Dans la vie de tous les jours ce qui est difficile à vivre c'est lorsque l'on est pas bien, et dans le cas de la maladie c'est le pire. On a beau avoir un fort caractère, un bon moral d'acier mais on n'échappe pas à ces jours où l'on se sent mal, faible, démoralisé, triste.
La bataille est dure, éprouvante tant physiquement que moralement, cela fait cinq ans de bataille où la maladie m'a largué, m'a épuisé, attaqué, mais elle ne gagnera pas la guerre, elle a à faire à un tenace.
La bataille est dure, éprouvante tant physiquement que moralement, cela fait cinq ans de bataille où la maladie m'a largué, m'a épuisé, attaqué, mais elle ne gagnera pas la guerre, elle a à faire à un tenace.
Ces moments de désespoir viennent de temps en temps, nous en avons tous, mais le souci c'est que nous agissons différemment, de même que les fréquences entre les bons et noirs moments sont de courtes durées. Par exemple entre deux moments sombres il peut s'écouler une semaine. On a beau d'être fort physiquement, moralement, mais rien n'empêche ces moments là de détresse, d'abaissement morale, de dépression. Ceci-dit, je vous rassure, au cas où certains ou certaines penseraient au pire, je ne me laisse pas aller, je reprends toujours du poil de la bête. Mon optimisme et ma force reviennent toujours même si c'est dur. En tout cas j'aime trop la vie pour laisser une garce internationale de virus me gâcher la vie et je gagnerai la bataille.
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