Covid-19 : oui au vaccin

29 Décembre 2020
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Les personnes de plus de 65 ans et/ou atteintes de maladies chroniques disent majoritairement oui à la vaccination anti-Covid-19 annonce France Assos Santé dans un communiqué publié lundi 14 décembre. « En prévision de la première phase de vaccination contre le virus Sars-CoV-2 (qui cause la Covid-19, qui commencera début 2021, en France, et concernera les populations les plus vulnérables, France Assos Santé prend la mesure du défi qui nous attend », déclare l’organisation inter associative. Un sondage, réalisé fin novembre, par l’Institut Viavoice révèle que 63 % des personnes de 65 ans et plus, et 53 % des personnes atteintes de maladie chronique, se déclarent prêtes à se faire vacciner. « Des interrogations demeurent, des inquiétudes s’expriment, toutes légitimes, mais France Assos Santé voit dans ces deux chiffres un score encourageant, et surtout susceptible d’évoluer », précise l’organisation. France Assos Santé prévient : « L’adhésion ne peut se gagner qu’à une condition, indispensable : la confiance issue d’une information loyale, honnête et actualisée. De l’injection aux éventuelles réactions, voire les effets indésirables, France Assos Santé réclame la plus grande transparence ». Et de conclure : « Chacun prendra sa décision en connaissance de cause ».

Commentaires

Portrait de Tortue

attendons de voir , s ' il protége bien des différentes variantes de virus , et aussi , ses effets secondaires a court et moyen terme .

Portrait de jl06

Le fiasco du plan Macron : 138 vaccinés en France contre 78 109 en Allemagne le même jour !!!Mercredi 30 décembre 2020 à 19:20  13Image d'illustration. © Maya Alleruzzo/AP/SIPA 

Lancée en grande pompe, ce dimanche 27 décembre, la campagne de vaccination française vire pour le moment au fiasco. Ce mercredi 30 décembre, on comptait seulement… 138 personnes vaccinées en France.  

Ce devait être le premier jour de la grande contre-attaque vaccinale. Ce dimanche 27 décembre, sous l’œil de dizaines de caméras, Mauricette M., 78 ans, est devenue la première française à se faire vacciner contre le Covid-19 – non sans d’ailleurs créer la controverse. Trois jours plus tard, la campagne française de vaccination patine pourtant toujours, et suscite l’incompréhension. Seules 138 personnes ont en effet été vaccinées en trois jours. Un résultat infiniment moins élevé qu’outre-Rhin, où les autorités allemandes annoncent aujourd’hui 78 019 vaccinations. La campagne allemande, à qui les locaux reprochent déjà sa lenteur, a pourtant été lancée le même jour que sa jumelle française.  

 

OUI a la vaccination OBLIGATOIRE  sauf contre indication bien sûr !

Portrait de jl06

Les personnes porteuses du VIH peuvent-elles se faire vacciner du Covid sereinement ?   Les personnes qui vivent avec le VIH peuvent être rassurées :  au Royaume-Uni, les autorités sanitaires n'ont pas relevé d'effet indésirable particulier du vaccin Covid.

Mauricette a donc la première Française à être vaccinée du Covid-19, dimanche 27 décembre. Juste avant la piqûre dans le bras, la septuagénaire s'était dite "pas impressionnée". Un sondage pour Le Journal du Dimanche montre que la France fait partie des pays les plus méfiants : seulement 44% des Français souhaitent se faire vacciner. Certaines personnes qui vivent avec le VIH s'interrogent légitimement. Qu'elles soient rassurées, il n'y a, pour l'heure, aucune contre-indication à se faire vacciner.

Dans certains pays, les PPVIH seront même prioritaires par rapport à la population générale. Les Allemands porteurs du VIH pourront se faire vacciner après les personnes âgées et le personnel médical et avant la population générale, rapporte Openly. La vaccination leur sera proposée au même moment que les personnes de plus de 60 ans et les personnes qui sont atteint de facteurs de co-morbidité.

En France, les PPVIH vaccinés en même temps que tout le monde

"Nous recommandons fortement la vaccination à toute personne qui vit avec le VIH", indique à la Thomson Reuters foundation Michael Brady, directeur médical du Terrence Higgins Trust. Au Royaume-Uni, une personne qui est à "haut risque" (CD4 inférieurs à 50, ou compris entre 50 et 200 avec un facteur de co-morbidité) peut recevoir le traitement préventif en priorité. Ces personnes représentent une (très) faible proportion des personnes porteuses du virus.

En France, les PPVIH ne sont pas particulièrement prioritaires et, sans autre facteurs, elles pourront se faire vacciner au début du printemps, lors de la troisième phase de la vaccination. "Peut-être que les PPVIH pourront se faire vacciner avant les autres Français, mais c'est - pour une raison administrative plus que médicale. Il n'y a pas de raison médicale de vacciner les PPVIH en bonne santé en premier. Les séropos ne sont ni plus ni moins exposés au Covid que le reste de la population", indique à TÊTU Michel Ohayon, fondateur du 190, un centre médical dédié aux problématiques des personnes LGBT+.

"En revanche, certains patients qui ont une longue histoire avec le VIH ont parfois du diabète ou des maladies inflammatoires, facteurs de co-morbidité, en raison des premiers traitements doivent se faire vacciner", ajoute-t-il. De son côté, Aides planche actuellement sur les études scientifiques pour définir ses recommandations.

"Je me ferai vacciner"

Matthew Hodson, directeur exécutif du Aidsmap indique que le vaccin Pfizer/BioNTech et celui d'Oxford ont été testé sur des personnes qui vivent avec le VIH. "Jusqu'à présent, rien n'indique que les personnes qui vivent avec le VIH réagissent différemment au vaccin Covid que les autres", pointe-t-il. "Personnellement, je vis avec le VIH depuis 22 ans et je me ferai vacciner sans hésitation".

"Bien entendu, dès que cela sera possible, je me ferai vacciner contre la Covid-19. Parce que je sais, chaque jour, depuis 24 ans, ce qu’il en coûte de ne pas avoir eu de vaccin contre le VIH", a écrit sur Twitter Florence Thune, la directrice générale de Sidaction.

 

 

Pas de souche vivante

"Aucun des vaccins en cours d'utilisation ou en cours d'examen en Europe n'utilise de souche vivante atténuée comme mécanisme de création d'anticorps, ce sont ces cellules qui pourraient potentiellement causer des problèmes aux personnes vivant avec le VIH. Pour les PPVIH, les vaccins Covid offrent les mêmes avantages qu'aux autres : empêcher de développer une forme sévère de la maladie et potentiellement de réduire la transmission du SARS-CoV2", explique Peter Godfrey, conseiller scientifique d'Unaids.

Michel Ohayon indique que les vaccins contre-indiqués pour les PPVIH sont très peu nombreux. Et que la rapidité de la création du vaccin Covid est tout à fait justifiée. Non seulement tous les efforts ont été incroyablement concentrés et la recherche a été largement partagée. Aussi, "les outils pour mettre au point ce vaccin étaient déjà connus et ont pu être adaptés rapidement", indique le fondateur du 190.

"90% des personnes vivants dans les pays pauvres n'auront pas la chance d'être vaccinés"

Laura Waters, à la tête de la British HIV association, il n'y a pas "d'inquiétude d'interaction entre le vaccin et un traitement contre le VIH". Fionnuala Murphy de Frontline Aids rappelle malgré tout que "pour la majorité des PPVIH, la question ne se posera pas : 90% des personnes vivants dans les pays pauvres n'auront pas la chance d'être vaccinés contre le Covid-19 l'année prochaine".

Le Covid-19 a fortement affecté la lutte contre le VIH. En France, les dépistages ont reçu un coup d'arrêt avec le confinement du printemps. Leur nombre a diminué de 56% entre mars et avril. D'autant que les dépistages qui n'ont pas été effectués au printemps n'ont souvent pas été réalisés à l'été. Les chiffres concernant les délivrances de PrEP ne sont pas meilleurs : la délivrance est en recul de 36% par rapport aux attentes. Les associations de lutte contre le VIH espèrent que la vaccination massive de la population permettra de retrouver une vie (à peu près) normale.

 

Portrait de mohican

Questions et réponses de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française à destination des soignants.

La Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française est une association loi 1901 regroupant les professionnels de la santé interessés par les maladies infectieuses et tropicales.

29 décembre 2020

Les personnes atteintes d’une maladie auto-immune ou dysimmunitaire peuvent elles recevoir un vaccin à ARNm ?

Réponse : Immunodéprimés. Dans les essais de phase 2/3 de Pfizer-BioNTech, environ 4 % des volontaires ayant reçu le vaccin avaient un antécédent d’infection par le VIH (sans que cette infection ne soit forcément accompagnée d’une immunodépression) ou de maladie cancéreuse ou hématologique, stables. Les données spécifiques à ce groupe ne sont pas encore disponibles.

Immunodépression et VIH Les personnes ayant un traitement immunosuppresseur et les personnes immunodéprimées hors VIH ont été exclues de l’étude. Cependant, faisant partie des personnes à risque de forme grave, la vaccination est recommandée dans ces situations. L’efficacité du vaccin peut être diminuée chez les sujets immunodéprimés. Les personnes ayant une infection VIH n’ont pas été exclues des essais mais les données de ce groupe n’ont pas été incluses dans l’analyse de l’efficacité du vaccin. Il est recommandé de proposer la vaccination aux personnes ayant une infection VIH (quel que soit le nombre de CD4).

Donc si je comprend bien nous n'avons aucune donnée sur des patients VIH , ni de la dangerosité du vaccin ni de son efficacité.

Je suis perplexe,lorsque le moment sera venu je veux bien me faire vacciner mais je désire des réponses fiables concernant le vaccin covid 19 et ma pathologie.

 

Portrait de sonia

@mohican, d'autant plus que les cas vih sont exclues de l'analyse de l'efficacité du vaccin X du covid mais qu'ils doivent tous se faire vacciner sans en connaître l'efficacité ? 

Les personnes ayant une infection VIH n’ont pas été exclues des essais mais les données de ce groupe n’ont pas été incluses dans l’analyse de l’efficacité du vaccin. Il est recommandé de proposer la vaccination aux personnes ayant une infection VIH (quel que soit le nombre de CD4).

Portrait de jl06

Dans mon cas , aillant attraper la covid , je n,hésite pas une seconde .....a me faire vacciner ,

j,ai vu la REA d,un peut   trop prés ! et la suite et à venir dans les poumons ....fixé se mois  ,(  IRM ,Pet Scan , ) 

faite comme vous voulez mais réfléchissez bien avant ,  le virus s,emballe trés vite ......faut choisir de deux maux le moindres ....un vous le fréquenté déja depuis un bout de temps .... l,autre .... la roulette Russe ....

Portrait de mohican

Que je ne me ferais pas vacciner mais je le ferai le moment qui me sera attribué ( phase 3 pour moi ) avec toutes les infos qui me seront données par mon infectiologue que je vois en février.

Ce que j'ai écrit : " Je suis perplexe,lorsque le moment sera venu je veux bien me faire vacciner mais je désire des réponses fiables concernant le vaccin covid 19 et ma pathologie."

 

Portrait de mohican

  • Une phase 3 pour les personnes à risque du fait de leur âge (50-65 ans) ou de leur(s) comorbidité(s) non vaccinées antérieurement, et les professionnels des secteurs de la santé et du médico-social non vaccinés antérieurement.
Portrait de Tony54100

Oui mais quelle est la durée d efficacité du vaccin anti covid ?

Portrait de mohican

Le problème c'est que personne ne le sait!

Portrait de mohican

Les chercheurs abordent souvent la question de l’immunité au Covid-19. De nombreuses études concernant sa durée ont été publiées au cours de ces derniers mois. Ce qui en ressort, c’est que les experts ont dû mal à se mettre d’accord sur la durée de l’immunité acquise après une première infection au Coronavirus.

Une nouvelle étude ayant fait l’objet d’une pré-impression dans la revue bioRxiv suggère que l’immunité durerait en fait entre 6 et 8 mois. Les chercheurs à l’origine de ces travaux ne se sont pas contentés d’étudier les anticorps. Ils ont également pris en compte les actions combinées des lymphocytes T et B. Pour rappel, ces cellules jouent un rôle important dans la réponse immunitaire.

 

D’après les experts, elles permettent aux patients du Covid-19 de développer une mémoire immunitaire qui peut durer jusqu’à 8 mois.

Mieux comprendre le fonctionnement des lymphocytes T et des anticorps

Alessandro Sette, un immunologiste de l’Institut d’Immunologie de La Jolla et coauteur de cette étude, a profité d’une interview accordée au site Business Insider pour livrer les secrets du fonctionnement des lymphocytes T et des anticorps.

« Les anticorps et les cellules T mettent environ une à deux semaines pour développer des réponses après une infection. Elles augmentent ensuite pour atteindre un pic. »

Les niveaux d’anticorps et de lymphocytes T commencent à chuter progressivement au bout de quatre ou six mois. Ils gardent ensuite des niveaux constants à partir du sixième mois.

« Ce que vous observez entre le sixième et le huitième mois est ce que vous obtenez en termes de réponse immunitaire, c’est à ce moment que vous pouvez déterminer si vous avez développé une mémoire immunitaire ou non », a-t-il expliqué.

Une immunité qui varie d’un patient à un autre

Comme le souligne Alessandro Sette, le rôle des lymphocytes B dans la réponse immunitaire face au Covid-19 est non négligeable:

« Une fois que l’infection virale disparait, les cellules B arrêtent de se battre et de produire des anticorps. Mais ils restent présents si une nouvelle attaque survient : si vous avez une grande quantité de lymphocytes B qui circulent dans votre corps, cela va générer une nouvelle réponse des anticorps. »

Les chercheurs qui ont réalisé cette étude ont analysé les échantillons de sang de 185 personnes qui ont guéri du Covid-19. Ils ont découvert qu’environ 90% d’entre elles ont développé une forte immunité au Coronavirus. Cela est dû aux actions combinées des anticorps et des lymphocytes B et T.

Ils ont noté que le degré d’immunité au Covid-19 varie d’un patient à un autre. En effet, une partie des volontaires n’a produit aucun anticorps. Certains n’ont développé que des lymphocytes B ou T. Ces individus auraient une mémoire immunitaire relativement faible.

Portrait de jl06

Temps qu'ils cherchent  c'est qu'ils n'ont pas trouvé .......

pour ma part , je ne suis pas d'accord avec ce que tu écris , 

tout dépend de ton degré de contagion au virus .....certains n'ont  rien développé ...pour cause  ils ne se sont aperçu de rien .....

d'autres 3 semaines de fievre  , full symptômes fait que LA tu développes des anticorps fiables ,

personne n'est égal avec la covid 

Portrait de mohican

FZN

Je n'ai pas la prétention ( comme certains ) d'avoir la science infuse.Je me documente avant de dire ou d'écrire quoi que ce soit!!!!!

Portrait de mohican

Le Quotidien du médecinTOUTE L’ACTUALITÉ MÉDICALE SOCIO-PROFESSIONNELLE Covid-19 : encore incertaine, la durée d'immunisation post infection pourrait être de quelques mois

 

 le Dr Seth Berkley, président-directeur général de l'alliance GAVI pour l'immunisation et les vaccins : « C'est le troisième coronavirus à aller dans la population humaine en 20 ans, et il ne semble pas avoir provoqué d'immunité à vie chaque fois, ni même d'immunité à long terme », explique-t-il.

 

 L’immunité n'est probablement pas de long terme. » Dans ce contexte, les stratégies basées sur l'immunité de groupe « peuvent fonctionner pour atténuer l'épidémie en cours, espère Frédéric Tanguy. Il est probable que chez tous les gens qui ont été infectés, l'immunité dure 3 à 6 mois. Si elle durait moins, ce serait exceptionnel pour un virus de ce genre. »

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Covid, préparons-nous pour les vaccins de deuxième générationPAR ANTONIO CASSONE

Ce que montre l'étude de Rappuoli: que le virus tente d'échapper à nos anticorps. Pour cela il faut faire un pas en avant, et penser à de nouveaux monoclonaux et vaccins qui prennent en compte les mutationsCovid, que se passe-t-il lorsque les récupérés rencontrent le virus mutéPAR LETIZIA GABAGLIOL'immunité naturelle, qui s'est développée après avoir surmonté la maladie, peut ne pas protéger contre une deuxième infection si Sars-Cov-2 est muté. Ceci est démontré par une étude menée par le groupe de Rino Rappuoli. Mais attention: c'est un travail de laboratoire et ne fait pas référence aux personnes vaccinées Ces anti-vaccins qui font dérailler le système de santé français Ils représentent, selon les enquêtes, entre 45 et 60% des sondés. Pour des raisons différentes, ces Français ne croient pas aux vaccins contre le Covid-19. Plus grave: ils propagent leur défiance et bloquent les plans gouvernementaux, que le premier ministre doit repréciser ce jeudi  Deux questions reviennent toujours de la part des vaccino-sceptiques: «pourquoi ce vaccin a-t-il pu être fabriqué si vite?» et «pourquoi celui du groupe français Sanofi n’est-il toujours pas prêt?» — © Owen Humphreys/Pool via REUTERS  Jeanne réside pourtant à deux pas de l’hôpital René-Muret, l’établissement de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) à Sevran (Seine-Saint-Denis), où la campagne de vaccination française des personnes âgées a démarré dès le 27 décembre. Devant la pharmacie Rougemont, où deux jeunes préparatrices masquées répondent aux questions d’un patient âgé sur les risques de contamination du «nouveau virus anglais», cette jeune retraitée nous prend par le bras pour parler «tranquillement». Certes, personne n’a encore déclaré de problèmes avec le vaccin Pfizer-BioNTech, inoculé depuis presque dix jours à quelques centaines de mètres, au service gériatrique de cet hôpital. Certes «Mauricette», première Française à recevoir la première dose immunitaire, ancienne aide ménagère de 78 ans, n’a subi depuis lors aucun effet secondaire. Mais… «J’ai écouté ce qu’a dit Martin Hirsch [le patron de l’AP-HP, plus importante structure hospitalière de France avec 39 hôpitaux en région parisienne] confie Jeanne, à demi-voix dans le froid de cette fin d’après midi. Sauf qu’ici, au Conseil municipal, tout le monde n’est pas de cet avis. Ce vaccin, c’est une opération de com…»

 

Vacciné et contagieux, c’est possible ?

LA VACCINATION EN QUESTION (2/4)

Les vaccins contre le Covid-19 sont efficaces pour prévenir les symptômes de la maladie, mais on manque encore de données pour affirmer qu’ils empêchent la transmission du virus, même si c’est probable

 La plupart des essais n'ont pas cherché à savoir si les personnes vaccinées avaient été infectées par le coronavirus.  — © Jean-Christophe Bott/Keystone Trop rapides alors que des flous demeurent, ou au contraire trop lentes: les campagnes de vaccination lancées dans le monde suscitent moult interrogations et polémiques. Nous faisons le point en une série d’articles. 

Un vaccin contre le Covid-19, et je reprends ma vie comme avant! Beaucoup en rêvent… Pourtant, les autorités de santé le martèlent: même après l’injection, il faudra continuer à porter le masque et à respecter les règles de distanciation sociale.

«Même si la vaccination protège de la maladie, on ne sait pas encore avec certitude si elle empêche aussi la transmission du coronavirus», peut-on lire sur la page d’information de l’OFSP consacrée aux vaccins. Cette apparente aberration peut décourager. Mais il existe des éléments laissant penser que ces vaccins auront bien un effet sur la contagiosité.

Vaccins très efficaces

Les essais cliniques menés sur les vaccins contre le Covid-19 visaient avant tout deux objectifs: déterminer s’ils étaient sûrs, et s’ils prévenaient les symptômes de la maladie. Pour le savoir, un grand nombre de personnes a reçu un vaccin, et un nombre équivalent de personnes une solution placebo. On a demandé ensuite aux participants de se signaler en cas de symptômes, afin de déterminer s’ils avaient été infectés par le virus ou pas.

Le vaccin réduit le risque de développer des symptômes, mais n’empêche pas forcément l’entrée du virus et sa multiplication au niveau des muqueuses nasales

Blaise Genton, chef de la policlinique de médecine des voyages et vaccination à Unisanté

Résultat, les vaccins se sont révélés très efficaces: ils ont prévenu la maladie chez environ 95% des personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer/BioNTech, ou celui de Moderna. Le vaccin de l’Université d’Oxford et AstraZeneca affiche une efficacité moindre, avec une réduction de la survenue de symptômes de l’ordre de 70%, jusqu’à 90% si la première dose était une demi-dose plutôt qu’une dose standard.

 bref fait t'on opinion ......mais ne t'érige pas en docteur *** une image non libre de droits a été supprimée *** 

Portrait de mohican

jeudi 07 janvier 2021, Saint Raymond 

 Efficacité du vaccin, contagiosité, effets secondaires : la Dépêche du Midi se penche sur les différentes questions que pose encore la vaccination. 

  • Vacciné mais toujours contagieux ? 

Un patient vacciné contre le Covid-19 pourrait-il être contagieux et transmettre le virus ? "C'est une question importante parce que cela va impacter la stratégie de vaccination qui est mise en place dans le pays, souligne Pascal Crépey, épidémiologiste à Rennes, auprès de la Dépêche du Midi. Si on savait que le vaccin protège des contaminations, on mettrait en place une stratégie vaccinale différente. On vaccinerait en premier les personnes les plus à même de transmettre le virus et non celles qui développent des formes graves de Covid."

Il y a une semaine, lors de la présentation de ses recommandations en ce qui concerne la stratégie vaccinale à adopter en France, la Haute Autorité de Santé (HAS) a expliqué qu'il manquait des "données à ce sujet". Pour l'heure, on sait que les vaccins ont principalement pour but d'éviter les formes graves de contamination au Covid-19. "Le vaccin stoppe la maladie au niveau des poumons mais pas forcément l'entrée du virus dans le corps, c'est là le problème", explique le professeur Daniel Floret, vice-président de la commission technique des vaccinations, dans les colonnes du Parisien

  • Une efficacité limitée dans le temps ? 

Par communiqué de presse, nombre de laboratoires ont communiqué les taux d'efficacité de leurs vaccins, bien avant d'étayer leurs essais cliniques dans des revues scientifiques. 95% pour le vaccin développé par Pfizer et BioNTech, 94,5% pour Moderna... Les essais cliniques opérés par les entreprises pharmaceutiques ne permettent pourtant pas de savoir si les vaccins gardent leur efficacité dans le temps. "Les choses sont allées tellement vite qu’on n’a pas pu voir combien de temps cela allait durer. [...] Combien de temps ? On ne sait pas. La réponse immunitaire a l’air robuste et, par analogie avec d’autres vaccins, on peut penser que la protection va durer un an", estime le professeur Arnauf Fontanet, épidémiologiste et membre du Conseil scientifique.

Pour le professeur Pascal Crépey, l'heure est à l'observation : "C'est tout l'objet de cette phase 4 de pharmacovigilance, il s'agira à présent de voir s'il y a une baisse de l'efficacité du sérum dans le temps, chez les personnes qui se sont faites vacciner."

  • Quels effets secondaires ? 

C'est sans doute l'une des zones d'ombre les plus importantes : les personnes qui se sont faîtes vacciner risquent-elles de présenter des effets indésirables ? La revue scientifique New England Journal of Medecine, qui a validé le vaccin élaboré par Pfizer et BioNTech, énonce des effets secondaires mineurs : maux de tête, fièvre, douleurs au niveau du site d'injection, fatigue... "Les effets secondaires principaux sont légers et liés à la réaction immunitaire que provoque le vaccin : rien qui ne se résolve en peu de temps", commente l'épidémiologiste Pascal Crépey.

Reste cependant les effets secondaires les plus graves : deux membres du personnel du National Health Service (le système de santé publique au Royaume-Uni) ont eu une réaction allergique particulièrement sévère. "Là encore, nous sommes dans une phase de pharmacovigilance, poursuit l'épidémiologiste Pascal Crépey. Il s'agira de poursuivre la surveillance et de faire remonter les effets secondaires les plus graves, qui restent malgré tout minoritaires." 

Portrait de mohican

Cnews 07/01/2021 à 17h

Nombres de doses administrées pour 100 personnes :

1-DANNEMARK = 1.2

2-ITALIE = 0,51

3-CHYPRE = 0,45

4-ALLEMAGNE = 0,44

5-ESTONIE = 0,38

6-POLOGNE = 0,37

9-PORTUGAL = 0,31

15-LUXEMBOURG = 0,19

25-FRANCE = 0,01   Aujourd'hui 07 janvier 2021 nous sommes 25ème sur 27.

BRAVO...Comme disait Coluche " nous avons choisi le coq comme emblème car c'est le seul oiseau qui peut chanter les pattes dans la merde ".

 

 

Portrait de mohican

Le ministre de la Santé Olivier Véran et le Premier ministre Jean Castex ont eu l’occasion d’aborder la stratégie vaccinale définie par le gouvernement lors d’une conférence de presse organisée jeudi 7 janvier. Tandis que le ministre de la Santé a plaidé pour un recours massif au vaccin contre le Covid-19, le Premier ministre a détaillé toute une panoplie de mesures visant à accélérer le calendrier de la vaccination en France.

Sujet à de nombreuses critiques, le nouveau calendrier de vaccination devrait permettre une montée en puissance qui permettra d’atteindre un million de Français vaccinés fin janvier.

Afin d’accélérer les opérations, le gouvernement a décidé de procéder à la seconde injection du vaccin jusqu’à 6 semaines après la première afin de vacciner deux fois plus de personnes dès à présent.

Actuellement, la campagne de vaccination est ouverte aux résidents et employés âgés de plus de 65 ans des Ehpad ainsi qu’aux soignants, pompiers et aides à domicile de 50 ans et plus ou porteurs de comorbidités.

8 janvier

La campagne de vaccination est ouverte depuis aujourd’hui aux personnes en situation de handicap vulnérables qui sont hébergées en maison d’accueil spécialisées (MAS) et en foyer d’accueil médicalisé (FAM).

Le personnel salarié âgé de plus de 65 ans, ou porteur de comorbidités, est également éligible.

18 janvier

La vaccination sera ouverte à tous les plus de 75 ans, avec une procédure simplifiée. Il suffira de remplir un simple questionnaire.

Les plus de 75 ans ne seront pas obligés de passer par leur médecin pour prendre rendez-vous. A partir de jeudi 14 janvier, ils pourront prendre rendez-vous par téléphone via un numéro qui sera communiqué prochainement ou via le site internet sante.fr, comme l’a indiqué Olivier Véran lors de la conférence de presse :

Des centres de vaccination en ville seront ouverts dans les semaines qui viennent, d’abord 100, puis 300 puis 500. Ils seront, fin janvier, au nombre de six par département.

L’objectif est d’arriver à 1 million de personnes vaccinées à la fin du mois de janvier.

Février-mars

La date n’a pas encore été précisée par le gouvernement mais aux alentours de février-mars, la vaccination sera ouverte aux plus de 65 ans et aux soignants âgés de 40 ans et plus.

Printemps 2021

Les personnes âgées de 50 ans et plus, ainsi que les professionnels des secteurs « essentiels » qui sont en contact avec le public tels que la police ou ceux exerçant dans le secteur de l’éducation, pourront à leur tour se faire vacciner.

Milieu du printemps 2021

L’ensemble de la population sera finalement éligible au cours du mois d’avril. Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique, a estimé que 12 à 14 millions de Français pourraient être vaccinés « à la mi-avril ».

AVANT IL Y AVAIT 4 PHASES BIEN DISTINCTES ET C'ETAIT CLAIR,MAINTENANT C'EST UN PATCHWORK ILLISIBLE!!

Portrait de mohican

Ouest-France

Publié le 08/01/2021 à 08h45

Il ne sera pas possible de choisir son vaccin contre le Covid-19 pour les Français. Invité sur le plateau de BFMTV jeudi 7 janvier, Olivier Véran a précisé que les personnes voulant se faire vacciner ne pourront pas choisir la marque du vaccin.

« Aujourd’hui, nous avons deux vaccins validés, deux vaccins à ARN Messager […] avec la même efficacité, les mêmes indications. Il n’y a pas lieu de poser la question du choix », a avancé le ministre de la Santé. Deux vaccins ont déjà reçu l’autorisation de mise sur le marché : celui de Pfizer-BioNTech et celui de Moderna.

 Nous aurons d’autres vaccins, il y en a trois autres qu’on attend assez rapidement. Si les indications sont les mêmes que pour les deux premiers, vous serez vaccinés par l’un ou l’autre, indistinctement, a souligné Olivier Véran.

Portrait de mohican

Cnews 10/01/2021 à 12h20

Nombres de doses administrées pour 100 personnes :

Voici les derniers de la liste aujourd'hui;

-SLOVENIE = 0,59

-FRANCE = 0,07

NOUS SOMMES EN QUEUE......TRISTE ET PATHETIQUE!!!!!!

Portrait de mohican

Publié le 14/01/2021 à 11h14

Aussitôt lancé, aussitôt en difficulté. Le gouvernement a mis en ligne jeudi 14 janvier le site sante.fr pour que les personnes de plus de 75 ans (les seules concernées pour le moment) qui souhaitent se faire vacciner contre le Covid-19 puissent prendre facilement rendez-vous. Mais voilà : le site est aux abonnés absents, ce jeudi matin. « Cette page ne fonctionne pas », « Le service est en cours de maintenance », « L'horaire précis d'ouverture du service de prise de rendez-vous en ligne pour la vaccination sera communiqué prochainement »… Les messages varient selon l'heure de consultation du site, mais il reste toujours impossible de prendre rendez-vous par ce canal. Interrogée par La Dépêche du Midi, la plateforme affirme que ces problèmes sont dus à l'afflux d'internautes. Des « optimisations » sont en cours pour rétablir la situation.

Pendant ce temps, depuis Metz, où il est en déplacement, le Premier ministre Jean Castex a appelé à la « patience ». C'est un « jour important pour le début des prises de rendez-vous pour les personnes de plus de 75 ans. Les choses se mettent en place, mais il faudra aussi être patient, parce qu'évidemment ça va susciter un rush, c'est tout à fait normal », a-t-il déclaré. Pour prendre rendez-vous, les particuliers peuvent aussi passer par les trois plateformes privées retenues par l'État, Doctolib, Keldoc et Maiia.

Comme d'hab ,amateurisme depuis le début,mauvaise organisation et choix plus que douteux.J'ai posé la question à ma CPAM : Pourquoi n'est ce pas vous qui avez l'habitude de la vacination contre la grippe,vous qui avez les listes des personnes vulnérables,des personnes agées etc..Pourquoi ce n'est pas vous qui êtes très professionnels,vous qui avaient un maillage total de la population n'avez vous pas été sollicité pour organiser la vaccination covid 19?....J'attend toujours la réponse.

Portrait de mohican

Bonjour,

En réponse à votre demande du 12.01.2021, différentes phases de
vaccination vont avoir lieu :
- à partir du 27 décembre 2020 :
pour les résidents d’établissements accueillant des personnes âgées et
les professionnels exerçant dans les établissements accueillant des
personnes âgées, présentant eux-mêmes un risque accru de forme grave/de
décès (plus de 65 ans et/ou présence de comorbidité(s)).
- à compter du 4 janvier 2021 : pour les personnels des établissements
et les professionnels de santé libéraux de plus de 50 ans et/ou atteints
de comorbidité,
- à compter du 5 janvier 2021 : pour les pompiers et les aides à
domicile de plus de 50 ans et/ou présentant des facteurs de comorbidité,
- à compter du 18 janvier 2021 : pour les personnes âgées de 75 ans et
plus ainsi que pour les personnes à très haute priorité suivantes :
 Patients atteints de cancer et de maladies hématologiques malignes en
cours de traitement par chimiothérapie,
 Patients atteints de maladies rénales chroniques sévères, dont
patients dialysés,
 Patients transplantés d’organes solides,
 Patients transplantés par allogreffe de cellules souches
hématopoïétiques,
 Patients atteintes de poly-pathologies chroniques, selon le critère
suivant : au moins deux insuffisances d’organes chroniques,
 Patients atteints de maladies rares et particulièrement à risque en
cas d’infection,
 Patients atteints de trisomie 21.
- à compter du 15 février 2021 : pour les personnes âgées de 65 ans et
plus puis les professionnels des secteurs de la santé et du
médico-social âgés de 50 ans.
- à partir de mars 2021 : pour les autres catégories de population.
L'Assurance Maladie respecte les décisions gouvernementales et du
ministère de la santé.
L'assurance maladie vous présente également ses meilleurs voeux pour
l'année 2021.

Avec toute notre attention,

Bon ben ce sera à partir de mars 2021 pour moi.....Plus qu'à attendre. On peut dire que ça a le mérite d'être clair!

Portrait de mohican

Déjà critiquée pour sa lenteur, la campagne de vaccination a subi vendredi un nouveau contretemps avec l'annonce de retards de livraison du vaccin Pfizer/BioNTech pour les semaines à venir.

Le groupe américain Pfizer, associé au laboratoire allemand BioNTech, a averti vendredi de façon inopinée qu'il n'allait pas être en mesure, jusqu'à début février, de fournir aux pays de l'UE les quantités hebdomadaires de vaccin contre le Covid-19 auxquelles il s'était engagé.

 

Selon Berlin, cette baisse de cadence est prévue « pour trois à quatre semaines ». Le volume total des baisses de livraison du vaccin Pfizer/BioNTech n'a pas été communiqué mais plusieurs pays s'attendent à un rationnement significatif.

La France évoque pour sa part une « forte baisse » qui va la contraindre à « ajuster » son rythme de vaccination. Si elle a déjà reçu 1,5 million de doses de vaccin Pfizer, elle en attendait 520 000 autres la semaine prochaine. Jeudi soir, 318 000 personnes avaient reçu une première injection du sérum, avec un objectif d'un million d'ici à fin janvier.

Dans l'Hexagone, la révision des objectifs interviendra « dès que la France connaîtra exactement le niveau des futures livraisons », a indiqué vendredi une source au sein de l'exécutif, en affirmant toutefois que la France avait « anticipé d'éventuels retards » dans sa gestion des livraisons et que ces retards ne remettent pas en cause « le déploiement global de la campagne vaccinale ». Le stock devrait ainsi permettre de continuer de vacciner, mais à une cadence plus mesurée qu’escomptée.

 

Les doses du vaccin Moderna commencent à arriver...Lentement!

 

La France dispose pour le moment de 52 000 doses qui ont été acheminées cette semaine dans les zones où le virus circule le plus, soit dans le Grand Est, en Auvergne-Rhône-Alpes et en Paca. D'ici fin juin, « près de huit millions de doses » du vaccin Moderna doivent être livrées en France, selon le ministère de la Santé

 

 

Portrait de mohican

Pas de souche vivante ?????

"Aucun des vaccins en cours d'utilisation ou en cours d'examen en Europe n'utilise de souche vivante atténuée comme mécanisme de création d'anticorps, ce sont ces cellules qui pourraient potentiellement causer des problèmes aux personnes vivant avec le VIH. Pour les PPVIH, les vaccins Covid offrent les mêmes avantages qu'aux autres : empêcher de développer une forme sévère de la maladie et potentiellement de réduire la transmission du SARS-CoV2", explique Peter Godfrey, conseiller scientifique d'Unaids."

le vaccin d'AstraZenecaComment fonctionne ce vaccin ?

Le vaccin Oxford/AstraZeneca se base sur une version affaiblie d'un virus commun chez les chimpanzés, génétiquement modifié. La manière qu'il a de délivrer du matériel génétique dans les cellules, leur ordonnant d'attaquer le SARS-CoV-2, a été présentée comme un "cheval de Troie". 

 Il se sert d'un autre virus

Le vaccin d'AstraZeneca prend comme support un autre virus, un adénovirus de chimpanzé, qui a été transformé et adapté pour combattre le Covid-19. Selon les données publiées dans la revue scientifique The Lancet (en anglais), le vaccin d'AstraZeneca "est sûr". Les effets secondaires du virus sont extrêmement rares à ce stade.

Sur les quelque 20 000 volontaires qui ont participé aux essais cliniques, seul un patient à qui ce vaccin a été administré a connu un "effet indésirable grave susceptible d'être lié" à cette injection, selon les données publiées dans The Lancet. Il s'agissait d'un cas de myélite transverse, une atteinte neurologique rare, qui avait motivé l'interruption temporaire de l'essai début septembre

Il a obtenu de moins bons résultats

Le laboratoire britannique avait annoncé en novembre que son vaccin était en moyenne efficace à 70%, contre plus de 90% pour ceux de Pfizer-BioNTech et Moderna. Mais derrière ce résultat se cachaient de grands écarts entre deux protocoles différents. Selon les résultats préliminaires (en anglais), l'efficacité du candidat vaccin a atteint 90% pour les participants ayant reçu une demi-dose puis une dose complète, à un mois d'intervalle, contre 62% pour les participants ayant reçu deux doses entières.

L'injection d'une demi-dose dans l'un des groupes était en fait due à une erreur, ce qui avait suscité critiques et inquiétudes, poussant l'entreprise à annoncer le 26 novembre la tenue d'une "étude supplémentaire" pour vérifier ces résultats. La version approuvée par le régulateur britannique prévoit l'injection de deux doses complètes. "Nous pensons que nous avons trouvé la formule gagnante et comment arriver à une efficacité qui, avec deux doses, est élevée comme celle des autres", a assuré dimanche 27 décembre le directeur général Pascal Soriot :"Nous pensons.."

 

Aucune étude sur les patients VIH et ce vaccin......C'est vrai que l'Angleterre ne fait plus partie de l'Europe mais nous allons recevoir plusieurs millions de doses de ce vaccin et à priori très peu efficace sur les personnes d'un certain âge...

Portrait de mohican

France 3 Grand Estgrand est

 

Selon le ministère de la Santé, 139 cas d'effets indésirables graves ou inattendus sont recensés en France. Cinq personnes sont décédées après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Trois décès sont enregistrés à Nancy.

Point commun entre ces personnes décédées : elles avaient toutes plus de 75 ans et elles souffraient de comorbidités précise le ministère de la Santé dans une annonce effectuée ce mardi 19 janvier 2021. Trois décès ont été enregistrés par le centre régional de pharmacovigilance de Nancy (Meurthe-et-Moselle), un par celui de Tours (Indre-et-Loire) et le dernier par celui de Montpellier (Herault). L'information est révélée par nos confrères de France Info.

VOILA POURQUOI JE DEMANDE DEPUIS LE DEBUT DES INFOS ET DES ETUDES FIABLES NOUS CONCERNANT EN RAPPORT AVEC CE VACCIN QUI EST SANS DANGER N EST CE PAS?....ET LES AUTRES MOINS FIABLES?.....CA PROMET!

Portrait de mohican

Avec France Bleu Sud Lorraine - franceinfo
71 morts en Europe après une vaccination du vaccin anti-Covid-19 Pfizer-BioNTech.

 

Au total, 71 décès à la suite d'une vaccination ont été officialisés en Europe : au Royaume-Uni, en Allemagne, en Norvège, au Danemark. Il s'agissait pour la quasi-totalité des cas de personnes âgées de plus de 75 ans.

Portrait de icare.69

SI on vaccine à grande échelle une population très exposée et très fragile, étant donné le délai entre l'injection et la protection par le vaccin il est statistiquement normal qu'un petit échantillon de personnes décèdent du COVID dans les jours qui suivent la vaccination. Tout simplement parcequ'ils venaient d'être contaminé ou l'ont été juste après être vacciné.

C'est l'inverse qui serait une anomalie. 

Portrait de Superpoussin

71 morts mais morts de quoi et sur combien de personnes? Ages?

Chaque mois meurent encore plus de buveurs d'eau en France, pourtant il ne viendrait à personne l'idée de considérer que ce serait ce liquide le responsable de leur décès.

En soit l'information réduite à ce chiffre de 71 morts parmi les vaccinés européens ne nous apprend rien, si ce n'est que l'Homme est mortel (mais ça nous étions déjà censés le savoir).

Portrait de mohican

Bien sur.

139 cas d'effets indésirables graves en France en 15 jours de vaccination et avec un seul vaccin dit super fiable......Je ne suis pas complotiste loin s'en faut,je veux juste des réponses avec des études sérieuses et approfondies concernant notre pathologie ( VIH 1 ) et les vaccins PFIZER,MODERNA ET SURTOUT ASTRAZENECA.

Pour l'instant c'est ( nous pensons,il semblerait,etc...) RIEN DE SERIEUX!!!!

Portrait de Superpoussin

As-tu plus de précisions par rapport à ces 139 cas d'effets indésirables "graves" avec un lien sérieux détaillant la chose? En l'état cela n'est pas plus parlant que les 71 morts précités.

Portrait de mohican

Bonjour Superpoussin,bien sur voici mes sources  :

 

 Agence Nationale de sécurité du Médicament et des produits de santé

 

Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19

 

19/01/2021 

Un dispositif de surveillance renforcée et en temps réel a été mis en place en France par l'ANSM et le réseau des 31 Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV) pour identifier les effets indésirables qui pourraient survenir après la vaccination à partir des déclarations réalisées par les professionnels de santé ou par les personnes vaccinées.

Depuis le début de la vaccination, 139 cas d’effets indésirables ont été déclarés avec le vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech, dont une vingtaine d’effets indésirables graves qui seront discutés dans le cadre du comité de suivi du 21 janvier.

Parmi ces déclarations, 5 cas de décès ont été rapportés. Il s’agissait de personnes âgées résidant en EHPAD ou en résidence vieillesse qui présentaient toutes des maladies chroniques et des traitements lourds.

Le premier rapport hebdomadaire sur l’ensemble des cas rapportés en France sera publié cette semaine à l’issue du troisième comité de suivi. Un rapport sera ensuite publié toutes les semaines. L’ANSM, en lien avec le réseau des CRPV, pourra communiquer à tout moment si un signal de sécurité est identifié.

Portrait de mohican

 

 

Logo LCI 

 

DÉCRYPTAGE - Dans sa chronique "Les indispensables", Jennifer Knock s'est intéressée ce mardi 19 janvier 2021 aux décès post-vaccination en Europe.19 janv. 18:38

En Norvège, 33 personnes sont décédées après avoir reçu la première dose du vaccin. Toutes étaient très âgées, plus de 80 ans, en maison de retraite et avaient souvent des comorbidités. Treize d'entre elles étaient atteintes de maladie grave. Sur aucune d'entre elles, le virus n'a été identifié. On soupçonne plutôt les effets secondaires du vaccin. On a recensé dans l'Union européenne 71 décès après vaccination chez les personnes âgées. 

Portrait de mohican

La Hongrie achète massivement le vaccin Covid-19 Spoutnik V de la Russie

PUBLIÉ LE 22/01/2021 À 10H17

Si le très controversé vaccin russe Spoutnik V n'a pas encore été examiné par les autorités sanitaires de l'Union européenne, la Hongrie va dès maintenant en acheter de "larges quantités" !

Budapest fait cavalier seul, sur le front de la lutte anti-Covid-19. Bien que le vaccin russe anti-Covid-19 Spoutnik V n'ait pas encore été examiné par les autorités sanitaires de l'Union européenne, le gouvernement de la Hongrie a d'ores et déjà conclu un accord pour en acheter de "larges quantités". Le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto, en visite à Moscou, a fait cette annonce dans une vidéo postée sur son compte Facebook. "Des détails seront donnés plus tard", a-t-il précisé. Cette annonce intervient alors le régulateur hongrois a donné son feu vert à l'utilisation du vaccin cette semaine, sur fond de critiques de Budapest à l'égard des "lenteurs" du processus d'approbation des vaccins par l'Agence européenne des médicaments (EMA). Annoncé en fanfare le 11 août par Vladimir Poutine mais perçu avec scepticisme à l'étranger, le vaccin de la Russie est controversé.

Seuls deux vaccins sont actuellement autorisés dans l'UE : Pfizer-BioNTech et Moderna. L'avis sur celui d'AstraZeneca, déjà utilisé au Royaume-Uni, doit intervenir avant la fin du mois. Le Premier ministre souverainiste Viktor Orban a redit vendredi son impatience, au lendemain d'un sommet des Vingt-Sept par vidéoconférence sur le sujet. "Nous devrons affronter le fait que quelque chose ne tourne pas rond au niveau de l'UE", a-t-il fustigé à l'occasion de sa traditionnelle interview radiophonique hebdomadaire.

"S'il n'y a pas de vaccin de l'Union, prenons-le ailleurs. Il n'est pas possible que les Hongrois meurent à cause de ça", a ajouté le dirigeant, coutumier des bras de fer avec Bruxelles. Les autorités russes ont déposé une demande d'enregistrement dans l'UE de Spoutnik V, efficace à plus de 90% d'après Moscou, mais l'EMA n'a pas encore entamé la procédure d'examen. S'il s'était attiré des critiques quand il avait été homologué en août 2020, il a depuis été administré à plus de 1,5 million de personnes, selon la Russie qui en a fait un instrument d'influence géopolitique.

"La Hongrie est le premier pays de l'UE à prendre conscience des avantages de Spoutnik V", s'était félicité jeudi dans un communiqué Kirill Dmitriev, le directeur du Fonds souverain russe (RDIF) qui a financé la mise au point du vaccin. La Hongrie a par ailleurs commandé un million de doses du vaccin chinois Sinopharm et attend le feu vert des inspecteurs hongrois, qui se trouvent actuellement à Pékin.