Et, lui pour moi simplement. Il hâbite dans les bois, ne connais que l'hiver Parfois, il coupe son bois, parfois il rêve de foi. Il a l'age qu'on lui donne, des couleurs de l'automne Parfois, il ce fait son cinema, parfois il pleure comme son climat. Oui, mais, il parle de moi comme aux oiseaux de ses secrets les plus beau Oui, mais, il ne peut toucher mon visage, qui appartient au mirage. Alors...