Portrait de

Le blog de JIPETTE

Portrait de JIPETTE
Publié par JIPETTE le 27.12.2012
1 486 lectures
Grandange-Florange : le capitaine Régécolor pédale dans la vase. Nous, nous sombrons avec le pédalo fangeux. Le capitaine vaseux n’a pas de parole - demandez aux gars de Florange - mais il roule des mécaniques, sur son fauteuil empire (bien trop grand pour lui) Le verbe vide au secours de l’incapacité à agir. Sur ce radeau en déshérence, médusé, je constate que certains ont encore les pieds au...
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Publié par JIPETTE le 22.10.2012
747 lectures
***correspondance privée effacée* ___________________________________________________ **** ch des mâles juska 43 ans. Bonjour la précision. J’ai posé la question si pour 44 ça marchait ? Ironique naturellement *** non. *** répond serieux : non ça colle pas Moralité : A vous de juger Par moment seronet cé plutôt n’importe quoi.
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Publié par JIPETTE le 21.10.2012
631 lectures
En 2007, les 0,1% des ménages qui gagnaient le plus gagnaient 220 fois plus que les 90% du bas, 1% des ménages détenaient un tiers de la richesse du pays de 2002 à 2007, 65% des gains totaux de revenus du pays sont allés à ce même 1% (93% en 2010 !). Ça vous indigne ou ça vous révolte ? Le coup de poing après les coups de gueule de Quevedo. Je m’indigne avec Stéphane Essel, et des centaines de...
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Publié par JIPETTE le 20.10.2012
610 lectures
>AUTEURS D'HIER TOUJOURS PRESENTS Un roman publié de son vivant : Le diable au corps . Un second posthume : Le bal du comte d’Orgel . Deux titres et un succès foudroyant pour Raymond Radiguet, cet éphémère flamboyant. 1903-1923 : 20 ans, fulgurante fièvre typhoïde et fin d’un émerveillement. Un diablotin des lettres a chevauché d’un coup de foudre ce siècle naissant. “Il comprit et fit en...
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Publié par JIPETTE le 29.09.2012
669 lectures
Auteurs, du passé, composés au présent Inutile de vous abreuver d’Amélie Poulain ou de Nothomb stylée (…du chapô !) Du Goncourt et Fémina, en cette période de prix, gavé vous serez. Que deviennent ces auteurs du passé statufiés dans les chronologies pourtant certains méritent, toujours et encore, notre attention. Retour sur René Crevel (1900-1935) Tel un éclair flamboyant il a traversé l’aube du...
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Publié par JIPETTE le 23.09.2012
1 138 lectures
En tant que journaliste-localier j’ai eu à être chagrin au cours du déroulement de ma “carrière” : Mais qu’est-ce que je fous là dans ce repas de fin d’année avec M. le Maire qui gave nos aînés de sucreries et autres bouchées chocolatées dites crottes. Des merdes oui, pour ces pauvres gens s’étouffant de gâteau des Rois et crachant leur dentier dans le Muscadel (un sous champ. Très sucrailloux...
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Publié par JIPETTE le 08.09.2012
1 118 lectures
C’est un monde tout de même de ne pouvoir jouir en toute quiétude de nos privilèges et prébendes. Rouler en Jaguar sans susciter la jalousie, taster du caviar sans avoir face à vous des crevards indécents qui mendient. En plusse, ils polluent l’atmosphère. Pas écolo ces gens là. Des mendiants ! Saint Antoine quelle horreur. Passer une semaine hivernale sur une île paradisiaque, les Marquises, et...
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Publié par JIPETTE le 05.09.2012
855 lectures
Je vais semer la désillusion chez les jeunes hommes ambitieux qui auraient la vocation de travailler dans la presse. Ce n’est pas une sinécure, loin de là. L’immense majorité des journalistes titulaires de la carte de presse sont de glorieux inconnus qui font rarement plus de 50 km par jour. Oubliez PPD quelque chose, oubliez le duel présidentiel du second tour vous avez peu de chance d’en être...
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Publié par JIPETTE le 04.09.2012
959 lectures
Texte dédié à POUET-POUET « Venez petite crasse, je vous attends ! » Nul besoin de consulter la signature. Violaine est sur le grill. Mûre pour un fauve embrochage. Hier, échange de textos bien peu lapidaires. -Ton ange dur va trépigner sur mon larmier fauve. Viens toaster mon tube et savourer ma céleste praline. -Me voici, voici tout moi ! Vers toi je rampe indigne ! Monte sur mes reins. Mon nid...
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Publié par JIPETTE le 27.08.2012
660 lectures
Dans ces lagunes submergées de sagnes, les locaux se servent de cette lande, cuivrée en automne, pour construire des cabanots au bord des lagunes. De formes arrondies, pour résister à l'herculéen vent du Nord, ce matériau est un parfait isolant de plus très résistant. D’ailleurs, ici, tout le monde résiste : hommes, bêtes, nature. Génétiquement parlant tombe mécaniquement un “Non” catégorique. Le...