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Beaucoup d'entre vous on déjà dû se prendre un râteau au moins une fois parce qu'ils étaient séropos. Souvent lors d'une rencontre occasionnelle, et parfois lorsqu'on commence à tomber amoureux... l'autre part en courant devant l'annonciation. Si on veut pas mettre de capote, il vaut mieux tout dire et dans le détail : on pourra au moins essayer de réduire les risques sexuels en séroadaptant la partie de jambe en l'air. Lors d'une relation amoureuse, il vaut mieux à mon avis ne pas trop attendre, car un jour ou l'autre le partenaire voudra légitimement le faire sans capote. Mais pour un plan cul ou une histoire d'une nuit, doit-on systématiquement dire que l'on est séropo quand on utilise un préservatif ? Question polémique certes, surtout dans notre contexte contemporain de pénalisation de la transmission du VIH, modifiant considérablement les conditions du secret médical et de l'annonciation de la séropositivité. En fait, pour paraphraser un séronaute, est-il acceptable de nous appliquer à chaque fois "la morale de l'aveu" lors de nos rapports sexuels protégés ?  

Commentaires

Portrait de jcm2

Le secret medical n'existe plus depuis qu'on a obligé les médecins et les prêtres à le violer dans les affaires de pédophilie. Pour le reste , je ne vais pas redire ce que vous avez lu et compris ( au moins vous, apparemment, ce n'était pas le cas de tout le monde ) sur la morale de l'aveu comparée à la morale de la responsabilité partagée. Marcella Iacub, une intellectuelle de très haute volée, juste en dessous d'Elizabeth Badinter, met un bémol à la responsabilité partagée qu'elle défend pourtant. Elle dit ceci : " ce n'est pas la même chose quand on est homo et que l'on sait que le VIH est partout, et quand une femme rencontre un homme hétérosexuel, qui lui est encore supposé séronégatif. Le degré de conscience du risque est différent. "

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Là dessus, je ne suis pas d'accord, c'est la même chose. le problème intéressant est la question éthique, et non le degré de conscience du risque soumis aux statistiques, même si ce risque est effectivement très différent. C'est à la personne qui est en position de force ( séronégative ), de faire l'effort, et de ne pas attendre un aveu d'un éventuel séropositif. Une femme, doit dire avant de s'engager si elle accepte ou n'accepte pas de vivre avec un séropositif. Quelque part elle devra avouer sa propre faiblesse, plutôt que d'exiger un héroisme qu'elle n'a pas à son partenaire. Pour le reste elle a très bien ridiculisé l'association Femmes Positives et dénoncé les aberrations morales de leurs positions.

Portrait de jcm2

je reprends le titre de skyline dans cette rubrique : "Doit-on toujours dire qu'on est séropo lors de rapports sexuels protégés ?" . .....Il faut comprendre "lors de rapports sexuels NON protégés bien entendu, sinon la question perd tout intérêt. Figurez-vous que je n'ai pas remarqué l'erreur tout de suite ! Ca me rappelle aussi mes heures de "gloire" sur un forum où une actrice de la prévention au pseudo prédestiné de "tortilla" ( tarte ....ou galette, mais tarte plus surement ) avait voulu m'enfoncer et avait écrit " les séropositifs ont des gênes de criminels" au lieu de "les barebackers ont des gênes de criminels". La connasse de chez connasse s'était tellement pris les pieds dans le plat dans son lapsus qu'elle avait disparu du forum pendant un certain : bon débarras. Je dis cela comme avertissement pour les plus nuls de chez nuls comme elhoukoum, qui n'a rien à envier à celle que j'ai envoyée autrefois au tapis manger sa tourte avec son ratelier Ici, rien de tel avec skyline, mais le lapsus est quand même très très intéressant ! Qu'est-ce qui peut provoquer une telle erreur, une fois qu'on admet que l'étourderie ou la syntaxe ne sont pas la cause majeur de l'erreur ?
Portrait de jcm2

Il n'y a pas de lapsus, mais justement , revenons-y : quel est l'intéret du post initial : aucun.
Portrait de Zauberberg

Et non tortilla = omelette de pommes de terre !
Portrait de jcm2

Vraiment je m'interroge ? J'ai trouvé plus vicieux que moi. Dans l'art de suggérer l'air de rien que la capote n'est pas fiable, j'ai affaire à mon maître. Jusqu'à présent, la réalité est celle-ci : grâce à la capote, on ne dit JAMAIS que l'on est séropositif. Et voilà un message qui dit qu'il faudrait TOUJOURS continuer à avouer qu'on est S+ malgré la capote ! La question encore une fois est totalement sans intérêt sauf à considérer une évolution dans un mental collectif des S+, lesquels seraient écrasés jusqu'au bout jusqu'à plus soif. Je crois que skyline est parano dans le sens pathologique (la paranoia n'étant pas une pathologie mais une facultée qui peut dégénérer, nuance )
Portrait de jcm2

je suis hispanisan, et un de mes ex était andalou. Tortilla désigne certes aussi l'omelette, mais la racine rappelle bien tourte et tarte, et l'omelette en question est solide comme une tarte. L'omelette permet au contenu de tenir. je vais voir de mon coté le profil de skyline tellement j'ai été estomaqué par sa question. Est-ce qu'on en est à ce point de psychose collective chez les séropositifs des associations ?
Portrait de Zauberberg

Sans doute sans doute.  Pourquoi "on" dans la dernière phrase ?
Portrait de moajdi

en cas de rapport protegé ou non... dans les circonstances de face à face avec quelqu'un meme non sexuel... doit-on le dire ou pas...

à ma boulangère je vois pas l'intérêt. nos rapports sont purement utilitaires...

à quelqu'un avec qui je partage une intimité, une connivence, un espace de vie...

la question commence là... et s'arrete assez vite : que gagnez-vous à ne pas le dire? une occasion supplémentaire de vous torturer ?

vraie blonde inside

Portrait de Zauberberg

Et on en revient à la question dont on a discuté longuement... Question sans fin... Réponse individuelle....
Portrait de jcm2

Après un rapport d'un jour ? On perd à le dire beaucoup plus que vous ne croyez . On donne l'impression de se faire plaindre et on se place en bas. On donne l'impression d'avoir fait son devoir et de s'y soumettre : non, Il n'y a rien à dire; il ne FAUT rien dire. Ensuite, le mot sida casse le coup, même entre barebackers ! or une personne consommée , contrairement à une croyance, reste consommable encore. = 2ème raison de ne rien dire si tu veux te retaper la meuf. /////////////////////////////....Après, il y a le coté zizichologique : on se sent mieux en le disant. exemple, moi : je ne vais pas dire le contraire : je suis séropo et je ne mets pas de capote et je le dis. ///////////////////////////// Mais ici, la question était d'un ordre : judiciaire ! Si on ne dit rien, on serait passible de justice même dans les rapports protégés, voilà ce que sous-tend le post de skyline. On est en plein délire !
Portrait de ptitmatou75

Je préfère éviter les rapports protégés, ainsi le fait de le dire ou pas n'est plus la question. 

 

Portrait de Zauberberg

Je me réponds à moi-même.
Portrait de Zauberberg

Avec la connaissance qu'on a aujourd'hui - en tout cas chez les gays -, je sais que si on a des rapports non protégés consentis, je risque de m'infecter et pas seulement au vih.

En cas de rapports protégés, je suppose que l'autre peut être séréopositif et pas seulement au vih. Et lui suppose la même chose de moi. On n'a donc pas besoin d'aborder le problème.

Donc, dans le cas des rapports non protégés, on peut dire ou pas qu'on est séropo. Cela n'a guère d'importance.

Dans le cas des rapports protégés, la question ne se pose plus puisque la séropositivité est supposée, posée comme hypothèse de départ, implicite...

Portrait de Sophie-seronet

Si le débat pouvait se poursuivre sans les insultes, il n'y perdrait pas son intérêt.

 

Sophie-seronet

Portrait de Zauberberg

En effet, je crois même qu'il y a eu des insultes proférées à l'égard de tofo-seronet notamment.
Portrait de jcm2

La lisibilité : avant les ravages des campagnes de prévention menée par les homos intégrationnistes qui ont menti pour sauver leur image, le rapport sans capote était parfaitement clair : celui qui ne mettait pas de capote ou bien était séropo ou bien acceptait le risque. Cette clarté a été détruite pas les messages de campagne publique qui ont fait croire le contraire. La pseudo obligation morale de mettre la capote quand on était S+ a certainement pu faire croire à de jeunes naifs que ceux qui n'en mettaient pas étaient S- , alors que les milieux médicaux et associatifs savaient pertinemment que les S+ sont précisément ceux qui mettent la capote le moins. Alors quand on accuse les barebackers de tromperie, outre le fait qu'ils sont les plus francs, les plus courageux, il faut bien que cela soit clair : les phénomènes de tromperie sont le résultat direct des campagnes de prévention qui ont tout misé sur la capote obligatoire et sur des messages complètement aberrants et désinformants : aujourd'hui tout le monde dit oui etc.....malgré cela, il n'y a pratiquement aucune plainte chez les homos pour tromperie , et pour cause, ils ont tous été formés à l'école de la responsabilité pleine entière et partagée et non à la morale débilitante et déresponsabilisante de l'aveu.///////////////////////////////////////////// Petitmatou, il y a 2 façons de lire ta réponse : Je préfère éviter les rapports protégés, ainsi le fait de le dire ou pas n'est plus la question. : quand on se protège pas, on ne dit rien dans les rapports anonymes ou on s'en moque ( vrai ! ), ou bien le post ne concerne que les rapports protégés, donc ne te concerne pas, et ne concernera pas grand monde à mon avis même chez ceux qui se protègent....
Portrait de Zagadoum

 Au vu de ce que j'ai lu , entendu ici et là , études suisses comprises.

Ah si je pouvais être en Suisse :)

Ce que je pense , c'est que le préservatif est remis en question dans une relation durable.

Si l'on se place dans un trip , qui conciste dans l'occasionel , dire sa séropositivité n'est pas néccéssaire à mon avis .

Par contre dans ce cas on prend seul la décision pour l'autre et on fait attention à la pose du préservatif.

Et puis le trip d'un soir , si tout peut s'y passer , si l'expression existe c'est pour signifier une relation sans lendemain.

Si il est question d'une relation de couple , il faut éviter l'écueil du " gage d'amour ", car là c'est un chantage.

Si il doit y avoir une relation protégée autrement : c'est à dire sur la base d'un traitement pris " nickel" , d'une charge virale négative depuis au moins un an , et sans pratique anales , alors avant même de penser à quoi que ce soit : il faut révéler sa situation sérologique à son partenaire , et  parler . c'est celle qui nous accueille qui a le dernier mot.

Mais je pense sincèrement que ces relations protégées autrement s'inscrivent forcément dans le fait de dire ce qu'il en est , et dans le consentement. il en va de même   pour choix de se protéger comme on l'entend normalement .

Et puis c'est se placer dans une logique d'engagement.

Le dire c'est déjà s'engager.

Concernant le serotriage , je pense que c"est de la cuisine , tout simplement parce que le VIH n'est pas la seule ist transmissible , que bon se mettre à parler médocs pour savoir ce qu'il en est pour chacun de nous , n'est pas forcément trés charmant , et que en parler ne suffit pas , ça se prouve.

Sans compter les info bio de type : " ta vh est négative depuis quand ".

Portrait de sonia

Jcm2 bravo!!! enfin une vraie discussion, tu nous fais oublier le départ brutal de kaaphar et de serialfucker, merci encore pour le niveau d'analye, et aussi à nos membres chouchoutés de seronet, sophie et zauberberg.

Portrait de jcm2

Vous n'avez pas aimé mon "se taper une meuf" ? Vous avez raison !...Ce sujet de dire ou ne pas dire ne m'intéresse plus, parce que je l'ai résolu depuis longtemps pour moi-même, je ne l'évalue que par ce qu'il sous - tend, et par la façon dont il est posé....."Doit"-on "Toujours" dire etc......la réponse n'est pas individuelle. On ne Doit rien du tout . On est libre de dire ou de ne pas dire. Cette manière de poser les questions comme si il était évident et reconnu que l'on "devait" dire . Doit-on dire quand on se protège si on est séropositif, suivi de "la question est polémique" ! Non, elle ne l'est pas du tout et ne l'a jamais été. On n'est obligé à rien dans ce cas là.

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dans les relations anonymes, ne perdons pas de temps à répondre : il n'y a rien à dire mais surtout, il n'est rien dit.

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Dans les relations de couple, la question est plûtot comment dire ? C'est à celui qui veut savoir de poser la question et non au malade de l'avouer s'il ne veut pas en prendre l'initiative, ça c'est ma seule "certitude"

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D'une manière générale, je ne trouve rien qui m'intéresse dans ce site comme initiative, laquelle devrait être la défense sociale des intérets des séropos et non la prévention qui génère leur exclusion. tant que les sites sida seront aux mains des "préventionnistes", vous ne ferez aucun progrès dans l'amélioration de votre situation.

Portrait de skyline

Parano, psychose collective, sous-entendu... hummm, j'adore, j'en prends pour mon grade, mais je suis quand même un peu déçu par ta retenue, j'ai pu te lire autrement plus agressif.

Bien sûr JCM que mon post était clairement orienté et normatif. C'était pour avoir le plaisir de te voir le déconstruire. Et pour que les néo-séropos qui souffrent de cette question puisse avoir des référents qui sortent du cadre préventionniste et du contrôle social. La pédagogie c'est pas si mal non ?

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Si ça se passe dans le noir avec une musique tellement forte que vous n'avez pas compris son prénom, c'est certain que c'est pas la peine.

Si vous pensez le revoir et établir une relation, ça vaut mieux, à moins d'être insensible au rejet. Le rejet fera plus de mal sur une liaison.

Encore que les homos sont quand même mieux renseignés sur le sida que les mecs-a-trans.

Au début de ma séropositivité j'ai été prise d'une boulimie sexuelle: je pense que je voulais me prouver que je pouvais encore séduire. Mon minitel chauffait. J'indiquais que je pratiquais le sexe sans risque -contaminer quelqu'un me serait insupportable- mais  Je ne leur disais pas maserologie...mais du coup quand certains s'attachaient je fuyais, de peur d'être rejettée. Un garçon avec qui j'avais un début de liaison sm a fini par deviner. Il m'a dit des mots gentils, son oncle homo était mort du Sida...Mais je l'ai plus revu: la compassion fait rarement bander.

Curieusement je retrouve là une thématique trans. Au début de ma vie de femme ça m'éxitaient les mecs pas au parfum...Les entraîner vers des zones inconnues...Avec le risque qu'ils deviennent violents. Maintenant je préfére un homme qui apprécie ma différence.

Et mes amies transsexuelles opérées ont le même problême. Un queutard va finir par faire la différence entre un vagin classique et un neo-vagin...Et quand au bout de trois mois l'homme que vous commencez à aimer vous dit "tu m'as menti", ça  fait mal .

Alors faut-il le dire? Ca dépend pour quoi faire.Dés qu'il y a du sentiment ça se complique.

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

C'est ça qui me frappe le plus chez les thuriféraires du sexe à risque: le fond de mauvaise conscience et de culpabilité, derrière leur discours.

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 Une partie du message a été effacée. Voir réponse qui suit.

Admin

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Derrière votre aggressivité c'est votre désaroi que j'entends. Oui il y a surement des gens totalement inconscients pour qui le prochain orgasme est plus important que la santé des autres. Mais la pluspart qui se livrent à des pratiques à risques et le revendiquent n'en sortent pas indemnes. En dix ans de Sida j'aurai pu contaminer pas mal de mecs, des centaines peut-être: combien de types m'ont sorti "la capote?Mais je suis pas pédé!" Je me suis tenue au préso, en dix ans je n'ai eu qu'un accident de capote, et je me sens légère. Je n'ai pas besoin d'échaffauder des théories conspirationistes sur les tenants du sexe protégé qui monteraient un colmplot pour couper la teub à ceux qui baisent sans capote. La mort des autres ne m'exite pas. J'ai pas mal pratiqué le SM ça m'a appris à canalise mes pulsions sadiques (et masochistes).

A part ça ce n'est pas les personnes que je condamne, ce sont les pratiques. Il faut être un peu fou pour faire la promo du sexe à risque, beaucoup se détester. Et ne pas avoir peur de la surinfection (depuis l'arrivée de cette épidémie chaque fois que j'ai entndu "ça n'est pas prouvé que" c'était justement prouvé). Non je n'ai pas de haine pour les barebackers...Un peu de mépris quand ça devient une pratique commerciale, un effroi dans la relation à l'autre, mais surtout de la pitié: *********************************** (partie effacée) Admin ***********

Portrait de olivier-seronet

Il n'est pas correct de parler ainsi d'un mort. Le fait que ce soit Guillaume Dustan n'autorise pas à déroger à cette régle éthique élémentaire.  Merci d'entendre cette remarque et de ne pas recommencer sous peine d'effacement complet du message.

Le message incriminé a été en partie effacé.

Paix à son âme.

Administrateur Seronet

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Sur le rapport de Baudelaire ou d'Alphonse Raabe à la syphilis je peux?

 "T'infuser mon venin, ma chère"...  la fin du poéme de Baudelaire (provocatrice à l'époque)contient tout ce qui va devenir le romantisme vieillot des sectataires du sexe à risque...Quand à Alphonse Raabe , "l'Antinous d'Aix", une syphilis contractée pendant la guerre d'Espagne de Napoléon le défigura à jamais, il en écrit un livre curieux "album d'un pessimiste" ., recueil des citations les plus mortifères de la literrature latine et grecque.

Il finit par se donner la mort, mais auparavant enterra une jeune fille d'extraction modeste tombée amoureuse de lui qui le soigna, mais mourut avant lui emportée par la maladie qu'il lui avait refilée.Il y avait pourtant déjà des condom à l'époque (en boyau de chat?).

Peut-être un peu plu de culture aurait pu servir à comprendre cette histoire,-l'apologie des pratiques à risques- qui s'appuyait sur de vieux clichés.

En fait c'est surtout aux médias que j'en ai...

Les grecs anciens avaient une pratique comparable, celle de faire des "héros" des grands transgresseurs. Dans oedipe à Colone, les villes grecques se disputent Oedipe qui va mourir,

parceque son cadavre portera chance à la ville où il sera ensevelit...Dans le systéme médiatique il y a un culte de la transgression (une transgression individualiste de pacotille le plus souvent), trés pernicieuse à la fin. Et cette argument du "politiquement correct" qu'on vous envoie au visage en permanence, dés que vous voulez plaider la raison! Le politiquement incorrect n'est pas mieux que le politiquement correct.  Hitler c'est génial parce que c'est tellement  politiquement incorrect?

Pour revenir à mes discours incorrects,  cet écrivain séropo est délivré de ses tourments. Qu'il repose en paix.

Portrait de la_consty24

pour ma part je pense que c'est une affaire de conscience, dire ou pas dire?ça depend, mais à mon humble avis je crois qu'il faut en parler avec son partenaire pour éviter tout désagrement par la suite.car dit-on qui veut aller loin doit menager sa monture

Portrait de skyline

Doit-on toujours dire qu'on est séronegatif lors de rapports sexuels (protégés) ? ;-)