nostalgie

merci pour cette jolie prose. bisous.

j ai aimé usé mes sandalettes en allant au bal des villages voisins, chaque été et week end, soeurs, amis, nous  allions à pied, en mobylette, voiture bondée de monde, les autos-tampons, les tirs à la carabine et surtout danser sur du tout et du rien, draguer aussi,  revoir les potes, se griser et repartir sur les petits chemins de traverse en pleine nuit, les virus étaient alors une contrée inconnue, la jeunesse nous l'idéalisons,pour moi, cette époque était belle car malgré les contraintes j'étais libre cependant je n'étais pas dupe je voyais la difficulté de grandir. Aujourd"hui, virus, il y a , douleurs il y a, souffrance..mais la joie de l'enfant n'est pas si loin que ça,pour ma part, l'enfant que j'étais, vit encore en moi,cependant, je ne m'attarde pas sur ce syndrome de peter pan, grandir, c'est bien aussi, nous nous amusons autrement, nous avons d'autres centres d'intérêts; bien à toi tophe, badiane