ADIEUX */ Tu restes comme un fantôme sur le mur, A fixer mes yeux vagabondant dans ces lieux peu sûr ! Mes larmes qui en découlent se confrontent, A ces maux que tu m'as donnés pour m'infliger tes hontes ! Mais, pour ce que je suis, ce que je ressens, n'a plus d'importance, Puisque tu t'en vas dans le couloir de la délivrance ! Et, c'est moi qui dois avoir honte, et c'est toi qui me laisses,...