Mais, je me sent bien comme une plume.
Un jour, je peus étre dans le ciel tournoyer tel une danse endiablé.
Faire tourner la tête des amants d'un étè.
Des gens peu scrupuleux se servent de moi pour faire leurs lois
citer des interdits sur la place pour rompre les débats.
Les romans ne sont pas en restes, pour faire rêver des pauvres
gens égarés en quête de certaines véritées.
Je suis aussi archives, témoin pour les générations futur, pour
développer une forme d' idée de culture.
On me trempe sans moderation dans un encrier, avec force pour
déposer sur les feuilles encores vierges des dégouts improvisés.
Enfermé quelques fois dans une cage, on m'apprend a répéter des
stupiditées pour faire rire les invités.
Je suis aussi la chaleur d'un nid, pour oisillons d'un printemps
de mai qui serra surement plus gai que les précedents.
Je me plais a vous entendre sur l'oreiller, chuchoter de vos lêvres
l'appel de grands sentiments de vos espoirs fondés.
Ce qui me rends le plus triste, c'est de vous faire verser des larmes
j'espère de tout mon coeur, qu'elles sont de joies.
La saison des carnavals, vous me peignez de couleurs, que je n'ai jamais
demandé, mais, bon, si cela peut vous apporter satisfaction.
Il ya des moments, surement, vous devez me detester, me haïr
tout en sachant que de votre main fragile, vous puissiez écrire
certains récits, auquels vous ne n'auriez jamais pensé.
L'âme guide la main sur la plume sans états d'âme pour faire des contes
qui resteront a jamais, des histoires a dormir debout.
Ne croyez pas que tout est mauvais, je sais aussi vous faire plaisir
en vous apportant des missives pour vous réjouir dans des moments
de doutes, d'angoisses de vos sombres soirées.
Je peus étre porteur d'un montant conséquant pour ajuster vos
dettes de frais dans des sorties précipitées.
Mais, avant tout, ce qui me délecte en premier lieu, c'est de vous
offrir mes modestes poèmes, qui seront oubliés le jour même.
Quand on dis, qu'une plume fait couler beaucoup d'encre, c'est pas peu dire.
Jusqu'a aujourd'hui, j'ai était votre confident, votre souffre douleur
votre ennemi, vos joies, vos rires, vos ressentis.
Je n'ai jamais compté tous vos écrits alors, je vous le dit, malgré moi
c'est terminé, je vais penser a moi égoïstement.
Je vous jure, que j'ai la plus grande peine, vos histoires ont étaient
ce qu'elles ont voulues étres, restes a savoir ce que vous en garderez
au fond de votre mémoire, je vous en supplie,
Maintenant, j'écrit mon histoire.
Une plume s'envole pour son voyage inédit.
Petit Patock.
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