La directrice de l'Institut national angolais de lutte contre le sida, Dulcelina Serrano, a déclaré (24 avril) à Luanda, la capitale, que le taux de transmission du VIH/sida en Angola présente une nette diminution. Toutefois et c’est une curiosité, la responsable n’a pas indiqué de chiffres. Elle a cependant livré une analyse des éléments qui confirmeraient que l'épidémie dans le pays est stable. Selon l’agence d’informations Angola Press, ce résultat serait "le fruit du large accès au traitement", de "l'augmentation du nombre de lieux de suivi et de traitement des malades" ainsi que "des campagnes publicitaires qui éveillent la conscience des gens sur la maladie. Pour la responsable, aujourd’hui, les "personnes [vivant avec le VIH] survivent et moins de gens contractent la maladie par rapport au passé".
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