Les archives communautaires

Mots clés  : prêt immobilier

Investissement immobilier

Bonjour,

Je suis en démarche d'achat d'un bien immobilier, est je souhaiterais avoir des informations sur les obligations, restrictions ou droits liés à ma séropositivité dans cette démarche d'investissement nécessaires au bon déroulé avec les banques ou organismes d'assurance.

Merci pour vos infos.

mon jardin ma passion

celui qui aujourd'hui ,j'ai décidé de retrouver

il me ressemble sauvage et structuré

tant de choses il m' a apporté

avec lui, il n'y a pas de mensonges, pas de haine, pas de trahison

simplement une plénitude qu'il m'offre volontier

si je suis fatiguée et que je le délaisse, il ne m'en tiens pas rigueur

derrière un recoin mes tomates rougissent, mais n'ont pas de honte à

se laissé déguster de toutes leurs valeurs nutritives

si j'effleure la coriandre, elle me dégage son odeur ennivrante

et tellement succulente lorsque je la mange

bleu comme pomme de terre, ancienne variété en voix de disparition

je la protège et la présèrve, elle ne viens pas de la planète hybride

les mures quand elles sont à points se laissent mettre en pots sans broncher

et c'est avec amour que je remet à mes amis ou parents de passage

le fruit de ma passion

passionement réspèctueuse de l'environnement

après nous l'avenir

fabinette

Le suicide: acte courageux?

Mon père s'est tiré une balle dans le coeur quand j'avais 6 ans et à cause de cela je n'ai jamais cru que le suicide est une bonne chose et j'ai toujours dit que JAMAIS je ne me suiciderais mais voilà je crois qu'il y a certain suicide qui sont un acte de courage comme le fait de s'enlever la vie parce que l'on souffre atrocement et qu'il n'y a aucun espoir et que de toute façon on va mourrir d'ici 3 mois par exemple! Ceux qui n'ont jamais souffert de douleurs ne peuvent pas s'imaginer à quel point la douleur physique peut être une vrai torture, heureusement il y a de très bon médicaments mais il ne fonctionne pas toujours. Moi je garde toujours en réserve des médicaments pour me suicider si jamais mon médecin m'annoncerais que je suis atteint d'un trouble qui va me faire dépérir dans la plus grande souffrance, dans ce cas je crois que le suicide est un acte courageux mais sinon si on s'enlève la vie à cause de la déprime alors là c'est un acte de désespoir lié à un trouble de santé mentale. Et vous, y avez-vous réfléchi?

affection psychologique

Je souffre actuelllement d'affection Psychologique ( un mélange de dépression et d'angoisse).Je suis actuelllement suivi,par un psy, mais le problême est que je ne supporte pas les anti dépresseurs qui me rendent trop nerveux, pourtant ça m'aiderai bien, mais bon, je dois faire sans. Enfin bref, depuis 3 ans je bascule dans la déprime ( lié à un contexte pesant)....Et pourtant ce n'est pas ma nature suis un réel bon vivant, et le VIH n'est pas un souci pour moi....Mais là actuelllement suis très fatigué,un peu désespéré et me renferme, car pas beaucoup de force et ne sait pas comment m'en sortir. Je souhaite rencontrer ou discuter avec quelqu'un, qui est un peu commme moi, et qui pourrait me comprendre. Je pense que ça pourrait m'aider. Merci

J'en appelle à toutes les femmes...

Je voudrais pourvoir partager cette angoisse avec vous les femmes. Je suis séropo depuis

14 ans et sous traitement depuis 10 ans. J'ai un problème de désir sexuel,

mon compagnon redouble d'amour et rien n'y fait. Je souhaite pouvoir en discuter avec

d'autres femmes qui comme moi ont ce problème. Et j'aimerais savoir s'il existe une solution.

Cordialement.

Catoche

Neuropathie et morphine

Je souffre de douleur neuropathique. Je suis toxico. J'ai profité de ma condition médicale pour me faire prescrire des opiacés contre la douleur. J'ai commencé avec la codéine et ensuite je me suis rendu à la morphine. Si j'avais su avant ce que ça implique d'avoir une dépendance aux opiacés je n'aurais jamais commencé à en prendre, j'aurais trouvé d'autres alternatives pour soulager ma douleur. Je vous le dis: ne prenez jamais de morphine à moins que vous souffriez de douleurs atroces! Le problème c'est pas la dépendance psychologique mais la dépendance physique. Le corps s'habitue au médicament si bien que quand on essai d'arrêter on éprouve des symptômes intolérables! Ce qui nous pousse à reprendre la médication et voilà que commence un cercle vicieux. Pour avoir consommé presque tous les opiacés(morphine, codéine, hydrocodone, fentanyl, etc.) je peux vous dire que celui qui cré la plus forte dépendance physique c'est la méthadone... C'est l'enfer! Si vous avez une dépendance et que le médecin vous offre le traitement par la méthadone pensez-y bien car quand on décide de cesser de consommer il est bien plus facile de le faire quand on prend de la morphine par exemple que la méthadone. Le sevrage de la morphine peut se faire assez vite, sur quelques semaines mais avec la méthadone et bien on parle de 2 ans à 2 ans et demi!!! Et puis à chaque baisse du médicament le corps doit s'adapter. Ma dose était de 120 mg et je croyais pouvoir descendre à coup de 10 mg par semaine... OUBLIEZ ÇA! Dépendamment de la dose il faut baisser de 3 à 1 mg par 3-4 semaines, alors faites le calcul! Souvent quand on décide de cesser une dépendance on veut le faire vite pendant qu'on est décidé, comme cesser de fumer se fait du jour au lendemain alors c'est très frustrant de ne pas pouvoir faire de même avec la méthadone mais surtout c'est toute la SOUFFRANCE que cette dépendance apporte. Croyez-moi, pensez y bien avant de commencer à consommer des opiacés! Merci et bonne chance!

Historiens et intellectuels bareback

Les définitions du bareback sont floues parce que le mot a été récupéré dans une propagande de discrédit à fins préventives supposées. Sur les sites francophones , le mot bareback a été stigmatisé par exemple en raison de son origine américaine, pour le plus grand bien d'associations très clairement cataloguées. On a ainsi pu présenter le bareback comme une "mode" américaine, exploiter l'anti-américanisme de bon aloi avec une conjoncture très favorable ( désastre irakien etc.....). Pour le reste, les intellectuels crédibles engagés dans le bareback ont été presque tous homosexuels et censurés , ils ne sont ni lus ni relayés, et l'indifférenciation d'internet où le plus insigne tocard a la même valeur d'expression que le savant, a achevé de paraffer le sujet bareback au chapitre des ignorances plébeiennes sous le chapiteau bienveillant des associations de militants convaincus définitifs. Erik Remès : selon mes définitions, il n'est pas un barebacker "politique". Remès a été contaminé par "trahison", avec tous les bémols que laissent planer cette accusation qu'il ne soutiendrait d'ailleurs pas, et il se protégeait avant d'apprendre sa séroconversion. Une fois devenu séropositif, il a tout naturellement laisser tomber la capote pour avoir une sexualité plus satisfaisante en recherchant des partenaires compatibles ( c'est à dire acceptant consciemment le no kpote ). Cela n'est possible et facilité que si les barebackers ont les moyens de se retrouver entre eux. Comme les associations homosexuelles ont eu comme priorité leur propre cause et non celle de leurs séropositifs, ces associations ont tout fait pour occulter l'existence des barebackers. Remès a écrit un livre de prévention adapté à la diversité des sexualités. En fait, il est un authentique préventionniste ( c'est pourquoi je suis "faché" avec lui car je me définis au contraire de lui comme un barebacker prosélyte ). Les citations de Rémès comme quoi il conseillerait la contamination des militants d'act-up relève de la simple expression littéraire d'un individu agressé qui a des pensées réactives face à une agression injuste. J'ai déjà posé 1000 fois des bombes au siège d'act-up et torturé Pierre Bergé le double en rêve, sans jamais passer à l'acte , au même titre que bien des gendres ont étranglé leur belle - mère. Et ça fait du bien de l'écrire ! Sur ce forum, Phil86 n'a pas lu Remès, il a lu des extraits, il connait des titres et des étiquettes, et sa culture sur le bareback est hélas très superficielle, c'est un vrai problème qu'il écrive autant d'assertions qui relèvent de préjugés , derrière une forme qui s'appuie en apparence de référencements nombreux mais hélas sans valeur. Guillaume Dustan : Là, on se rapproche du vrai bareback, même si son histoire personnelle n'en fait pas un barebacker authentique ( son prosélytisme n'est apparu qu'après la connaissance de sa séropositivité ). Penseur exceptionnel, poète certain, écrivain illisible parfois ( est-il "chiant" à lire , au vu des réactions pourtant on ne "s'ennuie" pas ! ), individu exceptionnel. Je ne rajoute rien car son image n'est pas déformée comme l'est celle de rémès. Point commun : ceux qui en parlent très souvent ne l'ont pas lu réellement.

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Les "Historiens" : Eric Rofès : universitaire américain aujourd'hui décédé. Le spécialiste de l'histoire du sida, même si son appartenance à la communauté homosexuelle le fait parfois tomber dans le risque de trahir la réalité pour préserver l'image des homosexuels ( je trouve son chapitre ' the dawn of epidemics" un peu timoré derrière sa finesse, totalement à l'image de son auteur dirons-nous. Pour le reste, les si nombreuses et variées associations de lutte contre le sida sont des paravents dont le sida est un prétexte et la cause défendue ailleurs : cause des femmes, cause des homosexuels, cause de la chasteté, cause des immigrés, cause des écologistes contre les labos, .....les intérets catégoriels des communautés ont toujours primé sur la vérité historique.

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Définition du bareback : je m'appuie sur l'observation que 80% des membres des sites bareback ont une sexualité passive. Le barebacker authentique est un individu qui ne connait pas son statut sérologique et accepte de prendre le risque de devenir séropositif ( risque majeur pour l'homosexuel passif ) Se pose alors la question de la responsabilité s'il devient réellement séropositif. Les séropositifs homos de 1983 se savaient nombreux et déterminés et ne doutaient pas un instant de la facilité pour eux de trouver des partenaires compatibles, tant les témoignages de refus de la capote étaient nombreux à l'origine. La peur d'une autre partie du milieu homo a été le discrédit que cela entrainerait. Elle a occulté par tous les moyens l'existence d'un très fort courant bareback dès les années 83 et a cru que la progression de la capote face à la mort de plus en plus précise, allait faire disparaitre le courant bareback. Le plus formidable de l'entreprise aura consisté à dire qu'un "nouveau " mouvement, appelé "bareback, était "apparu" aux Etats-Unis dans les années 90 etc....on connait la suite. De quoi s'agit-il en réalité ? En rendant impossible la facilité originelle du bareback , dont la meilleure preuve se retrouve à l'époque dans la prédominance morale de la responsabilité dite partagée entre les homos libres alors de mettre ou non la capote, la prévention a voulu faire planer la menace de l'isolement en plus de la menace sur la santé. En quelque sorte, les milieux homos dits "intégrationnistes" ont vendu sur la place publique un discours comme quoi les homos étaient tous responsables, et si la désinformation a eu lieu, elle provient en réalité d'eux et d'eux seuls. Car il faut maintenant rajouter ceci : le bareback est d'autant plus organisé que la criminalisation de la tromperie est forte. Précisément aux Etats-Unis, il est devenu obligatoire très vite d'avouer sa séropositivité. Bien évidemment, la seule possibilité légale pour les séropositifs d'avoir des rapports sans capote est alors d'organiser les rencontres entre volontaires déclarés. Le mot bareback est le résultat de la Loi qui contraint à l'honneteté, à la déclaration. En France, le port de l'étoile jaune n'est pas obligatoire en matière sida, et le bareback n'a alors pas lieu d'être en tant que tel ! Mais la disparition de la règle morale de la responsabilité partagée, bien supérieure à la morale de l'aveu, en réalité, a renforcé la nécéssité du bareback chez les séropositifs français. Enfin, Loi contraignante ou pas, le bareback est également un choix politique fondamentale de lutte contre le sida : le plastique et la frustration en toute sécurité et pour toute la vie, ou alors la libération par la science ou le renoncement à la vieillesse pour une sexualité restaurée, au risque possible et incertain dela santé voire de la mort ( d'où la figure de héros pour les premiers barebackers qui ont fait acte de foi en la science , sans aucune certitude ni sur la maladie ni sur la réponse scientifique ou sociale dans la lutte à venir contre la maladie ). **********************************************

Encore isolé

c frustrant.il me semble que je resterai tout seul pour le rest de ma vie.il marrive toujour avec des mecs sympa,je me sens que je dois les dire concernant mon satus...et BOM..tous disparus pendant le dial quand je declare que je suis sero!! jaime bien trouver mon ame soeur mais OU et COMMENT ?

 

a plus.

Trouble de santé mentale et VIH

Bonjour, je suis séropositif depuis 18 ans et je me demandais si le VIH pouvait être responsable de mes trouble de santé mentale. Ce n'est pas écrit dans la littérature mais moi je pense que si le virus se trouve dans le cerveau et bien il peut y faire des ravages. Voilà depuis 4 ans je souffres d'anxiété sévère, et on m'a diagnostiqué un trouble de la personnalité limite (borderline). Je ne trouve pas d'explication à mon anxiété, c'est un symptôme très "physique", je suis plus capable de travailler car je suis pas capable de me concentrer et à cause de l'anxiété, j'ai des troubles avec ma mémoire aussi, ma mémoire à court et moyen terme est affecté. Y a t-il quelqu'un qui a vécu ou qui vit la même chose que moi? Merci