andropause

Mots clés  : andropause

Andropause, VIH, ARV

Des années en arrière, inquiet d'une forte chute de libido alors que je ne traversais pas une période de fatigue ou de dépression, j'avais demandé à consulter un andrologue pour voir si existait des moyens de me redonner confiance dans le domaine sexuel.

 

A peu près à la même période j'ai commencé à avoir des problèmes cardio-vasculaires, de diabète, de surcharge adipeuse abdominale, de peau sèche,... toutes sortes de problèmes qu'il était d'usage de mettre sur le compte de certains ARV (Anti RétroViraux).

 

Ayant repris des études j'avais aussi constaté l'apparition de problèmes cognitifs (concentration, mémorisation, absences) qui seraient sans doute passés inaperçus sans ce contexte d'études.

 

L'andrologue que j'avais vu a bien constaté un faible taux de testostérone mais n'a pas voulu me faire prendre de cette hormone, m'expliquant que c'était essentiellement dans la tête que tout se passait. Je n'ai pas été spécialement satisfait de cela, une des choses qui me bloquais dans mes rapports avec le sexe désiré étant cette peur de la défaillance.

 

Mais si mon traitement VIH était de moins en moins lourd je m'étais découvert de nouveaux soucis médicaux (cardio, diabète, problèmes cognitifs) et ai fini par "oublier" que ma libido était malade.

 

Ces dernières années j'ai aussi été frappé d'une chute musculaire impressionnante qui me donnait l'impression d'avoir 30 ans de plus.

C'était pour moi sans doute la faute du VIH ou des ARV mais j'avais déjà renoncé à parler à mon infectiologue de ces problèmes non vitaux.

 

Et puis cette semaine je tombe par hasard sur une émission radiophonique relative à l'andropause et je découvre dans la foulée que celle-ci, bien moins prise en considération que la ménopause, pourrait engendrer, outre la fameuse baisse de libido, des problèmes musculaires, cognitifs, cardiaques, une sécheresse de la peau, de la graisse abdominale, ...

 

Et si une bonne partie des maux que l'on mettait sur le dos de certains ARV étaient en fait plutôt causés par une andropause peut-être favorisée par ces ARV?

 

Qui en sait un peu plus sur la question ?

Avez-vous connaissance d'études sur le sujet ?

Pour l'instant je n'ai pas trouvé grand chose à part un fil de Séronet sur la question qui a été "archivée", ce que je trouve dommage.

https://seronet.info/billet_forum/vih-et-testosterone-andropause-precose...

Si on ne trouve pas d'études démontrant une causalité du VIH et/ou de certains ARV dans la survenue de certaines andropauses en trouve-t-on qui démontreraient l'absence d'une telle causalité? Ce chapitre est-il clos ou n'a-t-il tout simplement jamais été ouvert?

Accessoirement je suis preneur de coordonnées d'andrologues parisiens s'y connaissant en VIH.

 P.S.: Autre lien trouvé particulièrement intéressant:

https://www.urofrance.org/congres-et-formations/formation-initiale/refer...

 

Mots clés  : dépressionandropause

Dépression et andropause

Bonjour,

J'ai 59 ans et souffre depuis presque 2 ans maintenant d'une dépression qu'aucun anti-dépresseur ne parvient à soulager. J'ai essayé des traitements non reconnus par l'Académie (hypnose, EMDR, acupuncture, etc.)

Un ami m'a récemment parlé de l'andropause et de l'aspect qu'elle pouvait prendre (= dépression).

Y a-t-il parmi vous des hommes qui ont connu cela ? Si oui, quel traitement ? L'andrologue que j'ai vu m'a presque ri au nez lorsque je lui ai expliqué le but de ma visite (= bilan hormonal pour savoir si andropause ou non ?)

Merci de votre aide et de vos idées !

:-)

T.