Il ne s'agit pas ici de prendre le coït hétérosexuel comme modèle ni d'aller dire qu'il n'y aurait pas de plaisir dans la pénétration entre hommes. Il s'agit surtout d'étayer l'idée, émise ailleurs et au grand dam de certains, que la contamination peut s'avérer être une résolution, temporaire et transitoire, destructrice in fine , d'affects non verbalisés et non représentés qui, partant,...