Non, je ne suis plus seul.
Peu à peu l'ombre d'une fratrie se dessine.
C'est encore confus mais un ton émerge fait de sincérité, de fraternité et d'humour.
Peu à peu les écorchés vifs d'hier n'ont plus peur de se dévoiler; discrètement, mais le geste est là.
Certains vont à la rencontre à visage découvert. D'autres, encore prudents, restent dans l'ombre.
L'échange de paroles devient structurant: comme un léger squelette qui prend forme sous un nuage de sourires apparents et de mains tendues.
Je me sens plus fort à présent car je n'ai plus peur.
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Fi...