Sexime, homophobie : Sony profil bas

3 Novembre 2011
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Le comité IDAHO, organisateur de la Journée mondiale contre l'homophobie, a demandé (21 octobre) à Sony (la maison de disques) de tenir ses engagements et de publier une charte dans laquelle il s'engage à ne plus travailler avec des artistes "appelant à la violence homophobe, sexiste, raciste ou antisémite". "Un an après l'affaire Sexion d'Assaut, le groupe de rap a tenu parole, mais Sony, son diffuseur, refuse de tenir ses engagements", affirme le comité IDAHO dans un communiqué. "Initialement, l'entreprise avait accepté une charte, par laquelle elle s'engageait à ne plus travailler avec quelque artiste que ce soit appelant à la violence homophobe, sexiste, raciste ou antisémite". Sony s'était engagé "à proposer cette charte aux autres producteurs de France, et aux autres maisons Sony d'Europe ou du monde", rappelle l’AFP. Elle "devait être publiée fin novembre, puis en janvier 2011, puis en mai ; puis elle a été reportée sine die", déplore l'association. "Si Sony et les autres majors s'engageaient sur cette charte, les artistes qui appellent à la violence n'auraient plus guère d'écho", ajoute le Comité IDAHO.

 

Commentaires

Portrait de jeanlouis

Je crois réver En fait,il convient donc que Sony signe un engagement pour que la production d'artiste n'appelle pas à la violence homophobe, sexiste ou raciste..... il faut un tel document sansquoi les discours sexistes, racistes et homophobes pourraient être confortées et produits avec la bénédiction de sony.... Mais il n'y a pas des lois pour cela? Le combe est que sony fasse le mort et refuse donc d'interdire la production d'appel à la violence contre une fraction de la population...... Mais où sommes nous??????????????
Portrait de romainparis

mais profit haut ! Si des propos haineux peuvent rapporter du fric, Sony ne veut pas s'en priver.