Contamination en 2009

sa ne coute rien de se préservé,je ne comprend pas moi non plus les risque que certain prenne.

si a l époque j avais eu au temps d'information?   

je ne serrais pas en perte de beaucoup de désir divers,depuis vingt ans.

alors reflegir deux segonde sa vau le coup, pour un coup.

Ma contamination a eu lieu en 92, quel sont les facteurs qui ont participé à cette évènement:

la jeunesse et l'inssouciance qui allait de paire à l'époque pour moi.

le sentiment d'etre immortel, invincible.

le fait de vivre en province.

une sexualité impétueuse.

des campagnes d'informations timorées, et peut fréquentes.

le prix des préservatifs ainssi que leur disponibilité.

la majorité de mes partenaires qui comme moi ne se sentaient pas concerné ou ne se posaient meme pas la question.

le manque d'estime de soi qui ne favorise donc pas le fait de prendre soin de soi et de se protèger.

l'idée général les représentations que c'était une maladie concernant les gays, les toxicomane,les prostitués.

 je m'assumais pourtant en tant que gay mais pour autant, j'étais dans le déni face à ce fléaux.

et pour finir l'experience ou la chance, je m'explique: une sexualité débuté à l'age de 14 ans contaminé à 22 ans soit 8 ans sans incident.

Ce qui à changé aujourd'hui:

les gens sont d'avantages informés et se sentent un peut plus concernés donc utilisent plus  de présos et on d'avantage recour au dépistage mais pas sufisament

les campagnes de prévention et d'information se sont un peut amélioré

on distribus des seringues des présos gratuitement pas partout je vous le concède.

Ce qui ne va toujours pas

Des dizaines d'études ont été réalisé pour identifié les causes ou les freins de l'utilisation du préservativf ou d'outils de Réductions Des Risques.

pour ce qui est des questions d'orientations sexuelle ces meme études démontrent que la discrimination et le rejet sont des facteurs agravants conduisant à des prises de risques.

les campagnes de préventions sont plus ciblés mais parle avant tout du préso pas des techniques pratiques de RDR cela reste tabout.

peut de témoignages des personnes concernés cela reste difficile et bien souvent on ne veut pas entendre la réalité de notre vécu. Un exemple dure et peut etre pas tout a fait adapté mais souvenez vous de la chape de silence lorsque à la sortie des camps de concentration les survivants on commencer a  paler : c'était insoutenable parfois on ne les croyaient pas on ne voulais pas entendre ces horreurs ils on finis par ce taire je pense que cela participe à un mécanisme similaire.

pour ce qui est de la prévention en milieux scolaire je pense qu'il y a de très bon intervenants mais sans doute pas encore sufisament les associations de parent d'élèves ont encore beaucoup d'influences et nous somme dans une société judéo-chrétienne qu'on le veuille ou non imprégné de l'idée que le désir la sexualité est un péché c'est sale c'est taboux

Les prises de risques sont innérente à la nature hummaine quoi que l'on disent ou fasse, il n'y a qu'a regarder les chiffres de la prévention routière et se malgré une répression toujours plus importantes les morts diminuent mais il y en a toujours beaucoup.

c'est ma compréhension, ma vision des choses elle n'est pas exaustive ni une vérité absolue et j'encourrage vivement toute personne à m'apporter quelques complément d'informations .

Cela dépend de l'étude

Et des pratiques...

Fut un temps ou pour moi la capote n'était pas un automatisme sur certaines pretiques (oro-génitale) par exemple...

donc je dirai que c'est ce risque là qui est sur ou sous évalué ?!