Si ce traitement anti-VIH est correctement suivi, soit avant, pendant et après un rapport à risque, ou en continu, le risque d’être contaminé est quasi nul. D’après les données de Santé publique France, en 2020, on note encore que «30 % des infections au VIH ont été découvertes à un stade avancé, ce qui constitue une perte de chance en termes de prise en charge individuelle et un risque de transmission du VIH aux partenaires avant la mise sous traitement antirétroviral.» En France, on estime à 180 000 le nombre de personnes actuellement infectées par le VIH, dont près de 25 000 ne le savent pas, causant autour de 400 morts par an.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/traitement-du-vih-une-injecti...

Portrait de frabro

Bon, je me suis mieux informé sur le sujet avant de donner un avis, avis qui ne concerne que moi et pour mon cas personnel.

D'abord il ne s'agît pas d'une injection comme on lit partout mais de deux, une de chaque produit, faites en même temps une dans chaque fesse. 

Je lis des choses comme "les vieux séropositifs en sont exclus car stabilisés" ?  Si c'est vrai ce n'est donc pas pour moi.

Je lis ailleurs que les personnes en surpoids sont également exclues... Si c'est vrai ce n'est donc pas pour moi !

Le dosage de ces injections est maximum. Or, je pratique depuis des années l'allègement thérapeutique en un jour/deux. Donc, pas pour moi ?

Je ne loupe jamais une prise ; mes résultats sont non seulement stables mais en amélioration : record de CD4 battu à 41 % début décembre, rapport CD4/CD8 enfin revenu à 1 ; pas ou peu d'effets secondaires. Quel intérêt alors de changer ?

Bref, en conclusion très personnelle : pas pour moi, merci ! Laughing

Portrait de Nicolas13008

excuse moi mais je ne partage pas ton point de vu 

la prise quotidienne de prendre un cachet te rappel que tu es seropositif 

pense à ceux a qui cela leur rappel qu'il on cette maladie 

de plus je ne vois pas où tu as lu que les gens en surpoids ou vieux séropositif ni on pas le droit

n'oublions pas non plus que ce traitement serait une injection tout les deux à trois mois ce qui n'est pas négociable pour ton foix sans oublié que d'autre molécules que tu avales sont aussi néfaste pour ton organisme 

dit que tu n'es pas intéressé par ce mode de traitement mais ne dénigre pas les autres qui pourrait en bénéficier

Portrait de Cmoi

Ce traitement apporte avant tout un bénéfice psychologique, avec "l'impression" de ne plus se soigner et donc de ne plus être malade. Si cela est utile à certains, tant mieux. Mais il est le contraire d'un objectif autrement plus intéressant : l'allègement thérapeutique. Quant aux médicaments à libération prolongée, ils doivent être également métabolisés par le foie au fur et à mesure, et n'apportent rien de mieux de ce point de vue là. 

Portrait de Nicolas13008

d'apres l'étude qui a été faite il apporte quand même moins de travail pour le foix cela reste pas négligeable 

en plus d'apporter un côté moral au patient pour qu'il se sente mieux dans sa vie 

je t'appelle quand même que le bien être moral d'un patient est essentiel à sa qualité de vie

Portrait de Nicolas13008

as tu lu la dixième de page entre ce que dit le laboratoire suivit des essais clinique sans oublié la haute  autorité de santé 

moi j'ai peu les lires et il y a une net profession sur l'activité du foix 

un seul effet indésirable c'est le point d'injection qui est douloureux sur deux jours 

sans oublié que ton estomac et tes intestins retrouve un confort

je ne parle pas de l'activlite rénal 

tout ce genre de chose doit être pris en compte 

et pour info je me suis renseigné 

il n'a jamais été dit que ce traitement était exclus au séropositif de longue date et encore moins au patient en surpoids 

au contraire pour les personnes en surpoids cela aide à les faire maigrir car beaucoup d'autre traitement on constate une prise de poids une élévation des triglycérides et du cholestérol 

chose que cette essaie clinique a démontrer que cela n'était pas le cas de ce traitement injectable 

le laboratoire confirme que cette injection peu de faire en une fois et que les deux produits pouvaient être mélanges 

seul le patient peut dire qu'il préfère deux injection si il le souhaite 

alors oui ce traitement a plus de qualité bénéfique pour les patients et aussi pour leur organisme

Portrait de frabro

J'ai bien précisé dans mon précédent billet que je ne parlais que pour moi, et rien que pour moi. Inutile donc de m'agresser, si vous avez envie de prendre ce traitement faite-le.

Dans les publications il y a tout et son contraire, comme d'habitude. J'ai fait référence à ce que lisais sur Seronet (y compris sur ce fil de discussion) et à ce qui se trouve sur des blogs scientifiques spécialisés. Après, si certains écrivent sans savoir ça ne me regarde pas Laughing

Pour ce qui me concerne, après 30 ans de séropositivité, et ayant surmonté depuis longtemps tout ce que l'acceptation de cette maladie supposait, il n'y a pas de "bénéfice psychologique" possible. Je vis très bien comme ça, merci !

Faites vos choix, le mien est fait. 

Portrait de bob02

à chacun son choix , pour ceux qui se sentent malade avec ce virus , ou pour ceux sont déprimés ou des problèmes rènal  ou autre  , je pense qu'ils doivent en parler à leurs virlogues, pour ma part séropo depuis 1998 je ne suis pas malade, je ne suis pas déprimé, je suis en pleine forme , ma trie un jours sur trois me convient très très bien je continue comme ça , si on m'en laisse le choix car je pense que les labos ne gagneront plus assez d'argent avec ma trie qui coute à la sécurité sociale 240 euros pour trois mois 

Amicalement Jean 

Portrait de Nicolas13008

frabro wrote:
J'ai bien précisé dans mon précédent billet que je ne parlais que pour moi, et rien que pour moi. Inutile donc de m'agresser, si vous avez envie de prendre ce traitement faite-le.

Je ne t'es pas agresse alors ne prend pas le rôle de la victime je te pris 

je t'es juste dit que tu avais des infos fausse et que c'est n'étais pas la peine de denigrer ce traitement si les autres peuvent en bénéficier 

c'est plus clair pour toi calimero

Portrait de jimmye71

Bonjour,

je me pose des questions sur cette injection,je suis en allègement 2/7 odeyfsey depuis plus d'un an.

Ma question est peut on prolonger l'allègement avec l'injection? ou quand on s'injecte c'est comme si on prenait des ARV en 7/7 au niveau de la quantité de produit.?

Portrait de frabro

Il va de soi que ces injections sont à dose maximales et que toute idée d'allègement est contradictoire.

Quand on se sent bien avec un traitement et que la réussite est là sur le plan infectieux, pourquoi en changer ? *** Un propos a été modéré ***

Bon, d'accord, si ça vous permet de penser que vous n'êtes plus séropositifs, heuuu pardon plus malades ! faites-le. Votre bien-être psychologique n'a pas de prix et est partie prenante de votre traitement... InnocentSmileWink

Pour moi se sentir malade c'est avoir des symptômes, et je n'en ai plus depuis longtemps, y compris sur le plan psychique. Je suis séropositif, pas malade.

Sereinement,

Solidairement,

Portrait de Nicolas13008

 

on peu parler quand même d'un allègement car une injection tout les deux à trois mois cela ne reste pas négligeable 

on ne parle plus d'une prise tout les deux à trois jours ou 4/7

Portrait de frabro

L'allègement, c'est diminuer la dose de traitement dans l'organisme, pas simplement le rythme de prise de celle-ci en maintenant le corps à dose maximale en permanence ce qui est le principe des injections.

Portrait de Nicolas13008

c'est une prise tout les trois moi 

même mon Infectiologues qui aura le traitement disponible dans un mois parle d'un allègement

Portrait de Big Bad Badaboum

 D'une simplification de la prise de traitement et non pas d'un allègement thérapeutique, à moins que le dosage des arv en injections puisse être "personnalisé" et donc adapté à chacun , ce de dont je doute.

Je rejoins, me concernant, la vision de Frabro sur le traitement par injections.

Il n'en reste pas moins que c'est une avancée et très certainement un confort thérapeutique pour celles et ceux qui veulent et peuvent en bénéficier.

Portrait de Cmoi

Si la dose de médicament circulant dans le sang est maximale, il ne s'agit en aucun cas d'un allègement thérapeutique mais d'un allègement des contraintes. Il conviendrait de ne pas confondre les deux. Ce protocole n'a aucun intérêt pour quelqu'un pratiquant un allègement efficace, mais s'adresse certainement à des nouveaux séropositifs fragiles psychologiquement, ou à ceux en difficulté d'observance. "Si moins c'est bien c'est mieux" disait le slogan de l'étude I-CARE initiée par le Dr Jacques Leibovitch. On est pour l'instant très loin de cette perspective avec ce nouveau traitement. Il faut tout de même reconnaître qu'il est question ici d'une bithérapie, et que cela constitue un allègement thérapeutique par rapport à une trithérapie quotidienne.

Portrait de Big Bad Badaboum

Du coup, il serait intéressant de savoir ce qui est le plus "light" 

Une trithérapie prise un jour sur deux, voir sur trois, ou une bitherapie par injection .

C'est juste pour faire avancer le schmilblick, car, pour ce qui me concerne, après plusieurs échappatoires thérapeutiques, je ne peux pas envisager un quelconque allègement, que ce soit de mon traitement actuel (Genvoya) ou de passer en bitherapie, sans prendre un risque, puisque je n'ai plus de fenêtre thérapeutique de rechange..

Portrait de Cmoi

Je pense que le mieux est de comptabiliser le nombre de molécules absorbées par mois. Une bithérapie quotidienne (ou par injection cela revient au même) correspond à la prise de 60 molécules pour un mois de 30 jours. Une trithérapie prise un jour sur deux correspond, elle, à 15 jours avec 3 molécules, soit 45 molécules par mois. Le bénéfice est donc largement en faveur de la deuxième alternative. Si la trithérapie est prise un jour sur trois, la différence est encore plus marquée. Quant à une bithérapie prise un jour sur deux, on ne prend plus que 30 molécules par mois, il doit s'agir de l'allègement le plus "light" possible actuellement. On voit donc que le traitement par injection ne sort gagnant que dans un cas de figure, c'est face à une trithérapie quotidienne (60 molécules contre 90). 

Portrait de Angelo78

Je pense que c est quand même un allègement vu que c est une biterapie 

Portrait de Big Bad Badaboum

On ne peut pas faire de comparaison simplement sur le nombre de molécules contenues dans un traitement  comme tu le présentes Cmoi.

Le plus important étant le dosage en mg de ces différentes molécules.

Je prendrais pour exemple le Tenofovir qui est pour 245 mg dans le Truvada, que je prenais comme traitement avant, et qui, pour le Genvoya, mon traitement actuel, n'est présent qu'en quantité de 10mg.

On peut avoir une trithérapie, avec trois molécules différentes donc, mais en moins forte concentration que certaines bitherapie ne contenant que deux molécules mais au dosage plus élevé.

Comptabiliser 3 molécules par jour pour une triT contre deux pour une bitherapie ne veut rien dire sans en connaître les quantités.

Portrait de Nicolas13008

je pense aussi que c'est un allègement comme me l'indique mon Infectiologue

bitherapie et une injection tout les deux à trois mois 

Angelo78 wrote:

Je pense que c est quand même un allègement vu que c est une biterapie