Je suis perdu, seul dans mes idées ombragées.
Je ne sais finalement si un jour mes jours seront baignés de la chaleur de mon sang.
Partager un sourire me laisse reveur.
Un regard plongeant dans celui qui ferra mon printemps.
De toucher de mes doigts l'absolu, la c'est le neant.
Je mouille mes lévres de ma pur sagesse pour faire croire que je suis content.
Je ri devant mon ecran, comme si quelqu'un pouvait savoir ce que je recent.
Voilà, je pianote au gres du vent et la poussiére de mes mots reste sur ma peau.
De dialogues en paroles je suis toujour le petit patock.
Loin d'etre un geant, je reste un etre simplement.
Il voudrait, mais, son autre ne sait.
Alors, j'écris des phrases qui font sourire les enfants.
Ma peau contre sa peau est-ce bien exigeant.
Partager des desirs humains tout simplement.
Ce dire que d'une seule personne on n'est pas bien.
Ecouler des heures des lendemains.
Remplir sa chair et la vider, prendre un bain.
Caresser son ombre de parfum de sel marin.
Marcher sur un chemin qui n'est pas le sien.
Ce sentir coupable de ne savoir toucher celui que l'on voudrait pour sien.
Vider des larmes a n'en plus finir qu'importe, il le sait bien.
Sa douleur l'empeche de voire qu'il pourrait venir dormir et ce serai bien.
La peur d'avancer, de se tromper je le comprends bien.
Ouvrir mon livre peut-etre lui deplai, regarder les images le fige a jamais.
Je ne suis pas dans sa tete, l'est il lui meme dans la siennne.
Des ondes traversent nos jours, mais, reste sterilent a ce jour.
Alors, je ne sais pas ou je vais dans se conteste.
Pourait-il m'éclairer sur notre future destiné, si tel en est.
Je me moque des feux d'artiffices seul le sien me ferrait éblouir.
Je lui tend ma main, serra t'il courageux de l'attraper et la garder a tout jamais.
Dans tout mon corps il me passe des remords.
De n'etre que ce que je suis, c'est a dire RIEN.
petit patock.
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