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questions techniques
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bonjour,
peu à peu des rubriques d'aide vont être mises en place sur ce forum "bug's life",
en attendant, si vous avez des questions, des remarques, des suggestions sur la navigation sur seronet : faites-le ici !
nous nous efforcerons d'y répondre au mieux
merci de votre participation solidaire
Alain pour seronet
Votre profil
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Pour votre inscription et votre navigation sur presque toutes les zones du site, votre pseudo suffit.
Cependant votre profil sert aussi à vous présenter aux autres de façon à ce que chacun sache qui cause à qui ; en effet, vous ne vous exprimerez peut-être pas de la même façon avec un jeune gay séronégatif habitant une grande ville occidentale, qu'avec une mère de famille quinquagénaire séropositive vivant en Afrique.
Il serait donc préférable que vous remplissiez au moins les champs
- date de naissance
- sexe
- zone géographique
et souhaitable :
- orientation sexuelle
- statuts sérologiques vih - vhc - vhb
Les autres rubriques sont à votre convenance.
Vous aurez ici ou là des champs textes : n'y indiquer aucune coordonnées personnelles (adresse postale, n° de tel, etc...)
Nota : seronet n'est pas une vitrine de telle ou telle association ; seronet n'est pas non plus un lieu d'échange entre acteurs associatif : il est donc préférable de ne pas trop mettre trop en avant dès votre profil votre éventuellle appartenance à telle ou telle association . Merci de votre compréhension.
TECHNIQUEMENT :
Partie droite sous votre pseudo : lien "MODIFIER MON PROFIL"
ou menu "CHEZ MOI" puis "MON ESPACE PERSO" (vous voyez alors votre profil tel que les autres utilisateurs le voient) – lien "MODIFIER MON PROFIL"
Vous avez alors 6 onglets :
1/ mon compte
vous permet de :
- changer votre adresse email de référence
- ajouter/modifier votre avatar dit ici "portrait" (prédéfini ou téléchargeable de votre ordinateur)
- Paramètres des commentaires : vous permet de rédiger une "signature" qui sera automatiquement insérée au bas de vos messages.
- Rappel de la charte que vous avez signée lors de votre inscription
- Bouton "Soumettre"
2/ mes coordonnées
- merci de renseigner au moins la rubrique "Pays Profil"
- la géolocalisation par image satellite vous permet de vous localiser très très précisément !! ou pas…
- bouton "Soumettre"
3/ mon histoire
- remplissez votre date de naissance (seule l'année apparaîtra aux autres) faute quoi certaines zones du site ne vous seront pas accessibles
- sexe
- orientation sexuelle
- une case libre de texte (pas de coordonnées personnelles)
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4/ mes passions
- échelle de préférence à compléter à votre convenance.. ou pas
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5/ ma santé
- vos statuts sérologiques vih, vhc, vhb (merci de les renseigner)
- les détails de vos éventuels traitements
- vos champs de connaissances
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6/ mes newsletters
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Si vous avez des questions, des remarques, des commentaires, des suggestions à propos de la rubrique "profil" c'est ici !
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Humour
Humour
C'est dans cette activité qu'on reconnaît les talents de cuisine d'un homme, un vrai. Dès qu'un homme se porte volontaire pour faire ce type de cuisine, la chaîne d'évènements suivante est actionnée :
L'HOMME > 1. L'homme sort le barbecue et le charbon de bois. |
LA FEMME > 2. La femme nettoie la grille.> 3. La femme va à l'épicerie. > 4. La femme va chez le boucher. > 5. La femme va chez le pâtissier. > 6. La femme prépare la salade et les légumes. > 7. La femme prépare la viande pour la cuisson > 8. La femme la place sur un plateau avec les > ustensiles nécessaires, les épices et les > herbes. > 9. La femme apporte la grille propre et le > plateau à l'homme qui est étendu à côté du > barbecue en train de prendre une bière. |
L'HOMME 10. L'homme place la viande sur la grille. |
LA FEMME > 11. La femme va à l'intérieur mettre la table.> 12. La femme vérifie la cuisson des légumes. > 13. La femme prépare le dessert. > 14. La femme revient à l'extérieur pour dire à > son mari que la viande est en train de brûler. |
L'HOMME
15. L'homme enlève la viande trop cuite de |
LA FEMME > 16. La femme prépare les assiettes et les apporte> sur la table. |
L'HOMME 17. L'homme sert à boire. |
LA FEMME > 18. La femme dessert la table et prépare le café.> 19. La femme sert le café et le dessert > 20. Après le repas, la femme range la table et la > nappe. > 21. La femme fait la vaisselle et range la > cuisine. |
L'HOMME
22. L'homme laisse le barbecue en place car il y a encore des braises. |
> |
ALD attention danger!!!!
ALD attention danger!!!!
Allo !! les coinfs !
Allo !! les coinfs !
Allo !! les coinfs !
Bonjour, Il y a-t-il des coinfs vih/vhc ici ? (ou vih/vhb). Moi c'est vih depuis 1992 et vhc depuis les années 80 ! pédé ET tox ! c'est pas forcément ce dont je suis le plus fier… par définition nous avons tout le temps le cul entre deux chaises de l'infectio à l'hépato de l'asso sida à l'asso hépatite du site sida au site hépatite on a un peu l'habitude de nous balader avec notre dossier sous le bras. Dans les asso, comme sur les sites on accorde une petite place aux coinfs ! Sur seronet (site à entrée sida) c'est donc ici : "en plein cirage" !!! vous !! comment ça va ? Moi, c'est très up and down ! J'ai commencé en janvier ma 3em tentative de traitement interfèron/ribavirine ! C'est pas la joie tous les jours (fatigue, irritabilité, baisse de moral..) mais globalement je gère plutôt pas trop mal ! A3/F4 (six roses donc) ; je suis indétectable depuis la 8em semaine de traitement, suis à mi-parcours et je pense que cette fois je vais tenir… …
le cul entre deux chaises…
à vous kaaphar
Traiter à 500 CD4 ?
Traiter à 500 CD4 ?
Témoignage
Témoignage
J'étais nouveau dans mon nouveau "taf de séropo"...AIDES, que je commencais de fréquenter,m'a proposé de participer aux inversités d'été des personnes en traitements, j'y suis allé bien volontiers, j'y ai fait ce témoignange que je vous livre ici."
Témoignage lu aux U.P.T. - La Bolle (88)Mercredi 21 octobre 2007
Bonjour,Je suis gay depuis 25 ans et séropositif depuis un an et demi.Je souhaite témoigner aujourd’hui de la difficulté mais aussi de l’importance qu’il y a à dire sa séropositivité, son orientation sexuelle, et à échanger sur nos pratiques.Il y a 15 ans, j’avais fait le choix de vivre au plus près de mon ami touché par le SIDA.J’avais recherché l’aide ou tout au moins l’écoute et le réconfort de certaines personnes en qui j’avais confiance et j’ai été confronté parfois à l’incompréhension, à la mise à l’écart, à l’exclusion : dans nos familles, au travail, dans le milieu gay…Ainsi, un médecin m’a dit un jour lors d’une consultation : « Ah, vous êtes homosexuel… vous n’avez pas choisi la voie la plus facile. Vous ne pouvez pas changer ? » ; un proche m’a proposé : « Tu peux venir passer quelques jours à la maison mais on préfèrerait que ton copain ne t’accompagne pas » ; un gay que je ne connaissais pas et que je draguais m’a répondu: « Non, enfin, tu comprends tu sors avec un gars qui a le SIDA » ; un collègue que je considérais comme un ami, m’a dit lors d’une réunion de travail : « J’espère que ton copain va crever et parfois j’ai envie de te détruire pour ce que tu représentes ».Heureusement, j’ai plus souvent reçu de formidables preuves d’amitié et de solidarité pour moi même et mon ami qui est décédé en 1993.Si je vous parle de mon coming-out il y a 15 ans en tant que gay c’est parce que le faire m’a aidé à me reconstruire, m’affirmer et plus tard à dire ma séropositivité.
À l’annonce de cette séropositivité à laquelle je ne m’attendais pas, j’en ai informé les hommes que j’avais rencontrés les mois précédents, ma famille, mes amis proches.J’ai voulu que mon entourage comprenne pourquoi je me sentais parfois un peu plus seul, pourquoi dire sa séropositivité pouvait provoquer la discrimination, qu’elle était souvent un obstacle aux rencontres sexuelles et me semblait limiter mes perspectives de construire une relation affective durable.S’il est important pour moi d’être accepté comme gay et séropositif, d’être tout simplement reconnu dans mon intégralité, c’est pour en pouvoir parler sans être stigmatisé de ce que j’aime, de mes envies, de mes amis, de mes doutes, de mes craintes, de mes projets, bref de ma vie.Certes la dicibilité est parfois difficile car je ne peux jamais préjuger de comment la personne à qui je me confie recevra l’annonce de ma séropositivité, ni comment elle me percevra ensuite. Mais la cacher constamment serait ignorer une partie de moi et m’aurait laissé isolé avec mon VIH.Je veux aussi vous parler de prévention et de pratiques.J’avais toujours utilisé le préservatif lors de pénétrations avec mes partenaires de rencontre, et pourtant, depuis que je suis séropositif, il m’est arrivé d’accepter des rapports non protégés. Je ne l’ai pas fait par crainte d’un refus, par lassitude de la capote, par irresponsabilité, par désir malsain de contaminer ni par perversion mais parce que l’autre était séropositif ou parce que l’autre me le proposait. Parce que nous en avions envie et que nous en acceptions les risques, parce que nous avions convenu de certaines limites et enfin parce que tous deux nous désirions vivre une relation pleine, entière et insouciante le temps d’une heure ou d’une nuit.
Ce que je veux dire ici, c’est que, gay séropositif, j’ai aussi besoin d’espaces d’expression et d’échanges sur mes pratiques, sans jugement, sans tabous, et que je souhaite que les messages de prévention et de réduction des risques prennent en compte les réalités que je vis.Pour conclure, je veux vous dire que j’ai de la chance.Dès le début de l’épidémie, j’ai eu la chance d’avoir facilement accès à l’information dans la presse gay, auprès d’associations, d’avoir toujours pu me procurer des préservatifs, du gel et de faire régulièrement des tests de dépistage. J’ai eu la chance de connaître très tôt des amis et des partenaires séropositifs.J’ai aussi eu la chance d’être contaminé récemment et, même si je pense encore chaque jour à ma séropositivité, les avancées thérapeutiques font que je n’y pense pas en termes de maladie ni de mort.Enfin, j’ai la chance, depuis que je suis contaminé, d’avoir pu le dire à des proches, des amis, des collègues qui me reconnaissent aussi en tant que séropositif et qui m’apportent leur soutien quand j’en ai besoin.A eux tous, je veux dire merci, merci de leur amitié et de leur solidarité.Je dédie ce témoignage à Philippe qui me disait à l’hôpital il y a quinze ans : « Tu sais Jean-Christophe, je n’ai pas peur de disparaître ; on ne meurt vraiment que lorsque plus personne ne pense à toi ».J’ai la chance et le plaisir d’être ici parmi vous pour penser à lui, aux autres, à nous, et à l’avenir. J’aimerais que mon témoignage puisse aider d’autres séropositifs à être plus visibles car c’est notre diversité et, hélas, notre nombre qui font également notre force.Je vous remercie. » "Jean-Christophe