or l’âtre était encore chaude. La flamme jaillit, claire, dansante, happée par son désir d’ascension, animant la pièce de sa pétillance, vivante. La pleine lune, dehors, découpait le jardin d’ombres figées, dessinait le paysage familier en un camaïeu de gris, moins couleurs que vibrations, envenimant la nature de sa radiation trop rapide pour être perceptible, trop lente pour ne pas blesser. l’...