"Au Salvador, la discrimination à l'égard des malades du sida est massive et s'exprime même après leur décès", rapporte Courrier international (19 avril). C'est à tel point que "les entreprises funéraires réservent un service spécial aux sidéens : elles ne les embaument pas, les placent dans des cercueils hermétiques totalement scellés une fois que le corps y est déposé et font payer la prestation beaucoup plus cher". C'est ce que dénonce le journal salvadorien La Pagina qui rappelle que "La loi dite de prévention et contrôle de l'infection du sida, votée en 2001, qui ne précise rien concernant le traitement des morts du sida, sert d'argument aux pompes funèbres". Le Salvador est le pays d'Amérique centrale le plus touché par la maladie notamment parmi les homosexuels.
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Commentaires
ben comme en france, quoi...