Quand tu t'imagine a parler, attention danger.
Devant le petit écran de chaque particulier, tu viens t'exposer.
Avec des histoires un peu suréalistes, voire imaginaires.
Qu'est-ce qui peut bien traverser a ce moment précis dans la tête de
celui ou celle qui va étaler son journal intime.
Une envie de partage, une écoute attentive, un peu de compassion.
Des réponses auquels on attend avec espérances d'un manque du savoir.
Le fait d'écrire remonte très loin dans l'histoire, se dire laisser un trace
de son passage, qui servira peut-être pour d'autres, afin d'évoluer dans l'espace.
Et, si tout cela ne faisait que nuire a notre personalité.
Par des récits, certain pensent évaluer un sujet et, le juger.
Bien sur, aura t-il l'audace, la lacheté de s'en servir a des fins qu'on se doute bien.
Ou, alors restera t-il spectateur avéré au bilan neutre.
Il ne pourra rester sans reflections, commentaires car, concerné.
Il irra chercher au plus profond de sa conscience comment il pourra aposer
sa façon d'éplucher, décortiquer, enjoliver, extrapoler, et, j'en passe.
Le tout dans l'histoire du blog, c'est d'attendre une réaction ou, plusieurs.
Car en soi, ce qui fait bouger le monde c'est, le débat d'idées.
Chacun, apportera sa propre vérité, sa vision et, son écriture si particulière.
Il dira que par x + b = d , des définitions que seul lui comprendra.
Le principal, c'est qu'il s'y retrouve au bout du compte.
Adieu, les cahiers, la plume, l'encrier, une touche après l'autre, l'écrit est là.
Des photocopies pour garder les traces de ses écrits en souvenir de longues
soirées ou, l'on ne compter pas ses heures puisqu'il n'y avait rien d'autre
sinon, qu'une saisie avant d'échapper toutes ces petites lettres qui trottaient
dans notre petite tête de blogueur en passe de laisser ce récit.
Vous êtes celui-ci, moi aussi.
"On dis parfois que les histoires font couler beaucoup d'encre".
Petit Patock.
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