E-cigarette : le ni oui, ni non de la HAS

Publié par jfl-seronet le 29.01.2014
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Thérapeutiquecigarette électroniquevapotage

Malgré des réserves, la Haute autorité de santé (HAS) ne déconseille pas l'utilisation de la cigarette électronique dans ses recommandations, notamment en cas d'échecs d'autres substituts. C’est ce qu’elle indique dans un avis publié récemment.

Pour arrêter de fumer, la Haute autorité de santé (HAS) recommande d’utiliser les substituts nicotiniques classiques (patchs, gommes à mâcher, pastilles, spray buccal) plutôt que l’e-cigarette dont l’efficacité et les risques éventuels n’ont pas été suffisamment étudiés. "En raison de l’insuffisance de données sur la preuve de leur efficacité et de leur innocuité, il n’est pas actuellement possible de recommander les cigarettes électroniques dans le sevrage tabagique ou la réduction du tabagisme", indique la HAS dans une série de recommandations publiées le 21 janvier. Mais, soufflant le chaud et le froid, la HAS n’enterre pas pour autant la cigarette électronique puisqu’elle estime que son utilisation "ne doit pas être déconseillée" chez un fumeur refusant les substituts classiques dans la mesure où "les cigarettes électroniques sont supposées être moins dangereuses que le tabac". Elle "doit s’inscrire dans une stratégie d’arrêt ou de réduction du tabac avec accompagnement psychologique", ajoute la Haute autorité de santé, une entité publique indépendante dont le rôle principal est l’évaluation des pratiques médicales.

Un avis très attendu

L’avis de la HAS était très attendu alors que la cigarette électronique est devenue un véritable phénomène de société puisque près d’un Français sur cinq affirme l’avoir déjà testée, selon un récent sondage IPSOS. Contrairement à la cigarette classique vendue dans les bureaux de tabac, l'e-cigarette, qui ne contient ni tabac, ni goudron, ni monoxyde de carbone, est vendue dans des boutiques spécialisées, rappelle l’AFP. Considérée comme un produit de consommation, elle échappe à la fois à la réglementation sur les médicaments et aux contrôles applicables aux produits du tabac, relève la HAS qui préconise la mise en place d’une série d’études "cliniques" et "observationnelles" pour faire le point sur l’efficacité et l’absence de toxicité de l’e-cigarette. C’est d’ailleurs en cours à l’initiative de l’Institut national de Veille sanitaire (InVS). En attendant, la HAS recommande l’utilisation en premier recours des traitements nicotiniques de substitution qui ont fait la preuve de leur efficacité chez les personnes désireuses d’arrêter de fumer. Ces traitements classiques permettent d’augmenter au bout de six mois le taux de réussite de ceux qui veulent arrêter, relève la HAS qui souligne que la combinaison de plusieurs traitements (un timbre transdermique couplé à des gommes à mâcher) est encore plus efficace.

Commentaires

Portrait de Paradixman

<< En attendant, la HAS recommande l’utilisation en premier recours des traitements nicotiniques de substitution qui ont fait la preuve de leur efficacité chez les personnes désireuses d’arrêter de fumer.>>



Quand est-ce qu'ils arrêterons de jouer avec notre santé?...et de nous raconter des conneries!!

Ce que l'on nous dit pas:

[Il y a 2 ans environs une étude avait déjà démontré que les médicaments à la nicotine sont inéfficaces pour induire l'abandon à long terme de la cigarette. ce n'est pas la première fois qu'est mis en doute le mythe selon lequel la nicotine expliquerait la dépendance au tabac.


Les "tabacologues" sont très agités depuis l'apparition de cette étude. elle sera même trés vite dénigrée et oubliée.


Toute cette focalisation sur la nicotine a empêché toute recherche sur le tabac. Car c'est bien lui, pas la nicotine, qui induit cette dépendance aussi néfaste pour la Santé Publique. Certes, on a découvert dans la fumée de tabac le cerveau des fumeurs des substances à effet IMAO (inhibiteurs de monoamine-oxydases). Elles amplifient et prolongent l'effet de la nicotine. Cela a relancé l'intérêt de quelques laboratoires dont celui de Jan-Pol Tassin au Collège de France. Mais ces IMAO sont formés lors de la combustion du tabac. Impossible de savoir s'ils sont présents dans le tabac sucé ou mâché, qui induisent pourtant une puissante dépendance. Seuls les industriels du tabac savent peut-être quelque chose, mais leurs secrets sont bien gardés. Malheureusement les rares chercheurs sont isolés, quand des équipes bien financées travaillant directement sur le tabac, comportant des neurobiologistes, de bons chimistes bien outillés, des psychologues, des cliniciens indépendants des firmes auraient, seuls des chances d'élucider le mystère.


Pourquoi cette absence totale de recherche, sur un produit que l'on considère comme le plus grand tueur de notre temps ? La réponse me paraît claire : parce que personne n'en veut :


1.- L'industrie tabagière n'en veut pas. Pourtant elle n'a pas intérêt à tuer ses bons clients. Mais si elle veut bien contribuer à diminuer la dangerosité de ses produits, elle ne veut pas que le fumeur s'arrête.


2.- L'industrie pharmaceutique n'en veut pas. Elle a largement profité de l'engouement pour la nicotine, qu'elle a soigneusement alimenté. Mais découvrir dans le tabac des substances naturelles ne l'intéresse pas. Elle préfère orienter ses recherches sur des molécules nouvelles brevetables et éventuellement rentables, comme le Bupropion® ou le Champix®. Cela explique d'ailleurs pourquoi Pfizer s'est désengagé de la commercialisation des gommes.


3.- L'Etat n'en veut pas, parce qu'il n'est pas prêt à renoncer au pactole annuel des 12 milliards d'euros de taxes. De plus, il sait bien cyniquement si l'es fumeurs s'arrêtaient, ce ne serait pas un bénéfice pour la Sécurité Sociale. C'est un faux argument économique. Un fumeur qui meurt d'un infarctus ou d'un cancer du poumon induit certes des dépenses de santé. On n'est pas éternel, on mourra un jour même si l'on n'a pas fumé, en moyenne 10 ans plus tard, d'un autre cancer, de défaillance cardiaque, ou après des années de dépendance totale, dans une institution pour Alzheimer, ce qui coûtera encore plus cher. De plus, si le fumeur meurt le jour de sa retraite, il aura cotisé toute sa vie, et ce sera tout bénéfice pour les non-fumeurs qui lui survivront.]

Aujourd'hui aurait-on peur de cette fameuse cigarette électronique?

Mon témoignage:


Pour ma part il ne sert à rien d'aller voir un tabacologue puisque au final il va vous envoyer acheter des nicorettes,gommes,patchs a base de nicotines.C'est ce qui s'est passé avec moi.

Du coup je m'en suis remis à mon infectiologue et cardiologue qui m'on conseillé la cigarette électronique.


J'ai fais ma propre enquête tout seul. J'ai profité de mon experience professionnel de VRP en ayant l'audace d'allez déranger les gens directement en porte à porte pour rencontrer des gens qui utilisait la cigarette électronique.

Je m'attendais pas à un resultat spetaculaire.Nombreux avait réduit fortement la cigarettes voir même arrêtter de fumer.


Aujourd'hui j'en suis ma bonne semaine de vaporette et j'ai vraiment pas touché une cigarette depuis.

un peu nerveux au départ.


Je sais pas ou l'IPSO va faire ses sondages mais en tout cas dans la ville de 27 566 habitants les  magazins de cigarettes électroniques se font de plus en plus concurances et font un succès fabuleux.


Je me dis que même si on apprenait un jour que c'est dangereux pour la santé , on point ou nous en sommes je vois pas ce que ça changerait.

Aujourd'hui je suis moin éssouflé,je ne tousse plus et c'est vraiment agréable de retrouver enfin le bon goût des aliments.

je vis complètement différament.

A tous les séropotes,

je vous conseil la cigarette électronique ou au moins essayer et ne vous faites surtout pas influencer par les blas blas des autres.

C'est mille fois mieux que les nicorettes recommendés par un tabacologue qui sont dailleurs dangereuses pour le coeur  quant au patch à savoir seuls 1% les utilisent encore après un an. C'est misérable. D'ailleurs, même dans les conditions d'essais cliniques commandités par les firmes pharmaceutiques, les résultats ont de la peine à se hisser au dessus de ceux du placebo.

C'est notre santé qui est en jeu et "il n'est jamais trop tard pour s'arrêter" est sincère et "jamais" prend son vrai sens.


Et pour finir nous sommes pas là pour cautioner leurs politiques à la con!  

La politique affectant la santé des fumeurs en Europe est trop importante et doit être construite sur des données scientifiquement solides et non sur des élucubrations.


Bien à vous.

 



Portrait de lounaa2

Bonjour mon chéri de mon coeur, quel long spitch tu as fait ci dessus ,

j'en ai les yeux qui picotte lol ,

Maic c'est Tellement Vrai , jamais ne devrait pas exister ,

encore un mot à la mord moi ...

J'ai oublier te dire hier,  

J'ai acheter le matos mais pas commencer hhh ,

J'attends le reflexe , refiler la cartouche ,

ou mieux la fouttre à la poubelle ...

 

Love , mon amour de mon coeur ...Kiss

SOLED