Quel marasme que ce monde à l’agonie. Les bouées auquel il se rattache sont percées et ne lui offre qu’un semblant de flottaison, temporaire. Incapable de remettre en cause ses doctrines sociétales, l’écueil du naufrage, l’Homme, le naufrageur, se réfugie dans ses extrêmes, exacerbant par là-même l’émergence des violences. Il n’y a point d’autre paradis que celui que l’on se construit ensemble.