Vih, cerveau et co-morbidités
Soumis par frabro le 18.10.2009
La conférence de vendredi matin a débuté par un exposé de Igor Grant, de San Diego (Californie) qui a exposé les données actuelles.
Il ressort de cette communication quelques éléments clés :
- 47 % des personnes séropositives présentent des troubles neurocognitifs
- parmi ceux-ci, 25 % n'ont que des troubles mineurs qui n'affectent pas leur vie quotidienne mais sont décelables lors de tests spécifiques. le plus souvent des difficultés de concentration, par exemple.
- 20 % présentent des troubles neurocognitifs suffisamment important pour les handicaper au quotidien, dans leur vie professionnelle ou personnelle
- Moins de 2% présentent des troubles graves assimilables à la démence
Chez les sujets atteints également d'hépatite C, les effets des deux pathologies se conjuguent et modifient sensiblement les données ci-dessus.
Par ailleurs, les patients consommant certaines drogues telles que les amphétamines voient ces effets augmenter également.
Toutefois, ils s'agit probablement d'effets qui se cumulent et non pas de lien de causalité entre eux.
PS : dès que les exposés seront en ligne, je mettrai le lien pour ceux qui souhaitent en savoir plus ou mieux comprendre ce que j'essaie d'expliquer ici en profane à partir de ce que j'ai entendu.
Commentaires
avec
plaisir pour le lien envisagé.
Ce qui m'inquiète un peu en temps que bourguignon d'adoption c'est le rôle aggravant des autres toxiques.Vais je devoir garder le coude vissé à la table?
çà fait peur...
Je n'ai pas la réponse
A ta question Deloon.
Ce qui est curieux, c'est que jamais mes médecins ne m'ont parlé de ça. Je me rassure en me disant que je fait partie des 53 % qui n'ont rien !!!
En fait je pense que nous nous connaissons assez nous même pour déceler d'éventuels troubles mineurs et en parler à nos docs, voir à demander à passer les tests.
Seanaque, il n'y avait rien dans l'étude exposée concernant le vin de Bourgogne, que je trouve moi aussi indispensable à la vie de tout homme "normal" !
c'est dû à quoi ?
Les medocs
Peuvent avoir un effet sur l'humeur, ou provoquer des dépressions comme l'interferon dans le traitement des hépatites. Mais ces troubles sont prévisibles et réversibles à l'arret du traitement.
Dans l'exposé il était bien question de troubles dus au VIH lui-même. Peut-être existe-t-il d'autres études sur ce sujet, je chercherais.
sandra
le sujet
restons calmes
madame la marquise tout va très bien....
Malgré une infection bien contrôlée par leur traitement, 24 % des séropositifs souffrent de troubles cognitifs. Chez les plus de soixante ans, ce problème concerne un séropositif sur deux.
On sait depuis longtemps que l’infection par le virus du sida peut provoquer des démences. Ce type de trouble cognitif majeur est aujourd’hui en forte régression grâce aux traitements antirétroviraux qui contrôlent bien l’infection. Mais à en croire les résultats préliminaires de plusieurs études présentées à Montréal lors de la conférence mondiale sur les rétrovirus (CROI) [1], il n’en va pas de même pour les troubles cognitifs modérés touchant l’attention, la mémoire, le langage ou encore la capacité à exécuter un plan. Des troubles qui peuvent fortement affecter la vie quotidienne en provoquant, par exemple, des oublis dans la prise des médicaments.
« 24 % des séropositifs sous traitement antirétroviral présentent ce type de troubles, selon les premiers résultats de notre étude menée sur 230 séropositifs de 46 ans d’âge médian », annonce Geneviève Chêne, épidémiologiste spécialiste du virus du sida (VIH) à l’université de Bordeaux. L’équipe de Jacques Gasnault, neurologue spécialiste du virus à l’hôpital Bicêtre en région parisienne s’est concentrée sur les séropositifs âgés. « Nous avons observé des troubles cognitifs modérés chez 49 % des 37 patients de plus de 60 ans étudiés, alors que seulement 3 % des personnes de cet âge en souffrent dans la population générale, affirme-t-il. La différence est importante. » Comment expliquer ces chiffres alarmants ? L’infection de ces patients est pourtant si bien contrôlée par les antirétroviraux que le virus est la plupart du temps indétectable dans leur sang avec les méthodes standards.
Antirétroviraux suspectés
Deux hypothèses retiennent l’attention. Tout d’abord, on sait que le virus du sida, même en faible quantité, peut entretenir une inflammation cérébrale. Cette inflammation pourrait être à l’origine de ces troubles. Une étude américaine révèle d’ailleurs que des séropositifs traités, mais chez qui le virus reste détectable en très faible quantité dans le liquide céphalo-rachidien baignant le cerveau et la moelle épinière, ont davantage de troubles cognitifs. Mais les antirétroviraux sont aussi suspectés. Certains d’entre eux sont en effet connus pour provoquer des réactions d’oxydation agressives, voire un vieillissement cellulaire accéléré, qui pourraient également contribuer à la survenue de ces troubles. « Si ces hypothèses sont vérifiées, la stratégie consistera à administrer des antirétroviraux pénétrant mieux dans le cerveau pour y combattre le virus, mais aux effets secondaires précités limités », explique Jacqueline Capeau de l’hôpital Tenon, à Paris.
Les chercheurs ne sont toutefois pas encore en mesure d’évaluer le rapport bénéfice/risque des différents antirétroviraux sur les troubles cognitifs liés au VIH. Mais les antirétroviraux « neuro-actifs » suscitent un certain intérêt. Pénétrant mieux dans le cerveau pour y combattre le virus, de premiers résultats indiquent qu’ils seraient plus efficaces sur ces troubles. « Plusieurs études sont en cours pour évaluer leur potentiel curatif et préventif sur un plus grand nombre de patients », conclut Jacques Gasnault.
Jean-Philippe Braly La recherche 23 mars 2009
Déplacement...
Je viens de déplacer ici, ce sujet ainsi que tous ses commentaires, qui étaient à l'origine sur le blog de Frabro, afin que le plus grand nombre en profite et puisse y participer.
Bonne soirée à tous. Sophie
le
médecin qui me soigne ne m'en parle pas non plus mais ni lui ni moi ne sommes dupes.
La démence aussi nommée "trouble cognitif" est un sujet aussi tabou que la mort dans notre monde formidable.
Les politiques les moins couards parlent de maladie d'alzheimer
j'en suis resté à ce que m'ont appris mes parents et utilise le mot gâtisme qui a l'avantage de la clarté
Je ne vois toujours pas de lien
VIH, antirétroviraux et cerveau
Il est vrai que plusieurs chercheurs émettent l'hypothèse qu'une meilleure pénétration du SNC (système nerveux central) par certains antirétroviraux pourrait induire une protection contre les déficits neurocognitifs.
Bien que la charge virale plasmatique ( dans le sang) soit en général réduite à un niveau indétectable par les arv, il demeure quand-même souvent une certaine activité virale au niveau du cerveau. Or, comme il a été démontré (Les travaux de Scott Letendre en 2006, notamment) que certaines molécules antivirales pénétraient mieux le SNC que d'autres, on en a déduit qu'en abaissant plus efficacement la charge virale cervicale, on réduirait les dommages au cervau causés par le Vih. Toutefois, les observations subséquentes montrent que des déficits neurocognitifs persistent malgré l'usage de trithérapie pénétrant efficacement le SNC.
Comme le commentait le Pr Igor Grant en février dernier: " il n'y a q'une modeste association entre la pénétration de SNC et l'occurance de déficits neurocognitifs".
Plus encore, une étude (AIDS Clinical Trials Group (ACTG) 736 ), publié en juillet dernier dans la revue Aids, a comparé deux groupes de sujets :A = traitement avec antirétroviraux pénétrant bien le cerveau .B traitement pénétrant peu le cerveau. Curieusement, bien que la charge virale dans le SNC ait été mieux contrôlée dans le groupe A, la performance neurocognitive subséquemment testée dans les deux groupes s'est avérée meilleure dans le groupe B. Pour tenter d'expliquer ces résultats inattendus, les auteurs ont émis l'hypothèse que peut-être ces antirétroviraux pénétrant bien le cerveau pourraient avoir une toxicité non encore soupçonnée.
Seros
le lien THS
http://www.ths-biarritz.com/programme.php
Certaines interventions sont déjà en ligne en prenant le programme de chaque jour. Malheureusement l'intervention du Pr Grant n'y est pas encore. mais je pense que ça va venir.
Il y a beaucoup d'autres thèmes intéressants à découvrir. J'en ai rapporté quelques uns sur mon blog et vais en mettre encore d'autre en lumière pour susciter les discussions.
Merci à Seanaque et Seros d'avoir utilement complété mon post initial sur VIh et cerveau.
bon
tres interessant
vih et cerveau
personnellement j'ai déjà lu ce genre de chiffres pour les troubles psy dus au vih sur une brochure d'action et traitements ou actif santé , il faudrait que je la retrouve ??
à l'hop fernand widal attaché à l'hop lariboisiére ils ont tout un service qui s'occuppe de celà des plus " déments " aux plus ou moins perturbés .. car il se sont rendus compte des effets sur le snc ( systéme neuro cérebral ) .et ont décidé " d'ouvrir un service " .
estimant que j'avais quelques petits problémes de mémoire , j'en ai parlé à mon médecin vih , elle m'a orienté vers ce service où j'ai fait toute une batterie de tests mais ce qui m'a le plus étonné c'est qd le médecin m'a dit que tous ceux qui contractaient le vih , celui ci allait directement et en premier vers le cerveau et ensuite il pouvait y avoir des effets perceptibles ou rien du tout ! c'est qd mm troublant , non ??
c'est
bien là tout l'intérêt du professionnalisme du prescripteur....
Les études comparatives sont destinées à satisfaire la médecine fondée sur les preuves ( "evidence based medecine" comme dirait my rich taylor) dont le but est d'éviter le charlatanisme,limiter les effets secondaires et n'administrer que des médicaments efficeces car à partir du moment où ils sont efficaces ils sont forcemment toxiques par ailleurs sinon ils ne seraient que de la poudre de perlin pinpin.
Le groupe témoin est aléatoire c'est à dire tiré au sort ( "randomized" Sir ) et ni le médecin ni le malade ne savent quel est le produit ingéré avant la fin de l'essai.
Un comité indépendant des investigateurs participant à l'essai suit la progression de l'essai en connaissant de manière confidentielle les données des produits administrés de façon à pouvoir interrompre à tout moment l'essai qui dure souvent plusieurs mois;lorsqu'apparait un résultat intermédiaire inéquitable ( résultat significatif péjoratif ou favorable pour l'un des groupes ) qui ne permet plus de poursuivre l'expérience sans créer un préjudice inacceptable à l'un des deux groupes.
Ceci dit il ne s'agit comme dominique le dit que de statistiques qui ont pour but de guider le médecin dans ses choix.
Pour de multiples raisons un médecin peut considérer que les résultats de tel ou tel essai clinique ne peut pas s'appliquer à son patient qui reste toujours un sujet unique et jamais un chiffre de randomisation.
Allez hop! un petit verre de Chablis après ce bavardage.....
troubles de la personnalite
vih et pathologies
a ce docteur qui vient gentilment nous dire
a ce docteur qui vient gentilment nous dire que nous avons peut etre des troubles la la la.Je vous explique Mr la vie est deja dificile et pas evidente tous les jours on a des problemes et des soufrances puis un beau jour au debut de notre age adulte, une blouse blanche vient nous annoncer que l'on a une maladie dangereuse,voire mortelle et qui se tranmet par voie sexuelle. c'est pas notre santée qui est bouzillée c'est tout ce qui fait d'une vie une vie.c'est affectif,amical,professionnel, et familial. Vous prenez un jeune etre humain et vous le mettez a regarder son passé c'est honteux.au lieu de chercher a savoir quels troubles psycologiques presentent ceux a qui vous "annoncez la mort" cherchez enfin la solution et desolée pour ceux qui perdraient leur travail. On a beau dire ce qu'on veut sur le traitement et la maladie que ce n'est plus ce que c'etait. Moralement on ne peut pas s'empecher de se demander si on sera encore la et generalement a court terme. Et si c'est le cas dans quelles conditions je pense que ce n'est pas un hazar si tel personne est sero qu'avons nous donc en comun qui fait qu'on merite un tel sort? merci docteurs de nous tenir informés mais le plus grand merci pour moi ce sera quand il n'y aura plus le mot sida ou seropo que au passé pas quand nous ne serons plus la mais quand on le soignera comme un rhumme. et la oui merci et au revoir....vivement.
acide valproïque
L’infection par le VIH entraîne plusieurs complications, dont certaines touchent les nerfs de la moelle épinière et le cerveau. Ces complications vont de l’inflammation à l’apparition de tumeurs, en passant par une gamme d’infections microbiennes causées par des champignons, des parasites ou des virus opportunistes. Le VIH lui-même peut causer des complications parce que le virus produit des protéines et des substances chimiques qui sont susceptibles d’altérer le fonctionnement des cellules cérébrales, de sorte que celles-ci se mettent à mal fonctionner et, dans certains cas, à mourir. Entre autres, l’infection par le VIH peut donner lieu à des déficiences cognitives—problèmes de mémoire et de concentration—chez certaines PVVIH, ainsi qu’à la perte graduelle du contrôle musculaire... Dans les cas extrêmes, ces problèmes peuvent entraîner un diagnostic de démence liée au VIH.
L’introduction de la multithérapie antirétrovirale a permis de réduire considérablement le risque de démence liée au VIH. En effet, on peut constater des améliorations sur le plan de la mémoire et de la concentration dans les six premiers mois d’une multithérapie. Pourtant, le recours à une multithérapie ne permet malheureusement pas d’éliminer complètement le risque de déficience cognitive. Peut-être ce risque perdure-t-il parce que les médicaments anti-VIH ont de la difficulté à entrer et à demeurer dans le cerveau. Les tissus qui tapissent le cerveau contiennent des pompes minuscules qui chassent les médicaments anti-VIH du cerveau et les rejettent dans le sang. Les inhibiteurs de la protéase, notamment le ritonavir (Norvir), sont capables de supprimer partiellement l’action des ces pompes, ce qui permet aux médicaments anti-VIH de traverser la barrière sang-cerveau et d’entrer dans le cerveau.
À long terme
Même si la multithérapie permet à beaucoup de PVVIH de vivre plus longtemps, certains experts en neurosciences s’inquiètent de la possibilité que l’infection au VIH entraîne une dégradation légère mais persistante du cerveau à long terme et ce, malgré le recours à des médicaments anti-VIH. Alors, des chercheurs oeuvrant dans plusieurs universités canadiennes, italiennes et américaines ont essayé de trouver un moyen de réduire, voire de réparer, les lésions neurologiques causées par le VIH.
L’acide valproïque à la rescousse
Une équipe du centre médical de l’Université de Rochester, dans l’état de New York, a étudié l’effet d’un médicament anticonvulsivant appelé acide valproïque (AV) sur le cerveau de souris immunodéprimées infectées par le VIH. Ce médicament a réussi à protéger les cellules nerveuses contre les dommages causés par l’exposition aux protéines et à d’autres neurotoxines du VIH. Encouragée par ces résultats, l’équipe a décidé de mener une étude pilote contrôlée contre placebo de courte durée chez des PVVIH atteintes de déficience cognitive. Leurs résultats sont prometteurs.
Détails de l’étude
Les chercheurs ont recruté 22 participants, dont 6 ne présentaient aucun signe décelable de déficience cognitive, pour cette étude pilote de 10 semaines.
Le profil moyen des participants au début de l’étude était le suivant : 434 cellules CD4+ ; durée de séropositivité : 9 ans ; 73 % des participants suivaient une multithérapie.
Les participants ont subi une IRM (test d’imagerie par résonance magnétique) avant et après l’étude. Les chercheurs ont affecté les participants au hasard à l’un des deux groupes suivants : acide valproïque – 250 mg deux fois par jour ; placebo.
Résultats—innocuité
Dans l’ensemble, les analyses sanguines effectuées pendant l’étude n’ont permis de constater aucune toxicité significative, et les chercheurs ont affirmé que l’acide valproïque était bien toléré. Un participant a présenté des taux d’enzymes hépatiques anormalement élevés, mais ceux-si ont fini par revenir à la normale. Un autre s’est plaint de brûlures d’estomac, mais celles-ci n’étaient pas assez graves pour le pousser à quitter l’étude.
Chose importante, aucun changement significatif n’a été observé en ce qui concerne les cellules CD4+ ou la charge virale.
Changements dans le cerveau
Les chercheurs ont administré des tests neuropsychologiques aux PVVIH avant, pendant et après l’étude afin d’évaluer tout changement éventuel sur le plan de la mémoire et de la cognition. Chez les participants qui présentaient une déficience cognitive au début de l’étude et qui ont reçu de l’acide valproïque, les chercheurs ont observé une tendance à l’amélioration. Les six participants qui n’avaient pas de déficience cognitive au début de l’étude et les participants qui ont reçu le placebo n’ont pas présenté d’amélioration. De façon semblable, les balayages IRM effectués chez les participants atteints de déficience cognitive qui ont reçu de l’acide valproïque ont révélé une amélioration significative dans la région du cerveau—le lobe frontal—qui a tendance à se dégrader en présence du VIH. Des études antérieures avaient permis de constater que l’acide valproïque ne semblait pas interagir de manière significative avec les médicaments anti-VIH couramment utilisés, tels que l’efavirenz (Sustiva, Stocrin) et le lopinavir (dans Kaletra). C’est un résultat rassurant du point de vue des recherches futures. Dans l’ensemble, les résultats de cette étude pilote sont prometteurs et laissent penser qu’il est possible d’améliorer l’état des PVVIH atteintes de déficience cognitive grâce à l’acide valproïque. Cependant, des études de plus longue durée devront être menées auprès d’un plus grand nombre de participants pour évaluer l’ampleur et la durée de cette amélioration.
—Sean R. Hosein
acide valproïque
L'acide valproïque n'est qu'une des nombreuses molécules à l'étude contre les TNC ( troubles neurocognitifs). L'étude que rapporte Valala a été présentée en 2006. Depuis les nouvelles se font malheureusement discrètes .Des recherches à plus long terme sont peut-être en cours mais les publications se font rares. Voici d'ailleurs une liste d'autres molécules dont on teste les effets sur les TNF.
Pistes thérapeutiques à l’étude :
- la sélégiline administrée par voie transdermique, un inhibiteur sélectif de la monoamine oxydase B.
- le citalopram et la paroxétine, des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine,
-le lithium et l’acide valproïque,
- la minocycline,
- la maraviroc, du fait de son action protectrice du GALT (tissu lymphoïde associé aux muqueuses intestinales) ;
-l’érythropoïétine (EPO) ;
-le facteur de croissance IGF,
- les neurotrophines,
-les Inhibiteurs de p38 MAP kinase,
=Les inhibiteurs calciques.
Dans la presse scientifique :
"HIV-1 associated dementia : update on pathological mechanisms and therapeutic approaches" ; Kaul, Marcus ; Current Opinion in Neurology, Volume 22(3), Juin 2009
Au moins on fait quelque chose, c'est au moins ça de pris.
Seros
J'avais entendu parler des conséquences