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Mots clés  : Covid-19conférence

VIH, COVID-19 et risque thrombotique

http://www.webconfaei.com/vih-covid.asp

Commentaires

Portrait de jl06

bonjour , ne peut ton pas avoir une retransmission lecture ici , 

merci JL06

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Il faut s'inscrire jl06

Portrait de Superpoussin

Ne serait-il pas possible de savoir de quoi ça cause sans devoir s'inscrire sur un nième site?

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Par télephone :

AEI, agence d'édition spécialisée dans la santé et le digital
52, rue de la Fédération - 75015 Paris - 01 45 79 03 04

Ou par email : webmaster "@" aei.fr 

 

Portrait de jl06

Deviens trés compliqué la démarche de cette agence AEI ....en fait rien ,n'est validés par les autorités françaises !

alors au juste quelle et sont utilité ? bon bref perso je passe mon tour ....

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Les essais sont en cours pour les traitements , et les vaccins , dont certains sur le marché en Chine , Russie

Portrait de jl06

Le clofoctol est-il la molécule « miracle » de l'Institut Pasteur pour un traitement efficace anti-Covid ? L'Institut Pasteur de Lille, qui annonce depuis plusieurs semaines la découverte d'un médicament « très efficace » contre le SARS-CoV-2 et potentiellement disponible immédiatement, refuse d'en donner le nom pour éviter une « hystérie ». Selon l'agence AEF info, il s'agirait du clofoctol, un ancien suppositoire prescrit contre les affections respiratoires bénignes. 

22% de la population serait plus vulnérable aux complications du covid-19  Environ 1,7 milliard de personnes, soit 22 % de la population mondiale, seraient atteintes de troubles de la santé susceptibles de causer des complications en cas d'infection par le virus Covid-19. C'est le résultat d'une étude mise en ligne par le CDC basée sur des relevés collectés tout au long du mois d'avril 2020 aux États-Unis.  

Depuis plusieurs semaines, l'Institut Pasteur entretient le mystère autour d'un médicament particulièrement efficace contre la Covid-19. « Nous avons découvert une molécule très prometteuse, expliquait ainsi en septembre Benoît Déprez, directeur scientifique à l'Institut Pasteur de Lille. Il s'agit d'un médicament déjà existant que l'on pourrait utiliser immédiatement ». L'équipe de chercheurs a passé au crible plus de 2.000 molécules déjà disponibles pour d'autres pathologies pour en identifier une dont les effets pourraient être bénéfiques face au SARS-CoV-2, et a donc mis la main sur cette molécule « aux résultats très encourageants ». Mais l'organisme de recherche refuse pour l'instant de révéler le nom de ce fameux médicament, afin d'éviter une « hystérie » en pharmacie comme on a pu le voir avec l'hydroxychloroquine.

Un suppositoire retiré du marché en 2005

L'agence d'information AEF info croit pourtant connaître le nom de ce fameux médicament : il s'agirait du clofoctol, un antibiotique utilisé en France de 1978 à 2005 pour traiter les infections respiratoires bénignes sous la forme du suppositoire Octofene. Interrogé par AEF, l'Institut Pasteur n'a pas souhaité « ni confirmer ni infirmer » le nom de la molécule, mais confirme son efficacité in vitro. « Cette molécule a une action sur les deux portes d'entrée du virus dans les cellules humaines, contrairement à l’hydroxychloroquine. De plus, il n'est pas nécessaire d'augmenter sa concentration pour qu'elle soit efficace, contrairement au Remdesivir », détaille Benoît Déprez à AEF info. Il s'agirait, si ses effets sont avérés par les tests cliniques, d'un traitement précoce contre le coronavirus. La molécule pourrait être administrée au patient en ambulatoire dès la révélation d'un test PCR positif, « afin d'abaisser la charge virale, de réduire la contagiosité et d'éviter que le malade ne développe une forme grave de la maladie ».

Le clofoctol est un antibiotique contre les infections respiratoires bénignes commercialisé autrefois en France sous la forme du suppositoire Octofene. © adragan, Adobe Stock

 

Le clofoctol est un antibiotique contre les infections respiratoires bénignes commercialisé autrefois en France sous la forme du suppositoire Octofene. © adragan, Adobe Stock 

La crainte d’un marché parallèle

L'Octofene, retiré du marché en 2005 par le laboratoire Fournier « en raison des recommandations sur le bon usage des antibiotiques » (en clair, pour ne pas encourager l’antibiorésistance), présente l'avantage d'être vendu à un coût modique (1,81 euro la boîte de huit suppositoires à l'époque). Mais pourquoi entretenir un tel secret autour du nom de cette substance, alors que le médicament n'est plus commercialisé ? La molécule reste disponible dans d'autres pays européens pour différents usages, et l'Institut Pasteur craint donc la naissance d'un véritable marché parallèle. « Une pénurie du produit pourrait nous empêcher de faire un essai en bonne et due forme », redoute Benoît Déprez.

Un tapage médiatique efficace

Le laboratoire a cependant fait le choix ambigu de communiquer massivement dans les médias sa découverte, dans le but d'obtenir des financements pour son essai clinique. Pari réussi puisque le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a réagi le 1er octobre sur Twitter en promettant un soutien financier qui devrait avoisiner les 800.000 euros. Mais l'apport principal vient du privé : le groupe de luxe LVMH a annoncé vendredi 9 octobre le versement d'un don de cinq millions d'euros à la fondation, après que son P.-D.G. Bernard Arnault a entendu Benoît Déprez dans les médias. La somme rassemblée servira à mener les études sur l'animal et chez l'Homme en double aveugle. Bien que le clofoctol bénéficie déjà d'un recul sur son utilisation et ses effets secondaires, l'Institut Pasteur préfère prendre toutes les précautions. « Le but est de produire un résultat scientifiquement irréprochable, pas d'embrayer vers un objet commercial », insiste Benoît Déprez. Si elle se confirme, cette découverte serait cependant la bienvenue pour un Institut qui perd chaque année entre trois et quatre millions d'euros selon AEF info.

 

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Infections bactériennes et nouveaux antibiotiques : essais cliniques
Dr Aurélien Dinh - Hôpital Raymond-Poincaré, Garches

http://webconfaei.com/analyse-biblio/part2.asp

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Désolé mais j'y comprend rien .....sa s'adresse a un public averti , donc pas moi 

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Compte-rendu des sessions COVID de l'IDWeek 2020
En direct, le 18 novembre à partir de 18h30

http://www.webconfaei.com/idweek.asp

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ONT PEUT CHOISIR  .............Wink je connais pas lille ....

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Infections à Cocci Gram positif, infections fongiques et nouveaux antibiotiques : essais cliniques
Pr François Raffi - CHU Nantes

http://webconfaei.com/analyse-biblio/part3.asp

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1ère partie du replay disponible
Epidémiologie, virologie et immunologie :

http://webconfaei.com/idweek/idweek-replay-part01.asp

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2ème partie du replay disponible

Comorbidités et aspects cliniques

http://webconfaei.com/idweek/idweek-replay-part02.asp

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3ème partie du replay disponible

Aspects thérapeutiques et prévention

http://webconfaei.com/idweek/idweek-replay-part03.asp