Le blog de Ferdy

- C'est dingue ça ! - Quoi ? demande l'autre, assis face à un écran aussi large que son studio. - Eh, bah, tout ça, toute cette technologie qui nous envahit. - Ah bon. (il va vers le micro-ondes, faire réchauffer un plat douteux) - Autrefois, les gens n'avaient pas le téléphone. - C'est peut-être parce qu'ils n'avaient rien à dire. - Tu te trompes, ils n'avaient pas le téléphone, parce que c'...

Ce n'est pas parce que nous sommes le 8 mars qu'il faudra évacuer le sujet complexe et problématique des hommes dans leur parcours professionnel . C'est ce que proposent Rachel Silvera (économiste et maître de conf à Paris X) et François Fatoux (délégué général de l'ORSE), dans une étude prometteuse parue ce matin dans Libé http://www.orse.org/newsletter/PDF_2011/fevrier/Etude_accords_egalite_21...

Ah ! Audrey Hepburn, hier soir sur Arte, habillée par Givenchy ( Charade , de Stanley Donen, 1963), donnait une leçon d'élégance à cette fashion week. Juste le strict nécessaire, un jeu de couleurs basic, quelques accessoires (gants, chapeaux, sacs à main, chaussures, etc.), presque austères, tout le contraire de tout le tralala de ces espèces de robes truffées de paillettes et de plumes teintées...

C'est en discutant à l'instant au téléphone avec un ami que l'expression est survenue. Il ne s'agit ni d'un miracle, ni d'une quelconque révélation. Nous parlions de nos antécédents. Lui, a passé sa jeunesse en banlieue parisienne, dans une HLM comme on en faisait encore à l'époque (1960), destinée à la classe moyenne méritante. Quant à moi, je l'ai déjà révélé ici, après quelques années passées...

Il me plaît de revenir vers cet espace perso, comme on se plaît à traîner chez soi en pyjama (si ça existe encore) et robe de chambre, si j'avais des pantoufles et non ces sandales en cuir que je porte à l'anglaise (avec chaussettes !), le portrait achèverait une descritpion assez succincte de mon intimité, je ne me rase plus depuis deux semaines, pour voir à quoi je pourrai ressembler, quitte à...

Comme son nom l'indique, l'animal en question a pour principale mission de tenir compagnie. Il ne vient pas systématiquement combler un manque. On le rencontre tout autant chez les célibataires que dans les familles heureuses ou recomposées. L'animal est souvent un chat, surtout si l'espace vient à manquer, mais on rencontre aussi bien des chiens dans de petits studios que dans de coquettes...

Il est tout de même hallucinant de constater que la révolution en cours en Libye n'est perçue, au sein de nos fragiles démocraties, qu'à l'aune du prix du baril de son pétrole. Si ce grand pays s'était contenté d'un peu d'artisanat local, d'élevage et d'agriculture, l'événement serait presque passé inaperçu. Il a fallu cette injustice géologique sur l'implantation des hydrocarburants pour s'...

Généralement, quand nous partions encore en famille vers quelque endroit reculé, ma mère posait cette question angoissante, à 300 km du lieu de départ afin, peut-être, de tester les capacités de résistance de l'homme qui lui servait de mari et, accessoirement, pour mon frère et moi, de père. Une fois, je me souviens que nous sommes rentrés dans un appartement parisien totalement inondé, car à la...

Chaque petit scandale qui parsème le bilan catastrophique de ce gouvernement confirme ce que nous savions déjà : au sommet de l'Etat, ses fidèles serviteurs (les élites) n'ont de cesse de le corrompre, afin de le rendre sans attrait pour l'électorat de base lequel bientôt s'abstiendra, comme il le fait déjà (ce ne sont pas les prochaines cantonales qui viendront me contredire) ; tout semble ainsi...

Je n'aime pas le mois de février. Le plus souvent, il y fait froid ou bien, comme aujourd'hui, il pleut. Avec ses vingt-huit jours, il paraît mesquin. Et cependant, il paraît interminable. Aucune fête ne vient le distraire. Ne nous laissons pas égarer par la St-Valentin qui est une opération de fleuristes assez vile. Février, dans nos contrées, trimballe avec lui ses charriots d'épidémies...