Au cimmetière sur les ossements qu'on découvre Souffle le corps d'un ancien désir en cendre Ses doigts plantés dans son enfer le cache, le couvre De quelques torts, mais pas du désir de se pendre ... Le temps passif à qui l'on prête sa courbe Porte les blessures qui viennent prier à genoux L'acte pensif s'arrête, mais le corps est fourbe Tend dans ses moisissures à relever sa moue ... Alors dans...