l'administration finit par amalgamer tous les s+ dans la même catégorie et les prive, sans distinctions, de droits essentiels. Ceci est de la faute de tous les communicants, militants ou non, qui parlent du vih comme d'une maladie chronique ou qui annonce sa fin comme possible. Que cela soit vrai ou faux n'a pas d'importance, là n'est pas le débat. En le faisant, égoïstement, ils minimisent l'...