Le blog de patock

Etre regardé comme une simple personne que je suis. Perdu, je le sais dans cette foule d'anonymes virtuels. J'ai le plaisir d'écrire je pense des choses vraies. Mais, apparement cela ne suffit pas pour toucher. J'accompagne mes doigts sur ce que je voudrai partager. Hélas, rien ni fait. J'ai refflechi, tourné dans ma tete ce que j'avais bien pu rater. Nul explications vient me consoler, je crois...

Suite a une courte pseudo debut de contact !!!!!!!!!!!!!!!!!!! C'est encore!! et toujours pareil !! Je veus dire a mon filleul que je l'aime beaucoup mais voilà!!! A tous mes ami(es) aussi. J'en ai plus que de marre de pleurer et ma vie ne me plait plus. Je vous adresse mes remerciments les plus cordiaux a tous. petit patock.

Je suis perdu, seul dans mes idées ombragées. Je ne sais finalement si un jour mes jours seront baignés de la chaleur de mon sang. Partager un sourire me laisse reveur. Un regard plongeant dans celui qui ferra mon printemps. De toucher de mes doigts l'absolu, la c'est le neant. Je mouille mes lévres de ma pur sagesse pour faire croire que je suis content. Je ri devant mon ecran, comme si quelqu'...

Mon petit ange fragile comme un épi de blè qui vole au grés du vent de l'étè. Un peu pale comme lui, tu ne peut dorer. Alors, prends ma main lentement jusqu'a la fin de l'étérnitè. De main fragilisé, je te guiderai sur le chemin du bonheur. Ou seul les petits épis sont gardé en vie. Lentement je te bercerai sur mon coeur, afin de ne plus avor peur. Je te ferais glisser sur mon corps dénudé pour...

Que je te gardais. Je ne peut plus me forcer a ce jour, je suis navré. Que j'aurrai partagé. Meme avec toute ma volonté, je ne peut te le donner. Que je voulai t'offrir. Du plus profond de mon ame, je le desirai. Que j'aurrai voulu pour toi seul. Meme a y songer, je l'ai enterré. Adieu sourire !! Ma peau se deseche a force d'esperer. Adieu sourire !! Mon etre est vide de ton absence esperé. Adieu...

Ah! le bel étè que voilà. Depuis quinze jours la chaleur nous poursuit et brule nos calories. Fermer fenetres et volets pour avoir un semblant de fraicheur. Rester dans le noir comme si deja ce n'etait pas assez pour nourrir le desespoir. Bientot les feux d'artifices pour illuminer le ciel du soir. Bleu, vert, rouge, jaune, violet et poum dans le ciel étoilés. Bon les couleurs sont pas toujours...

J'attends de sa part un geste, une voix, un appel. Mais, visiblement, il ne ma pas compri. J'attends un petit pas furtif, sans elan. Mais, visiblement, il ne marche pas. J'attends, et t' il pret ou pas encore. Mais, visiblement pour lui un trop grand effort. J'attends sans hesitation son nom. Mais, visiblement il ne le sais pas lui-meme. J'attends sans promesses et engagements. Mais, visiblement...

Avec du soleil plein la maison. Je me rejoui de cela. Les heures vont s'ecouler lentement. Comme une eau qui glisse dans le creu de mon dos. Cette sensation de moiteur est agreable. Comme deux corps enlacés dans une etreinte sans fin. Une envie de caresser ma peau me tente bien. Comme un amant qui voudrait jouer de moi. De mes doigts fin je parcour mon aventure. Comme si cela etait une premiére...

De la melancolie. Des sentiers barbares d'une autre vie. Je ne veus plus rester sans bruit. Faire avancer l'horloge de ma vie. Fini toutes les hypocrithies. Dire les choses c'est ainssi. Alors je sort de mon ennnui, je reve que tu es joli. Tu as les yeux bleu a l'infini, moi je te donne mon coeur a vie. Je ne veus plus de jour sans lui. Rester seul dans ma peur m'ennuie. Ouvrire ma bouche et dire...

Quand nos corps sont lassent d'esperer. Je crie a la vie qu'elle me rapel lorsque j'etai joli. Quand mon corps faisait accord sans fausses notes sur la partition de verdi. Je crie de douleur pour mon pauvre coeur qui faibli. Quand je courrai a perdre haleine dans les prairies. Je crie de mes menbres endormis. quand t'ils serraient fort d'envi. Je crie pour ma peau qui fletri comme un sac jauni...