Les herbes poussent, verdissent, jaunissent et meurent!!
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quand, les herbes se coucheront, il n'y aurra plus de chansons.
Adieu douces mélodies qui me parlait de lui.
Comme une valse légère, il est parti dans un tourment de la vie.
Dans mes oreilles encore emerveillées, j'ettend encore ces
Musiques dont il me parlait mon doux bien aimé.
Quand les herbes se coucheront là, ou il repose à jamais, je le rejoindrai.
Perdu entre la valée et le fleuve de nos sentiments, comme il était beau
ce dernier étè.
En attendant, je vien deposer mes pleurs, pour arroser tes fleurs.
Quand les herbes se coucheront plus d'oiseaux siffleront ton nom.
égarés, éffrayés, ils volent en tout sens perdu de ton absence.
Un vent léger vient carresser le berceau ou l'on vient de te déposer.
Quand les hebes se coucheront, plus de cigales de criquets.
Les papillons aux couleurs multiples se terniront à jamais.
Ici et là, des mouches voraces tournent affamées encette
sale journée que je ne pouvai maginer.
Quand les herbes se coucheront, je te jouerai au violon ton air préféré.
Tu ne peut imaginer comme je suis rempli de tristesse à l'idée de ne plus
voire ton sourire qui me faisait planer.
Je caresse sans relache cette dalle ou l'on ta enférmé pour nous séparer.
Quand les herbes se coucheront, je continuerai à crier ton nom, pedu ma raison.
Tu es parti me laissant seul, pourtant je devai t'accompagner serment scélé.
Le destin ne ma compri, il ma volé ta vie.
Cependant, je ne peu accuser à tord, c'est bien la mon remord.
petit patock.
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