laissez-moi vivre de son sang, me vètir de cendres d'antemps,et vider, mon orgueil, me poser nu, sur son cercueil lentement.Quand, la lune se brume, ma mèmoire s'en est allèe. Quand, dans son tourbillon d'automne, les feuilles froissèes, mon coeur et las de t'aimer. Quand une pluie ne peut pleurer, son reve c'est oubliè. Quand on ne peut plus s'aimer, adieu mon bien aimè. Quand le ciel c'est habillè de sa belle robe d'etè, nuages, aux formes nuancès, se dèguise de personnes oubliès.Comme le vent qui glisse sur les montagnes du passè,volcan tu était, dort mon amour pour l'étèrnitè. Quand la mort est venue me chercher par la main, soit brulèe pauvre misère, lave-toi de tous tes pèchès. Patock
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Commentaires
Ton poème
Oui très beau