Les archives communautaires

je suis délégué syndical et secrétaire de mon ce; un jour j'ai été voir mon patron et je lui ai laché que j'étais s+ et que je voulais qu'il le sache; est-ce adroit ou pas? je ne le sais pas.....mais je ne pouvais pas faire autrement.

 

En effet, comment expliquer mes fatigues brutales, mes pertes de concentration et plus pragmatique et direct, le fait que je ne puisse pas me rendre dans certains pays et gérer les repas dans l'entreprise.....( les diarrhées erratiques sont toujours angoissantes.......;)

 

Alors, l'avoir dit haut et fort au sommet de l'entreprise me permet d'être au clair avec tous et vu mon age j'ai peu de risques professionnels mais  certains ont ils fait les mêmes démarches ou êtes vous obligés de cacher votre situation? êtes vous à l'aise avec ça?

 

Bises à tous

Commentaires

Portrait de Zagadoum

Je vis avec l'AAH depuis prés de 8 ans.

J'ai tenté une expérience pro en 2004 qui a duré un an , j'étais chargé de clientèle dans un leader du marché hôtelier.

J'ai joué carte sur table , et on m'a proposé un rythme de travai qui correspondait à deux semaines à temps plein et deux semaines de pause.

J'étais sur un plateau en open space.

Concernant mon " pédigrée " mon test date de Novembre 1983 , j'ai un problème de coagulation qui a fait que que j'ai eu Le VIH , le VHB et le VHC.

- Coté VIH lorsque j'ai pris le travail , je sortais d'une cure d'interféron et j'avais un traitement anti-VIH bien corsé. ce qui m'a le plus géné dans mon expérience , c'est mes chutes de concentration , mes manifestations hémorragiques absolument pas prévisibles , génératrices d'absenteïsme , j'ai perdu mon emploi , et j'ai perdu de l'argent puisque je me suis retrouvé avec une AAH minorée et le chômage. bon 700 euros par mos.

Aujourd'hui je n'ai plus les Hépatites , mon cirrhose est en reversion ( j'avais le stade A2-F4 et à présent et bien ça donne du A2-F1). j'ai envie de reprendre un travail à mi temps.

Je ne dirai jamais à mon employeur que j'ai le VIH , il n'a pas à le savoir et mon traitement me permet de le cacher  comme mon était physique en apparence je vais bien. ce qui pose plus de problème c'est l'hémophilie , car même sous prophylaxie , c'est à dire que je me perfuse la proteine qui me manque deux fois par semaine , j'ai des saignements. je veux travailler et laisser une place à mon corps , je ne veux pas qu'il s'abime à cause de cela.

Ce qui me gène aussi c'est le volet financier , savoir que je vais pouvoir cummuler l'aah les apl , et un salaire pendant un an c'est bien beau , mais l'année qui suit c''est boum à hauteur de ce que j'ai gagné  avec un abattement sur de 20 à 30% sur ce que j'ai gagné , pour que l'AAH apparament ne soit pas trop minorée.

Et si il m'arrive quelquechose pendant ce moment là? je fais quoi?

Car même avec les allocations chômage , j'aurai peu.

 Je conçois que pour certaines personnes il faille un revenu d'existence , cependant j'ai l'impression de faire le grand écart entre le monde des handicapés et celui des valides , et pour des personnes comme moi il n'y rien.

C'est dommage que la socièté française soit si cloisonée.

Vont t'ils nous pondre un RSA spécifiquement pour les personnes ayant une TH , tout en intégrant la possibilité d'un revenu d'existence pour ceux qui ne peuvent vraiment pas travailler?

J'ai peur d'être vulnérable.

Portrait de Zagadoum

Je suis à l'aise maintenant avec cette problématique là , car ce virus je l'ai ok , mais mon identité , c'est mes racines familiales , mon histoire , mes expériences  liées à ce virus ou pas.

Donc en clair j'ai des trous dans mon cv , mais je vais certainement pas les mettre sur le dos du VIH , mais plutot sur les neuf cures d'interféron que j'ai du me coltiner entre 1993 et 2006, entre six et un an pris à chaque fois , ça couvre tous les trous ,  l'hémophilie je vais la gérer dans mon coin comme d'hab , et si j'ai des problèmes de concentration , je méttrais ça sur le dos de ma cirrhose du foie en réversion et sur le stress du lieu de travail.

 J'entends travailler à mi-temps de toute façon.

Maintenant l'écueuil que tu décris en matière de chute de concentration , oui dans le cadre du boulot je le crains. j'ai aussi un profil bordeline et je suis un hyperactif , ayant du mal avec le toucher et les émotions. mais bon j'y travaille.

Portrait de Zauberberg

Je pense que le plus sûr moyen de ne pas devoir se poser la question de la reprise du travail avec toutes les difficultés que cela entraîne quand on a longtemps cessé toute activité, c'est de ne surtout pas s'arrêter et de se maintenir dans l'emploi.

Mais, me direz-vous, que faire quand son état de santé ne permet pas de continuer ?

Il faut utiliser tous les moyens légaux disponibles : congés de maladie, congés de longue maladie, mi temps thérapeutique, reconnaissance du handicap, aménagement du poste de travail, réorientation professessionnelle, reconversion professionnelle...

Il existe à présent une multitude de dispositifs qui, notamment dans le cadre de la loi de 2005 sur l'égalité des chances, mais pas seulement, permettent de se maintenir dans l'emploi quel que soit son état de santé. Il faut solliciter, voire harceler son médecin du travail, la MDPH, son administration, l'AGEFIPH, les assistantes sociales, les associations...

Portrait de frabro

Je viens de lire les articles de ce forum, et je veux apporter un témoignage différent, qui va à l'encontre de ce que je viens de lire.

Sans doute suis-je un privilégié : je n'ai "que" le VIH, pas d'hépatites, jamais eu de maladies opportuniste malgré mes vingt ans de séropositivité, effets secondaires de la trithérapie plutôt bien controlés.

J'ai été en arrêt de maladie total dans les années 95/96, pendant près de deux ans, avec des indemnités misérables qui permettaient juste de survivre. C'est l'époque la plus noire de ma vie.

Dès que j'ai commencé les traitements, j'ai pu reprendre du tonus, et  un emploi à temps plein quelques mois plus tard. Etait-ce un nouveau privilège ? J'ai travaillé à AIDES pendant 6 ans, et la question de dire ou ne pas dire ne se posait pas puisque tout le monde savait déjà pour moi.

Je suis resté dans le domaine médico-social après avoir quitté AIDES, et j'ai cumulé un emploi et une formation longue de 30 mois pour obtenir une vraie qualification. J'occupe aujourd'hui grâce à cet effort un poste de direction, toujours à temps plein, avec des responsabilités grandissantes. Comme d'habitude, j'ai informé les dirigeants de la structure qui m'as embauché de ma séropositivité.

Je ne suis pas un surhomme : j'ai souvent des coups de fatigue imprévisibles, mais j'ai appris à gérer l'emploi du temps et à m'arrêter quand c'est nécessaire, quitte à travailler plus les jours où je suis en forme. Et puis, comme me dit mon médecin quand je me plains des petites misères de santé,  outre le VIH, j'ai aussi 54 ans !

Je voulais juste donner un témoignage positif sur la possibilité de mener une vie professionnelle intéressante quand on est séropositif. Je ne suis pas le seul, je connais de nombreuses personnes qui sont dans le même cas.

Donc pas de découragement systématique et pour ceux qui le peuvent, plutôt chercher le bon travail dans le bon environnement que faire la course aux AAH et autres RSA !

Portrait de nathou

 c'est primordial, faut dire aussi qu'au début du vih, je me suis pris trois bonnes années pour élever ma fille, ensuite quand j'ai était bien malade en 2000, pendant une bonne année, j'ai pas bosser, je pouvais pas, quand on peut pas, c'est comme ça, faut attendre que ça passe, faire tout pour aller mieux, prendre du temps pour soi, se reposer, c'est pas pour rien qu'on nous appelle des patients

Outre ses deux périodes, j'ai toujours bosser, l'intérim est un bon moyen, pour bosser et un peu t'arrêter comme tu veux, et puis l'avantage c'est que tu as souvent des propositions de cdd ou et de cdi, a toi de vouloir t'engager dans un emploi plus permanent.

J'ai énormément travailler en intérim, j'aime ce systéme, ou tu vois beaucoup de choses, ou tu changes ou aussi y peut avoir des périodes de repos, mais moi quand je bosse pas, je déprime, et là depuis avril je suis en fixe : cdd et puis cdi, mais jamais je le dirais, peut être a un moment, ça va se savoir, on sait jamais, là j'assumerais, mais je le dirais pas de moi même, c'est trop risquer.

Ah oui c'est vrai que généralement je suis continuellement fatiguer, mais quand je bosse pas, je vais pas bien alors a choisir, je préfére bosser et être fatiguer, et le week end je me pose, de bonnes siestes en perspective, je crois aussi il faut savoir arrêter la machine quand ça va pas, quand c'est juste de la fatigue intense, aprés si ya quelque la dessous, il faut savoir stopper et reprendre encore mieux encore.

 profitez de la vie tant qu'elle est présente

Portrait de Zauberberg

Beau parcours (avec le sas de Aides, précisons quand même). Et totalement d'accord avec toi : c'est possible ! Et il faut le marteler.

Portrait de sonia

avec le sas de Aides? QUEL SAS??? peux tu préciser tes propos zaub MERCI!

Portrait de manuseb

Je crois qu'il est important de rester inséré dans le monde du travail dans la mesure où l'état de santé le permet et si le travail ne risque pas d'être un facteur aggravant. Quant à dire qu'on est séropo pourquoi pas si on a évalué les conséquences et qu'on est prêt à les assumer. Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire car malheureusement l'homme peut faire preuve parfois de si peu d'humanité.
Portrait de jeanlouis

Chacun a son profil mais je crois que le droit a l'accès au boulot est un droit qui impose que toutes les adaptations soient faites pour assurer le maintien sans discrimination; Ces adaptations ne sont pas la lune pour les grosses boites si elles jouent le jeu mais y sont-elles vraiment prêtes?

et lesdiscriminations les plus douceureuses avec marginalisation et commisération, c'est l'horreur....là dessus, je crois qu'on a des choses à dire car ce sont les plus perverses....

Par exemple, pour moins te fatiguer, je te vide le poste de son contenu ou le dédouble et te laisse là en te disant que tu as déjà beaucoup de chance de toucher une paye.....et de rester dans l'entreprise....

Ces discriminations sont de plus difficiles à exprimer car elles s'insinuent sans matérialisation claire et franche mais sont le fruit d'attitudes et de manières de faire....de vraies salopes quoi..............mais sans le plaisir!!!!!!!!!!!!

Portrait de frabro

Comme ce propos sur le sas de AIDES s"adressait à moi autant que je réponde moi-même ! C'est vrai et je l'ai dit dans mon précédent article que c'est en prenant un poste salarié à AIDES que j'ai remis le pied dans le monde du travail. Il est clair que celà m'a facilité les choses. Mais c'était, après plusieurs années d'investissement comme volontaire et avec des responsabilités associatives, une suite logique. Une autre suite logique, en tous cas pour moi,  était de sortir de AIDES où je commençais à faire figure de "dinosaure" et de retourner me frotter au monde extérieur et d'y retrouver une place qui aie tout à voir avec mes capacités et compétences et rien à voir avec mon statut sérologique. J'ai toujours pensé que AIDES m'avait facilité le retour à la vie sur bien des plans. Mais c'est mon énergie et ma volonté qui m'ont permis à travers ce soutien de me reconstruire.

Tiens au fait, la retraite pour le vieux que je suis ce sera seulement à soixante cinq ans, (putain, onze ans !!!!), quand j'aurais cotisé assez pour  espérer en vivre décemment.

Portrait de Zauberberg

Si tu es reconnu handicapé à un titre ou un autre (RQTH, carte d'invalidité...), depuis la loi de 2003 sur les retraites complétée par la loi de 2005 sur l'égalité des chances, tu bénéficies de conditions particulières de départ à la retraite, que ce soit dans le privé ou dans le public : http://www.travail-solidarite.gouv.fr/espaces/travail/

Il se peut même qu'au sein de ton entreprise, des accords spécifques améliorent encore le dispositif (comme à la SNCF par exemple).

Et pour le "sas" qu'a constitué Aides pour toi, il n'y avait rien de péjoratif. Ce sont bien sûr tes compétences qui ont primé. Et je suis très favorable à ce que les associations (de handicap) aussi s'ouvrent davantage au réemploi des personnes en situation de handicap et pas seulement dans des postes subalternes comme c'est souvent le cas.

Portrait de Sauvage

Slt,

Ta facon de pensée est la plus juste à mon sens.

J'ai actuellement un poste à responsabilité dans une Pme.

J'aime mon travail , mais la pression est parfois enorme et j'avoue qu'en prenant de l'age

je resiste un peu moins bien. J'etais en arret la semaine derniere car j'en avait besoin et jai trés peur de reprendre mon boulot lundi , mais je vais le faire.

Je vais le faire pour deux raisons /

Cette semaine m'a permis de reprendre des forces, c'est un bon point, mais ma déprime c'est accentuée.......Je suis seul dans la vie à 13000kms de ma famille , je n'ai pas beaucoups d'amis et je ne veux pas les embetter avec mes problémes de santé.Heureusement j'ai un colloc qui comprend mes difficultés, mais si j'etais seul , franchement ,je ne sais pas ce que je ferai.

Oui je vais me surpasser lundi pour vaincre ma déprime car je n'ai pas le choix!

La deuxieme raison est simple , mon salaire est composée de primes et lorsque je m'arrette mon revenu se casse la figure vitesse grand v et mes charges ici sont trés elevées.

La derniere raison fait parti de ma "survie"lol

Cette derniere raison , devrait faire réagir les hommes politiques.

J'ai quand meme du mal à accepter que des amis proches de moi en parfaite santé ,sous pretexte d'un emploie dans la fonction publique ,se font arreter alors qu'ils n'ont absolument rien ,car en plus ils s'en vantent , percoivent l'integralité de leur salaires.

A priori il y a deux niveaux de citoyens dans ce pays . Comme toujours le "malin et la grivellerie" ont force de loi avec la benediction de l'etat.

Sauvage vous embrassent tous , en esperant que des gens ne se sentent pas visés car ce n'est pas le but de mon propos , je ne relate que des faits et rien que des faits dont la cinquieme Republique devrait avoir honte!

un seroposif ,malade ,en arret maladie doit percevoir l'integralité de son salaire durant ce dit arret!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ps ainsi que tous les gens en ald malade pour quelque maladie que ce soit , cela va de soit!!

Portrait de ptpunk

je pense comme vous ; heureusement que je taff celas me permet de ne pas etre assisté et dene pas me morfondre sur mon aides
Portrait de fekomunra

46 ans

je bosse à macdo

(champion du monde)

qui aille se faire mettre

ms c'est vrai que le mail

(argot bordelais voulant dire travail)

t'en a besoin pour vivre

 pour voir autres choses

salut àtoi punck anarchiste,salut à toi skin communiste

Portrait de ptpunk

oui suis de gauche exteme et je me bats contre l etat jai le droit je cotise j'en ai mrrd voir 1paquet de branleur sous pretexte qu'il ont le aides touche l'ah pour taper les service sociaux ne sont plus malade et c'est nous qui payons leurs cuite o bistrot ,car lah est plus rentable que la saint RMI j'espere que sa va devenir trés trés dur por la toucher
Portrait de fekomunra

c'était juste des paroles des béru,pas plus
Portrait de ptpunk

je suis punk depuis 1977 j'ai jamais pras de gant pour dire ce queje pense jai habaté en squat avec les beru je jouer a cet epoque dans la souris deglinguée la galére je connais mais je suis toujours restée actif l'oisiveté pas mon style aplus je me leve  5h30 pour gagner ma croute j'ai 1taff que j'aime {magasinier carriste dans 1cooperative du batiment 1dircteur et 400patron aderant j'ai la crete et je taff sans blem
Portrait de fekomunra

no future,tu te rapelles sauf que 26 ans plus tard,suis tjrs la amicalement
Portrait de maya

Bonsoir, je m'immisce dans cette trame que je n'avais pas lu encore pour confirmer le bienfait du travail et confirmer que c'est possible . J'ai toujours travaillé avec le vih et vhc. Des interruptions (zona, herpes, saloperie intestinale) mais rien qui soit plus ennuyeux que ca

Je suis rentrée dans ma dernière boite avec le statut handicapé (pas mal de boites sont conscientes qu'en realité un trvailleur handicapé se defoncera plus justement pour dépasser les prejugés et leur donner tort.

Je suis heureuse de bosser, ca me donne une autonomie et un equilibre. lA sphère professionnelle est la seule dans laquelle je ne parle pas du vih. pour plusieurs raisons : je ne veux pas etre traitée différemment des autres et qund tu dis ça à qqun il change forcément son regard sur toi.  c humain. donc en bien ou en mal peu importe.  C'est un choix qui me coute car je suis partisane du parler. j'en ai parlé à mon boss enfin c'est une boss lorsque nous avons sympathisé et engagé une relation qui n'etait plus professionnelle. Je savais à ce moment la qui j'avais en face de moi je ne prenais pas grand risque mais parfois avec le vih les réactions sont surprenantes...pas de risque zero à l'annonce. C'est elle m^me qui m'a conseillé de ne pas en parler et quand j'entends certaines rumeurs internes et le niveau des commentaires qui suivent c'est pas engageant en effet. Comme j'ai besoin de manger, que j'aime mon job tant que ma santé me le permet je continue dans la voie du silence. Si on y réfléchit qu'est ce qu'on gagne à en parler (ormi peut être le fait de remuer , d'interroger certains esprits) ? J'ai passé l'age des craintes des employeurs sur une potentielle avis de bb c'est pas pour entrer dans crainte elle va manquer-maladie :( , je ne manque d'aileuurs jamais .

J'espère pouvoir continuer à dire ça. 

Je relisais le post de zauberberg et me demandais combien ya t il de personnes concernées directement pr le vih chez aides? Act up ? cA m'inetreeserait de connaitre ses chiffres qui ne peuvent evidemment as exister mais je trouve logique que la 'priorité-faveur' d'embauche des 'ALS puisse être d'etre séropo. Parce que nos parcours professionnels de par la maladie sont + compliqués que ceux d'un chomeur séroneg.

 

Portrait de jeanlouis

Mais pour travailler en gérant les gastro, les coups de pompe, les moments de déprime, comment faites vous sans augmenter le stress si vous ne pouvez pas en parler au sein de votre boite;

je crois que j'aurais été dans une belle merde et pourêtre clair, je me serai senti totalement piégé si je n'avais pas pu en parler et expliquer la situation qui permet d'expliquer les aléas intervenus même si je croios que je reste globalement percutant au bureau....

Alors que faire pour en parler?  moi, j'ai joué franc mais je crois que j'ai beaucoup de chance....