"Le sida : création ? Invention ? Accident ?"
31 Juillet 2009
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Le site du Nouvel Observateur propose actuellement une série de dossiers dont le thème est "Les Théories du complot". Un des premiers sujets traités (23 juillet) dans cette série d'été est le VIH. Intitulé : "Le sida : création ? Invention ? Accident ?", cet article revient sur toutes les théories, souvent très farfelues, présentées ces dernières années sur l'origine du VIH. L'article est consultable sur le site du Nouvel Observateur.
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Commentaires
Si on savait ...
Merci pour cette brève qui en effet pose
un très bon reportage ici
L'origine du sida part1
part 3
L'origine du sida part3
part 2
L'origine du sida part2
oui ! tres bon reportage...
Ou Arme bactériologique mal cernée?
Je trouve hallucinant que vous croyiez à
idem pour moi
et le steward canadien !!
vrai ou faux
c'est mon avis aussi !
en attendant le vaccin?
Comme GUPPY et FRABRO... Je suis surpris,
L'important...
Le "patient zéro"
Et un des films sur le sujet est...
Il s'appelait Gaëtan Dugas, son histoire
Il s'appelait Gaëtan Dugas, son histoire est archi-connue : c'était juste un gay canadien hyperactif sexuellement (et steward de surcroît, donc grand voyageur) qui a été "disculpé" ensuite comme patient zéro... Il a juste été l'un des premiers à être diagnostiqué, puis à mourir (du moins en Amérique du Nord).
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Aimer ce qui advient
Coucou vendredi 13 - "Patient zéro"
Bah !
lol Nathan ;-)
lol Nathan ;-)
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Aimer ce qui advient
Vendredi 13 - MEET Saint Nazaire
MEET
MEET :
Nathan tu dis : Quote:n'est peut-être pas
Nathan tu dis :
Je crois plutot que c'est au seronegatif d'apprendre à vivre avec des seropos.
Parce que nous on a pas le choix, le vih c'est déjà invité dans nos vies.
et comme dit Sonia :
pour moi cest comme la grippe de 1918
le steward Canadien
"Un compagnon de longue date" - Longtime companion
Voilà ! J'ai retrouvé le titre du film, genre production hollywoodienne qui évoque le cas du patient zéro également. C'est un film de Norman René de 1990. On brûlait puisqu'un forum sur Seronet porte ce nom aussi ! Voici un commentaire assez juste de ce film et le questionnement que suscite la fin très particulière que j'ai évoquée ici :
Est-ce à ce film que tu pensais Kaaphar ?
Le commentaire du film :
"Chronique des années sida dans la bourgeoisie intello blanche de la côte Est des Etats-Unis. Fidèle, sensible, concrète. "Un compagnon de longue date" retrace, sur huit années, la vie d'un petit groupe d'homosexuels frappés de plein fouet par le sida. Tragédies personnelles, drame collectif... Ce film est le témoignage vivant de toute une génération et l'histoire d'un apprentissage politique : comment des hommes deviennent actifs, volontaires, productifs. Comment la maladie, source de souffrance, de malheur, est devenue aussi un moteur, une exigence.
L'action se passe à Los Angeles, entre 1981 et 1989. Les protagonistes ? Des garçons de vingt à quarante ans, très "comme il faut", très "middle class" : un job, une vie aisée, limpide, réglée. Tout commence avec cet article du New York Times qui, dans son édition du 3 juillet 1981, évoque l'apparition d'un "cancer rare chez quarante et un homosexuels". A partir de ce jour-là, l'existence de ce petit groupe de personnages bascule.
"Un compagnon…" retrace, sur ces huit années, la vie de ce microcosme amical et amoureux frappé de plein fouet par le sida. Le film profile, sous la trame de la fiction, le documentaire de ces années : le passage gradué de la déroute à la prise de conscience, de la panique à la mobilisation, de l'énigme (1981) à la mise au point des premiers traitements efficaces (1987), en passant par l'isolation du virus (1983) et la mise en place des tests de dépistage (1984).
Les personnages incarnent des psychologies en même temps qu'ils illustrent l'évolution d'une communauté par rapport à la montée de l'épidémie. Sans didactisme, sans schématisme, ce film apporte un témoignage vivant sur cette période, et construit une fiction vraisemblable, attrayante, avec des personnages qui ne sont pas seulement des archétypes. Avoir su doser habilement l'aspect humain (la diversité des attitudes, le bouleversement des existences, le réseau des sentiments, etc.) et le regard historique est sans doute la meilleure réussite de "Un compagnon…"
Ce film bouleverse les certitudes trop faciles sur les gays, sur leurs modes de vie, sur leur rapport à la maladie : ici, pas d'érotisme hard, pas de frénésie noctambule, de sexualité hystérique. Le cliché du "groupe à risque" est sérieusement ébranlé.
Les thèmes de l'identité homosexuelle par rapport à la famille, du sida face aux parents ou aux proches, sont totalement écartés. En faisant ce choix, le réalisateur s’est démarqué de l'approche habituelle de l'homosexualité, qui focalise souvent les relations sur la recherche d'une reconnaissance vis-à-vis des "straights". Moyen original de montrer des adultes, des jeunes gens qui s'assument - tant bien que mal - (il y a un personnage de comédien qui a peur pour sa carrière), en tout cas intégrés à la société et qui, tout à coup, se trouvent confrontés à un drame personnel et à une tragédie collective.
Un film optimiste, en somme.
Que penser de la scène finale qui rassemble tous ces "compagnons de longue date", morts et vivants, dans des retrouvailles oniriques ? Norman René a-t-il voulu montrer une résurrection ? Ou simplement célébrer le courage d'une communauté ? "
Le chaînon manquant, du singe à l'homme
toujours dans le même ordre des spéculations sur les origines du sida (n'oublions pas que cette ignorance fait les choux gras de charlatans qui proposent la guerison à base de plantes, surtout en Afrique) il y a cette découverte du chainon maillon que pamelos a évoqué dans son blog Retour vers le futur, notre ami et cousin le singe Accueil InfoTraitements Ce que j’en pense SIDA : découverte d’un "chaînon manquant" du VIH chez le chimpanzé publié le 24 juillet 2009 • par ACTIONS TRAITEMENTS SIDA : découverte d’un "chaînon manquant" du VIH chez le chimpanzé De Seth Borenstein (CP) WASHINGTON — Des chercheurs pensent avoir trouvé un "chaînon manquant" dans l’évolution du VIH, le virus du SIDA : il s’agit d’un germe infectieux très proche, qui entraîne une forte mortalité chez les chimpanzés contaminés vivant dans la nature, selon une étude publiée jeudi dans la revue "Nature". Les chimpanzés sont les premiers primates en dehors de l’homme qui comptent un nombre significatif d’individus tombant malades à l’état sauvage à cause de ce virus. Le chimpanzé est le parent le plus proche de l’homme chez les primates et la découverte de cette maladie pourrait aider les médecins à mettre au point de meilleurs traitements ou un vaccin anti-SIDA pour les humains, selon les experts. La version du virus du SIDA chez le chimpanzé s’appelle le virus de l’immunodéficience simienne (VIS), mais la plupart des espèces de singes qui en sont porteurs ne présentent ni symptôme ni maladie. "Si nous pouvions trouver pourquoi ces singes ne tombent pas malades nous pourrions peut-être en tirer des enseignements pour l’homme", http://www.actions-traitements.org/spip.php?article2924
cinésida
salut Nathan (t'as pas eu trop chaud ?)
Le film dont tu parles "Longtime companion" (qui nous a aussi valu un nom de rubrique icitte) c'est plutôt le genre "drame psy".
Moi je parlais de "zero patience" un film musical des années 90 (sais plus la date) plutôt "enlevé" et prenant le truc par l'humour !
C'est le premier film que moi j'ai vu qui mélangeait humour et sida... à l'époque ; mais pour autant qu'il m'en souvienne ce n'est pas non plus un chef d'oeuvre cinématographique
voilà ce que j'ai trouvé :
http://www.twenga.fr/dvd/zero-patience_22174.html
et pour le guppy qui trouve que je manque de "poésie" :
inscrit depuis plus d'un an à seronet nous attendons toujours de pouvoir goûter ton art rhétorique et ta maitrise sémantique. J'aurais pu aussi évoquer les synonymes et métaphores plus ou moins lyriques autour du mot "enculer" qu'évoque Jean-Claude Carrière dans "les mots et la choses", mais je ne retrouve pas le bouquin... et j'ai autre chose à foutre !!
bises aux séronautes qui servent le site
Kaaphar
Si très chaud Kaaphar - Zero patience
En effet, il fait très très chaud ici : des pointes à 45 °. Personne dans les rues ni à la plage ni à la piscine. Personne nulle part... Les gens restent chez eux comme s'il y avait une tempête de neige...
Zero patience, je l'avais cité aussi plus haut. Ok je l'ai vu aussi. En effet, Longtime companion est un peu mièvre par moments et la fin, bof à mon goût. Zero patience est plus "distancié" donc il favorise davantage la réflexion que l'identification un peu trop forcée qu'implique Longtime companion et les pleurs qui vont avec..
Moi je ne trouve pas que tu manques de poésie et pis "ceusse" qui n'apprécient pas ta poésie sont pas obligés de lire non plus. Ils peuvent aller à la playa...
Oh moi je ne viens sur le site que pour le
Mais aussi...
bon sujet, à méditer!
aucun progrès tu as raison...
Théorie du complot
encore
encore un coup des illuminé lol.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Illuminati_selon_les_th%C3%A9ories_du_complot
à moins que se soit un coup des skull & bones
http://fr.wikipedia.org/wiki/Skull_and_Bones
http://www.nouvelordremondial.cc/skull-bones/