Le blog de pascal1969

Bonjour, La lecture du livre de Gérard Atthias : "Racines familiales de la ma à dit" m'a profondément impressionné. Il y explique que toute maladie, donc y compris la pathologie VIH, est la solution parfaite d'un conflit transmis la plupart du temps de façon inconsciente par nos parents et notre famille. Cela raisonne en moi comme quelque chose de juste. En effet, dans un de mes textes précédents...

Comme les autres, je suis presque totalement identifié aux apparences extérieures, à l'endroit où je vis, au métier que je fais, au pays dans lequel je vis, à ma maladie... Pourtant, j'avais comme tout le monde lu et entendu que l'homme est bien autre chose que l'énumération de toutes les caractéristiques qu'il emploie pour se définir quand il parle de lui-même... J'avais même eu la faiblesse de...

Quoiqu'il en soit, j'ai entre les mains ce qui m'est le plus cher : la compréhension. Enfin je comprends. Je comprends et ressens. A la fois je perçois l'intense désir de fusion du "bébé intérieur" et à l'opposé son abyssale carence affective de voir que son désir n'est pas comblé. Qu'il ne l'est par personne. Et en vérité, il ne peut pas l'être et ne doit pas l'être car justement, il s'agit de...

A un moment donné, un peu plus tard, une évidence est montée en moi. Une évidence, je n'ai pas d'autres mots : l'amour que j'éprouvais pour ma mère était d'une nature tout à fait incestueuse. Ma mère m'avait toujours raconté qu'elle avait quitté mon père au moment de ma naissance. Elle me disait que mon père n'était même pas venu me voir à la maternité, qu'elle était remontée toute seule avec moi...

La seule chose que je savais, c'était que quand l'enfant entend une parole blessante, traumatisante, il peut se protéger en fermant les écoutilles. Cela expliquait comment cela s'était passé mais cela ne me révélait pas ce qu'il s'était passé. Et moi, ce que je veux PAR-DESSUS tout, c'est comprendre, me comprendre. La seule chose dont je me souvenais, c'était la parole de ma mère : "quand tu...

CONCLUSION Autour du week-end du 15 août, noble date, j'ai eu la chance de pouvoir faire une première session TOMATIS. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas cette méthode thérapeutique, je dirais simplement que c'est une méthode d'écoute assez sophistiquée. Tomatis est un chercheur français des années 50 qui a travaillé toute sa vie sur l'oreille... Le praticien Tomatis, à l'aide d'un test...

Alors, sans comprendre, je fais néanmoins un lien entre le VIH et un travail de transformation qui dépasse mon entendement... Et mon médecin m'a donné une autre clef, une clef issue du langage : le virus est un truc qui nous aide à virer nos us et coutumes, c'est à dire, en en revient au même, à nous transformer : le vire us... En ce qui me concerne, j'ai l'intuition que, bientôt, la présence du...

Et je me suis alors souvenu de Mère qui engageait Satprem à ne pas lutter avec sa propre force mais avec la Force suprême... En fait, jusqu'à présent, avec le VIH, j'avais toujours essayé d'être gentil ! De faire avec, de le transformer, de patati et patata... Ce n'est pas que je sois désormais en haine ! Cette fois-ci, j'ai pris la décision d'évacuer ce virus. Et quand je dis "je", je pourrais...

Septième étape : à partir du 15 août 2008 Cela fait 15 ans que je me bats avec le VIH, et depuis plusieurs semaines, j'ai l'intime conviction qu'éradiquer le virus est quelque chose de possible... Je sais, c'est scientifiquement totalement inconcevable et néanmoins, je ne cesse de ressentir cette possibilité comme une vérité... Je le sens comme une vérité sur le bout de la langue, comme quelque...

5) Une chose encore ! Et tant pis si mon propos paraît solennel. Dans les épreuves indicibles de la vie, j’ai souvent voulu mourir. J’ai longtemps crû que j’allais finir par mourir de chagrin. Encore aujourd’hui, il m’arrive d’être submergé par un sentiment de détresse. Et je peux dire une chose très simple : toujours, c’est l’amour qui m’a sauvé la vie. L’amour, uniquement l’amour. Sans l’amour...