Distribution de pipes à crack : stock insuffisant
La demande pour les pipes à crack à Vancouver, offertes gratuitement aux personnes consommatrices dans le cadre d'une étude menée par les services de santé de la Ville, dépasse largement l'offre, indique l’agence de presse québécoise QMI (3 janvier 2012). Ce projet pilote, lancé il y a un mois, vise à déterminer si la distribution des pipes peut réduire la transmission de maladies (VIH, hépatites virales…) chez les utilisateurs de crack. Au total, 60 000 pipes à crack doivent être distribuées en huit mois, soit 250 par jour. Des maladies comme le VIH et l'hépatite C peuvent être transmises d’une personne à un autre lors du partage d'une pipe à crack, par l'intermédiaire de la salive ou même par le sang, en raison des lésions causées aux lèvres par l'objet brûlant.
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