Alors

Il faut accepter, c'est fini.

Il y a tout un nombre de choses dont il faut faire son deuil, c'est comme ça.

Je ne crypterai pas le monde à ma manière - le cinéma, la littérature l'ont fait mieux que je ne puis soupçonner le faire.

Vous savez : "Le cinéma, disait Bazin ... substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs ... LE MEPRIS est l'histoire de ce monde."

A avoir l'air d'une poule des villes décrite par Aleksis Kivi dans "Les sept Frères", autant préférer accepter l'âge, le deuil de l'amour - ou d'un certain amour, sa condition sociale.

Et puis, essayer de s'évader un peu, vetäyttyä je crois, jusqu'à un jour moins bien fait que les autres.

Je ne sais pas trop.

Il n'y a pas à tenir pour impudique de dire que ça fait mal parfois et que si souvent l'on est trahi, roulé dans la boue de l'élitisme, façonnés de critères socio-culturels et toutes choses en -isme.

Cordialement à vous